Es-ce la Fin?

Sujet: Es-ce la Fin? 2010-01-22, 22:26

.....

Emportée dans un trou sans fin, dans la noirceur du ciel nuageux et ténébreux, il se meurt. Quand les âmes normales s’endorment en silence. Les mouvements du vent lui murmurent de funestes mélodies. L’orage n’était pas au rendez vous, seules les nuages sur le point de pleurer, laissent quelques gouttes s’éparpillées dans le vent. Voguant l’âme vide entre deux stèles, le regard de Akayaru se perd dans la pénombre. Couché sur une dalle de marbre glacé, ses paupières papillonnent. Le corps est mort, tant les blessures le recouvrent, aucun de ses membres ne répondait aux ordres que le cerveau leur donnait, on ne peut pas dire qu’ils n’en faisaient qu’à leurs tête. Dans sa tête tournait un tourbillon de confusion, aucune décision ne pouvais être prise, son sens du réfléchi semblait avoir été endommagée et enfuis dans les profondeurs de son âme.
Sur la branche d’un vieil arbre desséché et séparé de toutes ses feuilles, était perchée une armée de parasites aux yeux rouge scrutent leur buffet proposée avec temps d’accessibilité. Sous cette arbre en question, pas très loin de lui d’ailleurs, gisais un corps ; Quelques minutes s’écoulèrent avant qu’il puisse se rendre compte de qui était cette personnes au sol. Une hallucination ? Une illusion . . .

Amami. . .

C’était la seule chose qu’il était en position de faire, prononcer son nom. Sa jumelle, la personne la plus importante de toute son existence était la, devant lui endormie ou morte mais encore, sur le point de se faire dévorer par des corbeaux. La descente aux enfers ; Voir un membre de sa famille se perdre sa flamme devant ses yeux sans pouvoir la sauver. Le regret commençait peu à peu à prendre place. Des phrases et des images caresse ses pensée, son esprit recasse le passé . . .

Flash Back

Spoiler:

*Toujours la pour te protéger . . . * Cette phrase avait elle du sens vu les circonstances. Es ce qu’il avait déshonoré ses propres paroles ?!

Akayaru luttais contre la douleur qui l’étouffais. Tel un rat en détresse, il se mit à ramper sur le sol parsemé de roses noir et de ronces à pointes affuté. Les corbeaux impatients de savourer leurs repas, ne lui laissèrent aucun répits et se mirent toutes suite au travaille. Ils foncèrent tous sur le corps de la jeune fille sans défense. A peine posé sur elle, ils se mirent à la picorer et lui assigner des rafales de coup de bec. . .

Akayaru essayais de ramper plus rapidement, mais son corps de ne répondais pas. Il était paralysé, impuissant devant de simples bêtes. Aucune source de chakra, ni aucune souris en vue. Comment sortir de ce triste calvaire ?! Un sort qu’aucune personne ne devrait subir. Tout espoir avait disparu. Allaient ils finir leurs jours dans ce cimetières dans un village inconnu, parmi les autres corps en décomposition des personnes enterrer dans se triste décors. Une seule question se pose. . .

Es-ce la fin ?

.....

Sujet: Re: Es-ce la Fin? 2010-01-24, 00:19

Le village me semblait si calme depuis quelques temps, comme si un ouragan était passé durant ma longue absence. J'avançais dans les rues, sans but, le regard perdu dans le vide, sans aucun point ou personne auquel me raccrocher. Mon âme n'était que vide, sans que je ne sache comment réagir, sans espoir de pouvoir me relever un jour. Impossible de savoir où j'allais, ni pourquoi je vivais encore, si ce n'était que pour semer la miséricorde sur mon chemin. Un poison humain, qui ne faisait que nuire à son entourage sans aucune chance de salut. Mon corps était froid, vu le temps depuis lequel j'étais dehors, dans le vent, avec les particules d'eau humidifiant chacun millimètre carré de mes frusques. D'autant plus que j'étais en débardeur, avec pour tout bas un pantalon de toile qui ne me tenait pas chaud. A croire que je cherchais la rédemption en m'infligeant maints supplices, en ne sachant pas pour quoi je m'en voulais exactement. Surement de m'être laissée capturer par cet enfoiré, et ainsi avoir abandonné Koma durant des semaines. Au fond, je n'y étais pour rien, tout ceci n'était qu'un vaste ensemble de coïncidences malheureuses. Mais je ne pouvais m'empêcher de m'en vouloir, pour mes actes passés, tout ceci que je me devais de payer. Pour tous ceux de Kumo qui comptaient sur moi, que je les connaisse ou non, mais que j'avais fini par faire souffrir.

Mes pas me conduisirent jusqu'au cimetière, le genre d'endroit que j'avais faillit squatter plus d'une fois. S'il n'y avait pas eu ce miracle divin, je n'aurais pas pu continuer à fouler cette planète de mes pas. Je m'en étais sortie en vie, au prix un sacrifice moral. Je mollissais, m'affaiblissant de jour en jour, sans ne jamais savoir quand j'allais enfin pouvoir redresser la tête, et me relever fièrement au milieu de toute ma miséricorde. Je pris une profonde inspiration, puis passait le petit muret entourant les lieux. Perdue dans mes pensées, je ne fis pas attention aux bruits étranges alentours. Pourtant, une chiée de corbeaux, ça ne passait jamais inaperçu, même dans ce genre d'endroit. Après avoir parcourut plusieurs rangées de stèles plus ou moins bien entretenues, décorées pour la plupart, je relevais enfin la tête, perturbée par un tout. L'obscurité pesant sur mes sens, je mis un peu de temps à localiser la source de tant de fracas. Ma main frôla le marbre froid d'une pierre tombale, me faisant sursauter. Et là, je vis l'inconcevable à mes yeux.

Plus loin, peut-être une trentaine de mètre, je pouvais distinguer des ombres, dont une nuée d'oiseaux. A mon sens, tout ceci sonnait faux. A moins qu'il n'y ai eu provision de bouffe pour piaf, quelque chose de pas net se passait à quelques pas seulement de mon être. Dans un élan inattendu, je courus, arrivant sur les lieux en moins de temps que je ne l'aurais cru, une toute petite poignée de secondes. Mes yeux scrutèrent les environs, les sourcils relevés. Ce n'était pas que j'avais du mal à croire ce que je voyais, mais plus que je pensais être baignée au beau milieu d'une illusion. Les bestioles ne semblaient pas affectées par ma présence, si bien que je fis un mouvement brusque vers elles, sans ne prêter spécialement attention à l'autre personne à terre, plus catastrophée par la vue de celle picorée. La multitude d'oiseau prit son envol dans un boucan désagréable aux oreilles, pour aller se percher dans les arbres disséminés ici et là du cimetière. Je fixais l'inconsciente sans ne savoir que faire, tout défilait à grande vitesse dans ma tête. Qu'est ce que c'était ? Un rituel vaudou ? Une sorte de magie noire ancestrale ? Un accident ? Je ne savais comment agir, et n'osait en aucun cas tâter le pouls de la jeune fille, par une peur que je ne sus définir. Je me tournais vers l'homme, le toisant de toute ma hauteur en gardant le silence pendant quelques secondes supplémentaires, avant d'oser enfin prendre la parole, d'une voix un peu plus brusque et rauque que je ne l'aurais voulue. "C'est quoi ce foutoir ?" Essentiellement, je m'occupais de la sécurité interne du village. Alors voir un tel spectacle m'ennuyait fortement, l'idée qu'une contrée ennemie ai pu pénétrer dans l'enceinte n'était pas à exclure... Vision macabre, sanguine, aux éléments qui n’auraient jamais du être présents ici en une telle quantité, à voir le tapis floral…

Sujet: Re: Es-ce la Fin? 2010-01-24, 03:57

.....

Je ne me faisais aucune illusion… Ce cimetière allait devenir mon tombeau. Je ne pouvais que me réjouir, vu les circonstances personne n’aurait à chercher un emplacement pour enterrer ma misérable et encombrante dépouille. J’allais finir mes jours là ou les vielles pierres s’effritent, laissé comme un chien horriblement galeux. Finir enterrer sous l’ancienne terre fade et morte, recouvert de champignons vénéneux et grignoté par des ords de vieux vers affamé sous l’œil innocent de la pleine lune. Les secondes se transformais en minutes et les minutes en heures, c’était interminable. J’aurais tout donné pour étrangler ses parasites, mais hélas mon corps ne répondait à aucuns ordres. Mes mains tremblaient et me fouettaient le visage tel une feuille d’automne poussé par le vent du nord. Mes pieds sentais plus la terre ferme, ni aucune sensation d’ailleurs. Tout mon être était comme paralysé, je ne pouvais rien faire devant ce spectacle sordide.
Une unique larme dégoulinait sur ma joue, ruisselants tel une rivière sereine. Quand elle heurtât le sol, le néant. Ensuite, une lumière blanche au loin. J’attendais donc quel vienne à moi. Les battements de mon cœur commençaient à se faire rares et le désespoir prenait de l’ampleur dans mon esprit. Était-ce les dernières images de ma vie ? Allais-je mettre un point final à mon chapitre? Mes phrases lancées à ma sœur étaient donc des dires transformés en négation. J’étais sur le point de baisser le rideau, de jeter l’éponge devant le corps assommé de ma jumelle, celle qui avais ouvert les yeux quelques minutes après moi. La protéger était l’unique et seule mission qui m’avait été confié, et elle était désormais en échec. Allions nous vers une mort cruel et douloureuse ? . . . Probablement.

Le chant des esprits perdus m’appelaient, surement pressé que je les rejoigne. Une funeste mélodie envoutante résonnait dans les abimes de mon être. Des voix lui soufflaient des mots à l’oreille, de sinistre voix sans aucune émotion. Ses voix me tourmentaient, si bien qu’elles restreignaient son temps de vie. Elles ne s’arrêtaient plus, les voix devenaient de plus en plus fortes et de plus en plus agaçantes. Le rythme de ma respiration réduisait, mes paupières se fermaient puis s’ouvraient, se fermaient, puis s’ouvraient, ensuite elles se fermèrent. À jamais ?
Tout à coup les chants ce stoppèrent, importuné par un bruit de pas. Instantanément mon rythme de pulsation se mit à se rétablir. Mes paupières se rouvrirent lentement. Et là, une radieuse demoiselle à la chevelure rouge se trouvait debout juste dessus de moi, elle était semblable à un ange. Elle garda le silence quelques secondes avant de prendre la parole. Elle parlait avec un ton assez brusque, mais dans l’état où je me trouvais, je n’y prêtais pas attention. Sa voix était magnifique, je n’avais jamais rien entendu d’aussi beau, elle était identique au le sifflement du vent entre les pétales de magnolia en ses heures d’été. Je me trouvais dans un état de confusion, je ne distinguais pas le vrai du faux, alors mes lèvres s’écartèrent pour en laisser s’échapper quelque mots

- Es tu un ange ?

En prononcent cette phrase, un sourire c’était formé sur mon visage gris. Un visage recouvert de crasse, d’entaille et de sang, tout comme sur l’ensemble de son corps mal vêtu. J’avais un aspect cauchemardesque, terrifiant, qui intriguerais beaucoup de ninja d’ailleurs. Mon état était des plu critiques, j’étais en très mauvaise posture.

.....

Sujet: Re: Es-ce la Fin? 2010-01-25, 23:34

A distinguer son sourire dans les ténèbres, et à l'entente des paroles qu'il me sortit, je me demandais si je n'avais pas plutôt affaire à un ivrogne encore haut perché qui se serait échoué en ces lieux funèbres. Une sorte de "tsss" moqueur s'extirpa d'entre mes lèvres en un bref souffle, et ma main droite alla se perdre dans mes cheveux tandis que je tournais ma tête de gauche à droite. Décidément, je regrettais de ne pas avoir joué les flemmardes en restant tranquillement à me morfondre chez moi. Quoi que, peut-être était-ce là l'opportunité de ne pas me sentir totalement inutile en sauvant une ou deux vies. Je lui répondis d'une voix douce, la surprise du moment étant passée, et les battements de mon cœur revenus à la normale. "Non, je ne peux pas me vanter d'une telle chose.. D'autant plus que je tiens plus du démon." Je m'approchai de lui en passant ma main sur ma bouche en un allé retour, puis m'agenouillai à ces cotés. "Je m'appelle Raï, peut-être as-tu déjà entendu parler de moi." Ce n'était là qu'une précision non pas vaniteuse, mais au but bien plus profond, rassurant. Être dans un sale état était une chose, savoir qui s'occupait de nous en été une autre qui pouvait nous réconforter au plus profond de notre être, aussi mal était-on. On me connaissait en Raïu, peut-être de nom, de visage ou pas du tout. Je n'avais plus qu'à compter sur ma chance.

Personne aux alentours. Juste eux et moi, pouvant les briser pour l’éternité en un clin d'œil. Je continuais sur ce même ton apaisant. "Écoute moi. Je ne vais pas vous faire de mal, juste essayer de vous faire sentir un peu mieux pour ne pas vous faire de mal en vous emmenant à l'hosto. Je ne peux pas vous laisser comme ça." Je connaissais plusieurs techniques, mais j'ignorais laquelle utiliser. Le nirvana, afin qu'ils se sentent comme dans du coton en guérissant un minimum, ou bien carrément les endormir pour les emmener là-bas ? En agissant de la seconde façon, j'avais peur qu'ils ne se réveillent plus, d'autant plus que je n'étais pas bien sure que la fille n'avait pas déjà rejoint le royaume des morts. Cette pensée me fit frissonner, comme si des milliers d'insectes s'étaient jetés d'un coup sur moi avant de grouiller sous ma peau. Alors ma décision fut prise, et vu leur état, la première était la meilleure. Je posai ma main froide sur le front du jeune homme, et laissai mon chakra aller à la rencontre du sien, modifiant ses perceptions du monde alentour pour le plonger dans un état second. Je l'avais déjà expérimenté sur moi-même, et le résultat avait été concluant. Paix, sérénité, et j'en passe. Une fois chose faite, je fis quelques pas en arrière pour faire de même avec l'autre protagoniste présent ici.

Une fois que les deux me semblaient sous mon emprise, je m'attelai à la tâche de les jeter chacun sur une épaule, en prenant garde de ne pas les blesser d'avantage. Je me dois d'avouer que j'eus un peu de peine à me relever une fois la deuxième personne chargée, mais une fois redressée sur mes jambes, tout glissait comme un couteau dans un beurre très tendre. Je me mis à marcher d'un pas lent, dans un silence des plus complets, m'assurant qu'ils n'émergeaient pas brutalement. Il me restait un bon paquet de chakra en réserve, alors atteindre l'endroit voulu avant mon épuisement allait être un jeu d'enfant. J'entendis quelques voix sur mon passage, élogieuses ou pas. Allez savoir, quand on associe à votre nom le mot torture, les gens vous prennent pour le diable en personne, et ne cherche même pas à vous connaître un minimum. Regrettable, mais tant pis pour eux. De toute manière, je n'avais pas envie de faire la connaissance d’abrutis pareils. Une fois sur les lieux, je laissai les deux individus aux bons soins des médecins, en coupant la liaison que j'avais entretenue durant tout le chemin. Les docs étaient expérimentés, je n’avais pas de soucis à me faire quant à les revoir en un seul morceau. Cependant, je n’avais aucune idée du temps que cela prendrait. Alors je demandais à une infirmière la chambre que le garçon occuperait ensuite, puis m’y rendis en prenant place sur l’unique fauteuil de la pièce, aux cotés du lit. Je dus mettre un peu de sang sur le tissu blanc, celui-ci s’étant imbibé dans mes fringues avec ma petite escapade.

Puis je rejetai ma tête en arrière, calant de la sorte confortablement ma nuque sur le dossier. Quitte à attendre, autant que ce soit d’une manière agréable, sans pensée capable de trahir la minuscule carapace que je m’étais formée en allant ici. Dans tous les cas, lorsque je me retrouverais de nouveau en compagnie de l’inconnu, conscient de préférence, je lui demanderais de m’expliquer ce qu’il s’était passé. Après tout, j’aurais pu repartir une fois ma tache faite, mais j’avais besoin de savoir, curiosité presque maladive.

Citation :: Nirvana
L’utilisateur utilise les illusions pour soigner et aider plutôt que pour provoquer des blessures psychiques. Dans une illusion de calme, de volupté, l'utilisateur trouve temporairement la paix.
Coût : 70PC
Effet : Redonne 50PV et provoque l'effet d'un onguent, d'un anti poison, et d'un bandage.

|Si mon post pose le moindre problème quant aux initiatives prises ou autre chose, n'hésite pas à me le faire savoir via mp ^^|

Sujet: Re: Es-ce la Fin? 2010-01-30, 19:35

.....

Hadès s'improvisait en maître d'orchestre, dirigeait nos pas dans un ballet machiavélique auquel je m'immisce. Mal être, envie de disparaitre, c'est ce que mon corps éprouvait. Des morceaux de ma chair se mariaient avec le vent et ma douleur de plus en plus ardente, me jouait des tours. Mes aptitudes d'examinateurs se dissipaient, je ne discernais plus rêve et réalité. Mon organisme devenait froid, froid comme une feuille morte tombée de son arbre. Heureusement que mon anatomie était habituée à ce genre de températures, autrement ça ferait un bon moment que j'aurais rejoint les âmes perdues-sous terre. Quand même, vingts ans, c'était bien trop jeune pour finir mon histoire. Je n'avais même pas encore rencontrer l'amour. Je n'étais même pas encore Ninja... Je me devais de rester en vie pour honorer et perpétuer ma famille.
Les râpasses avaient beau avoir pris la fuite, mon subconscient s'inquiétait toujours autant pour l'existence de ma jumelle. Toute ma vie avait été fondée sur elle. Nous qui étions si soudés, nous étions le début et la fin, le yin et le yang, à la fois la moitié et le double de l'autre. Je ressentais tout ce qu'elle endurait. Ses douleurs, ses élancements, ses souffrances, son agonie et même les battements de son cœur qui ralentissaient. Quelle était donc notre destinée l'un sans l'autre ?! Elle sans moi ? Elle n'arriverait pas à vivre sans une défense ! Moi sans elle? Je n'arriverais pas à vivre sans ma conscience ! Autant périr tous les deux. . .

Tandis que de mes yeux s'écoulait des larmes et que de mon bras s'écoulait du sang, la jeune femme n'était apparemment pas un ange, s'approchait de mon corps massacré. Malgré qu'elle n'était pas une créature céleste, elle était tout de même divine. Des yeux bleus pleins d'attendrissement et de vigilance, une beauté inégalable à couper le souffle, une fine bouche et une chevelure lisse et soyeuse. Elle s'agenouillât à côté de moi et se mit à parler. Je n'avais pas la capacité nécessaire pour discerner les mots qui sortaient de sa bouche, mais sa voix chaude et sensuelle, me fit comprendre qu'elle était venue à mon secours.
Sa voix, une musique de mots qui ruisselaient délicatement en mon cerveau. Une crème onctueuse et savoureuse. Elle avait un effet hypnotique sur moi. Pendant une fraction de seconde, je m'évadais de ce cimetière pour me voir reposer sur un nuage blanc au milieu d'un nombre incalculable d'autres nuages identique et d'arc en ciel plus grand les uns que les autres.

La pluie se faisais de plus en plus forte et épaisse. Trois petites gouttelettes suffirent pour me sortir de mon utopie et me ramener à la dure réalité. C'était incroyable comme le temps passait lentement. J'aurais tout donné pour interrompre ce cauchemar interminable. La survie du clan Nezu était primordiale et à présent entre mes mains. Après l'accident dont nous étions les victimes, ça allait être difficile de remonter la pente. Il le faillait, autrement toutes les âmes sacrifiées, ce seraient détruites en vain. . .
Après que la jeune femme ai prononcé quelques mots, je finis transporté dans un bien-être inattendu. J'étais de retour dans un rêve . . . J'avais comme l'impression que mon corps se régénérait. Devant moi je percevais une plaine magnifique remplie d'arbres, de fleurs et de souris. Le ciel était mauve et remplis d'arc en ciel. Au milieu, une sublime lumière blanche. . . Est-ce la Fin?

.....

Fin Du RP! Suite >>>> La Sortie du Rêve

.....