Salle n°1 [Pv: Orochimaru / Membre d'Oto]

Invité

La Connaissance est limitée Notre soif de savoir, notre désir d’acquérir sans cesse quelque chose, nous font perdre l'amour. Nous émoussons notre perception du beau, notre sensibilité à la cruauté. Nous nous spécialisons de plus en plus et sommes de moins en moins intégrés. La sagesse ne peut pas être remplacée par des connaissances et aucune somme d'explications ni aucune accumulation de faits, ne libéreront l’homme de la souffrance. Le savoir est nécessaire, la science a son utilité ; mais si l'esprit et le cœur sont étouffés par les connaissances et si la cause de la souffrance est obnubilée par des explications, la vie devient vaine et n'a plus de sens. Et n’est-ce point cela qui se produit pour la plupart d’entre nous ? Notre éducation nous rend de plus en plus creux; elle ne nous aide pas à déterrer les couches profondes de nos êtres; et nos vies deviennent de plus en plus inharmonieuses et vides. L’information ou connaissance des faits, bien qu'elle augmente constamment, est, par sa nature même, limitée. La sagesse est infinie, elle inclut la connaissance et le processus de l'action ; mais nous saisissons une branche et croyons que c'est l'arbre entier. La connaissance d'une partie ne peut jamais nous faire réaliser la joie de la totalité. L'intellect ne peut pas conduire au tout, car il n'en est qu'un fragment, qu'une partie.
J'étais peut être trop arrogant et sur de moi mais je je m'estimais valoir plus que ces hommes qui animé de leurs fourberie et d'une absurdité sans pareille cherchent encore et encore la solution à leurs problèmes. Ils veulent tant se surpasser, ils veulent tout connaître et tout comprendre mais à quelle prix ? L'homme ne doit-il pas rester dans l'ignorance ? Sinon la vie n'aurait rien d'agréable. Son côté fait de loin son importance pour nous les hommes. Est-ce une illusion ou bien est-ce le monde qui s'offre à nous ? Se livrant à l'homme telle un guerrier dans l'échec, comme dépourvue de sa fierté le monde s'agenouille.
Cela me rendais triste, presque malade mais moi aussi j'étais un homme. Moi aussi j'avais soif de découverte et je convoitais une immense richesse: Le savoir. Si la connaissance intriguait une minorité de notre population, cela suffisait pour user notre bel univers par nos pratique archaïque. Au fond nous voulions simplement découvrir l'origine de notre existence et l'expression ''Moins j'en sais mieux je me porte'' ne nous atteignait pas le moins du monde. Les hommes plus têtus que jamais ne n'arrêterons jamais et tant qu'il reste une part de mystère à cet univers infini il ne cessera de s'y épanouir, lui et ses fichues idées.
Je me contentais moi, d'observer la création des Dieux car même si mon esprit côtoyait la science j'estimais la présence d'une entité divine qui par un procédés inconnue ou imaginaire aurait pu mettre au monde un telle chef-d'œuvre. Je suis incohérent et absurde me direz vous, mais n'ai-je pas raison ? Ne faut-il pas s'ouvrir à toute possibilité ? N'ait-il pas avantageux de défendre deux point de vue différent ? Ou bien est-ce mon esprit qui me joue des tours qui dans mon inconscience me fait sombrer dans le néants ? Ces questions comme celles qui taraude l'homme sur le monde s'avèrent réthorique aussi, elles n'avaient d'utilités que pour faire ma transition.

Seul, toujours seul je méditais (...) Observant avec dégout le corps décomposé d'une jeune fille il me suffisait d'un regard pour étouffer ce désirs profond de créer. Car comme tous ses hommes je convoitais le rôle des Divins et souhaitais à mon tour agir et ne plus me contenter d'observer ce qui a été créer mais de créer pour que le monde puisse en bénéficier. Mais avant ça, seul mes services à mon maître me satisfaisais. Seul lui pouvait me permettre de gravir les échelons vers mon objectif principal qui n'était finalement que depuis quelques jours.
Je me trouvais comme à mon habitude isolé dans cette immense pièce qui faisait office d'infirmerie. J'en étais le propriétaire (...) En effet je me devais d'assurer en plus de la sécurité d'Orochimaru la santé de ses fidèle acolyte. Seul moi pouvais les satisfaire et le rendre forme humaine après s'être mutilé comme de vulgaire guerrier. Je me demandais comment pouvait-on servir un homme, aussi bon soit-il par sa vie. Même si je convoitais avec aisance les idées du vieux Serpent Blanc je me devais de garder ne serait-ce qu'un soupson de raison afin de ne pas sombrer dans la dépendance à l'image de tous ces pions qui donne corps et âme pour leur maître. Cela me satisfaisait mais me répugnais....
Cette même dépendance dont je parlais était belle et bien présente en moi car même si je paraissait libre de mes mouvements et de mes pensés j'en était pas moins soumis à mon maître. Poussé par l'absurdité qui fait des hommes des êtres désireux de pouvoir j'ai froler la mort et côtoyé le pouvoir immense d'un être comme Orochimaru. Ce dernier, satisfait de mes services avait toutes confiances en moi et je ne pouvais ne pas en profiter. Aussi j'ai suite à de futiles évènement incorporer une brève partie de son corps au mieux. J'ai greffé à ce corps vierge et mortel une infime entité appartenant à mon maître. Il me suffisait d'un seul bout de peaux, d'un seul organe pour que celui-ci s'intègre à mon corps et plus encore s'y développe pour m'offrir non seulement une dépendance mais aussi un pouvoir certains. Orochimaru symbolisant la réincarnation possédait un corps lui permettant bien des exploit, mon corps d'humain n'était rien comparé au sien.
Habité par une entité semblable aux corps de mon maître je me voyais possédé et offrir une forme que je n'ai jamais connus auparavant.
Je ne souhaitais cependant pas que cela se sache, alors par un procédés qui m'ai particulier j'ai cicatrisé toutes trace de l'entité qui à chaque instant tentait de prendre possession de mon corps. Chaque seconde passé était un défit à relever pour moi, je me devais de résister et de trouver mon moi intérieur, ainsi pouvoir au yeux d'Orochimaru être autres qu'un simple serviteur. Je voulais qu'il voie en moi un véritable allié sur qui il pouvait conter mais était-ce ce que je souhaitais vraiment ? Bref, cela avait peu d'importance je devais du moins m'occuper d'une tout autre affaire. J'observais alors à nouveau le corps inerte d'une jeune fille qui à ma plus grande peine se retrouvait étalé sur un brancard:

Soka... Soka... que vais-je bien pouvoir faire de toi (...)

Le corps mutilé ne servais plus à rien et n'aura d'utilité qu'une fois brulé. Que pouvais-je bien en faire ? Je pouvait essayer de le rétablir ou encore de lui redonner vie mais cela ne serait que du gaspillage. En faisant cela je ne ferait que gaspiller inutilement de mon chakra. Mais le plaisir de voir un corps sans vie ni expression renaitre était pour moi une grande satisfaction et un moment d'une émotion sans pareille. Aillais-je être aussi fous au point d'entamer une expérience sur un telle déchet ? Et bien oui... Non pas parce que je m'ennuyais mais parce que comme tout être cette jeune fille mérite de retrouver la vie. En faisant cela je ne me considérait pas comme un Dieux loin de là (...)
En faite, d'un point de vue ouvert à toute probabilité je me considérais comme un courtisant des Dieux qui pour ses loyaux services s'est vue offrir d'incroyable capacité médicale. D'un point de vue scientifique et plus fermée j'étais simplement un homme convoitant le surpassement humains et une perfection encore inexploité.
J'entamais donc mes travaux et créant de vulgaire scalpel issus de mon chakra je tentais avec entrain de redonner forme à ce corps dépossédé de ses membres. Une vison horrible que peu d'homme pourrais supporter. Je faisait partie d'une minorité qui par ses fonction avait le talent nécessaire pour intervenir sur de tel patient. Ne me considerez pas comme le centre médical d'Oto (...) J'étais avant tout un Ninja qui même sur le front pouvait s'avérer utile. Les gens pensent que les Techniques médicales sont inutile en combat et bien moi je pense le contraire et je défit ceux qui pensent ainsi. Et il verront au prix de leur vie qu'il est impossible de vaincre un Shinobi ayant de telle capacité.
Le temps s'écoulait plus vite que prévue et mon opération quand à elle s'attardait. Il était peut être temps de l'achever aussi, après quelques minutes je terminais en beauté donnant vie à une nouvelle personne. Le corps s'avérait être intacte à peu de chose près mais il lui fallait désormais donner la vie. Chose que je ne pouvais me permettre de faire du moins pour le moment.
Dans un élan de créativité où la fourberie anime l'esprit je constatais la présence d'une troisième personne. Un invité qui aussi prudent que silencieux entre-ouvrait la porte... Qui cela pouvait-il bien être ?

Sujet: Re: Salle n°1 [Pv: Orochimaru / Membre d'Oto] 2008-05-28, 00:57

Je m'éveillais, c'était le pays natal...

Ou du moins celui que ma mémoire conçoit en tant que tel.

Le sol était si familier, l'herbe haute qui caresse avec délicatesse les mollets et la couleur du ciel même semblait accueillir Doreika, lui signaler qu'elle était enfin arrivée la où elle le souhaitait, dans un lieu familier après une victoire, sur elle et sur sa mission.

Elle touche, hésitante, le sentiment de la chose accomplie, l'impression d'avoir donné le maximum, outrepasser ses limites avec un but, un espoir, bref la vie même, une chose précieuse quand on court après son passé.

Comment être heureux quand l'on rentre dans un pays voué à une personne, un culte du chef exacerbé ? Un endroit ou le concept de l'humain fut maintes fois dépassé ?

Heureux....

Un mot, un état d'esprit, qui peut prendre racine dans bien des situations, même dans celles où on ne l'attend pas.

Le coeur précipité, Doreika contemple la statue du serpent, le premier signe de son entrée dans le domaine d'Orochimaru-Sama :

*Enfin...même si ma mission fut riche en enseignement, je ne suis pas mécontente de retrouver cette ambiance....*

Une ambiance ou une dépendance ? Doreika aime cette atmosphère, une aura particulière qui se détache de ce lieu, une chose qui vous prend au coeur et qui vous condamne à revenir, encore et encore, enchaîner son destin à celui du serpent.

Un corridor noir, des lumières inquiétantes, des cellules numérotées, codées...

*l'infirmerie de Kabuto...je sais que je devrais profiter de mon retour pour m'annoncer à Orochimaru-Sama et me reposer mais j'ai quelques questions à lui poser...après tout, c'est lui qui me remit mes missions en main propre...si tant est que l'on peut qualifier les mains de Kabuto comme étant propres....*

Une porte ouverte sur une salle de soin, d'expérience, d'art ?

Doreika se retrouvait face à un homme intriguant, une personne constamment suivi par un voile de mystère, des rumeurs sans fondements. Kabuto ou l'art et la manière de basculer du génie à la servitude, des basses tâches à la confiance de l'être adoré par tous.

*Il dégage toujours la même impression, cette envie, cette odeur...*

Doreika se retrouvait souvent à ses côtés pour les multiples expériences que son corps a subies et cet homme est le principal preneur de sang de son corps, ce liquide si précieux pour Doreika alors même qu'elle en ignore tout. Kabuto est le seul être qui se retrouve dans l'ombre d'Orochimaru-Sama, une adoration comme bons nombres de pions d'Oto ?pas exactement, ou du moins c'est ce que pense Doreika du haut de ses 19 printemps :

*l'ombre...un environnement qu'il ne connaît que trop bien..servir le serpent, une tâche qu'il accomplit mieux que quiconque..Mais...une pointe dans son visage, une expression, des paroles, quelque chose me dit que cette servitude est provoquée par un aspect plus important, cet homme cache dans son coeur un secret bien plus profond qu'une adoration envers Orochimaru-Sama....*

Une salle d'une blancheur familière, une table d'opération et un corps féminin nue, fragile, mort semble t-il, mais des doigts si particuliers sont passés par là, une tentative de réincarnation ou une expérience sans réel but. Un art scientifique que l'homme de main du serpent s'évertue à travailler sans relâche. Doreika a eu souvent l'occasion de contempler le spectacle macabre d'une enveloppe charnel manipulée par une autre enveloppe charnel beaucoup plus décidée, sadique, artiste. Déformer un corps, le recoudre, le transfigurer, jouer avec une limite invisible, celle de la nature, une ligne qui sépare l'homme et l'éther. Peut être que Kabuto se figure tant de grandes choses en manipulant avec un amour , dont le but échappe à beaucoup, les corps décharnés ou pleins de capacités qu'il faut exploiter.

« Je suis revenue de ma mission et les résultats sont concluants...l'objectif est accompli malgré quelques problèmes qui m'ont menés à tuer...mais Orochimaru-Sama peut être tranquille, la drogue est bel et bien implantée dans le village du sable.... »

Une voix bien faible pour remplir tout un endroit lourd de sens. Doreika s'adresse timidement à un homme marqué par le sceau du secret , elle le voit souvent mais les paroles entre ces deux personnes n'ont jamais été franchement aboutis. Chacun semble occupé dans sa propre pensée, ses propres tourments et ses propres désirs. Dans un élan de hardiesse, la kunoichi d'Oto tente une question, le réel but de sa visite, une proposition qu'elle va jeter en l'air alors même que le résultat est connu d'avance :

« Kabuto-Sama....pourquoi mon sang est t-il important ?..... »

L'honnêteté est elle possible entre un sujet d'expérience et un deus ex machina ? Est ce que Doreika est intimement persuadée que l'homme qui se trouve devant elle va pouvoir répondre à un de ses troubles suite à sa mission de Suna ? L'espoir fait vivre et les tentatives, même hasardeuses, ont leurs places dans cet environnement ou le silence est synonyme de déchéance.

Spoiler:

Invité

¤

"C'est une réponse qu'il ne saurait encore te donner de façon si prématurée..."

Le serpent était là.

Tandis que sa voix tranchait l'air avec le caractère soudain d'un coup de vent rapide et brutal, la douceur de sa voix venait jouer un rôle contrebalançant efficace. Toujours avec autant de légèreté, il s'imposa dans la pièce comme s'il eut été nécessaire qu'il apparaisse ainsi et vienne ôter à la jeune fille l'espoir de voir des informations lui parvenir si tôt, sans son contrôle et son aval sacralisant.

"Je dois te faire parvenir ton salaire, Doreika..."

Inutile de se perdre dans des discussions inutiles. Si elle était là, en vie, c'est que la mission s'était bien passé et qu'elle n'avait pas eut à ingérer la pilule de mort. Kabuto, lui, se tenait face à un corps inanimé.

"Kabuto. Pourquoi ce corps est encore ici ?" Ajouta Orochimaru en jetant un coup d'œil rapide au corps.

La question, encore une fois, dénotait d'une tendance lourde à l'économie de mots. En une phrase, il se complaisait à réunir ce qu'il faudrait dire en dix.

Orochimaru n'avait pas encore complètement pénétré la pièce qu'il avait déjà accaparé l'esprit des deux personnes présentes en leur adressant successivement la parole, ce qui était une habilité très mondaine, sociale, en dépit de l'apparence très froide du serpent blanc de Konoha.

"Je souhaite m'entretenir quelque peu sur les résultats de Kabuto à ton propos. De plus, ce lieu n'est pas opportun pour des discussions entre membres du village caché du Son.

De ce fait, je souhaiterais que tu prennes congé de nous jusqu'à ce que te parvienne un rapport qui t'éclaireras sur beaucoup de points..."

Il ajouta, avec un peu de démagogie.

"Il est important pour toi, pour ton bien être, et donc, pour moi, que tu en sache un maximum sur tes capacités... Plus tu en sauras, mieux tu pourras en faire usage. A bientôt."

En renvoyant Doreika à sa chambre-cellule, Orochimaru pourrait converser paisiblement avec Kabuto. Une action simple, peut être difficile à digérer, mais Orochimaru, notons-le, n'était pas forcément obligé de donner une raison quelconque pour envoyer quelqu'un dans le corridor des destins.

[En théorie, les Mission de Rang B doivent être narrée (en l'occurence par moi, pour te mettre des ennemis PNJisés et te laisser les tuer ou les embaucher, ou je sais pas quoi). Etant donné que je n'ai pas eu le temps de contrôler le flux de ton esprit créatif (plus vif que la réparation de mon PC) peu importe ^^

Gains : 800 Ryôs et 10 Points.

Si tu aspires à une nouvelle mission, ma boite à MP est toujours ouverte.]

Invité

Tout était allé si vite. Je besognais à mes travaux, sur de moi mon œuvre approchait de la perfection. Je ne m'estimais pas artiste mais il me fallait bien avouer que les résultats de mes expériences était concluant et telle de véritable chef-d'oeuvre elles me satisfaisait et me rendait heureux.
Je n'était pas un de ces fous pour qui la vie n'a de sens que pour créer la destruction. Mon esprit contrairement à ce que l'on pense était seins et l'objectif qu'il visait était on ne peu plus banal. Je m'attardais d'avantage sur ce corp inerte et sans vie tandis que l'effrayant silence qui dominait la pièce fut rompu par un bruit aigu. Celui de la porte qui s'entre-ouvrait révélant l'identité d'une second personne. Il ne me fallut que quelques seconde pour connaitre son identité. Son aura se faisait ressentir à quelques mètre et plus encore sa préstence dès plus entrainante me laissait presque sans voix. Elle n'était pourtant elle aussi d'un vulgaire pion ; Non, ce terme ne me plait pas. Cette jeune Kunoichi s'avérait être un fidèle d'Orochimaru. Un partisan qui par ses capacités et son caractère servait dignement les idées du serpent Blanc. Un peu comme moi à la différence que je ne me considérais pas comme " soumis " à mon maître. Elle portait le nom de Doreika et elle était à mon humble avis l'un des plus intéressants Ninja de ce village.
Je l'observais attentivement alors qu'elle progressait dans une obscurité déplaisante. J'imagine encore son regard... Cette expression qui vous laisse sans voix. Son charme particulier ne m'atteignait cependant pas. Il me fallait simplement imaginé les mains diabolique et souillé d'Orochimaru agir sur son corps jadis pure pour que son charme me répugne. Orochimaru savait choisir ses sujets il était d'ailleurs très sélectif et ralliait à sa cause les plus fort mais surtout les plus atteignable.
Elle n'attendit pas une seconde de plus et se mit à annoncé la réussite de sa mission. tout me paraissait ordinaire mais à cela elle ajouta une question qui me gênait au plus haut point. Etait-ce car la réponse m'était inconnu ? Ou parce que trop dure à supporté je ne souhaitait pas la lui dévoiler ? Il y avait un peu de sa mais moi même je l'ignorais. Je savais simplement qu'il ne fallait en aucun cas indiquer les projets sur mes recherches. Aussi j'attendais un court moment avant de satisfaire la Kunoichi par une réponse nette. M'apprêtant à la décevoir je sentis à ma plus grande joie mon cœur s'accélérer. Qu'en était la cause ? Mon regard chavirait sans que je puisse le contrôler, ma gorge se resserrait sans que je ne puisse agir ! Il était là... Orochimaru.
Le vieux Serpent Blanc d'Oto, jadis de Konoha par une entrée ma foie dès mieux tombé interrompait mon élan afin de répondre à la jeune Kunoichi. On pouvais voir ça comme de la chance ou peut être comme un timing parfait. Orochimaru plus impressionnant que jamais souilla le sole de cette pièces par son chakra monstrueux. Je pouvais le supporter, de même pour la Kunoichi mais quand était-il de la pièce ? On pouvais ressentir l'atmosphère pesante qui frappait notre corps. Orochimaru après son entrée on ne peut plus remarqué s'adressa à Doreika : Lui affirmant qu'il n'était pas nécessaire voir possible que je lui apporte une réponse il évoqua ensuite une éventuel récompense pour sa mission qui fut un réel succès. Quand à moi il ne cessait de me fixer à plusieurs reprise. J'évitais malgré moi de croiser son regard perçant qui en une seul seconde peu vous perturber à en mourir. Il ajouta cependant après m'avoir longuement fixé : " Kabuto. Pourquoi ce corps est encore ici ? ". Mon esprit égaré me ralentit à la création d'une éventuel réponse. Et avant qu'il ne puisse s'adresser à nouveau à la Kunoichi je m'empressai de déclarer :

Mes travaux comme vos projets ont besoins de temps... Mais rassurez vous, ce corps ne sera plus à votre prochaine visite

Voilà qui était dit. N'était-ce pas trop arrogant ? Comparant mes propres travaux à ses projets j'y apportais une sorte de critique que le serpent blanc n'allait peut être pas approuver. Mais au fond c'était ça qu'il aimait chez moi. Cette façon délicate de provoquer une personne en restant polie et sage. Lui même était partisan de ce genre de vulgarité et savait que je ne pensais pas mal en m'adressant ainsi.
Il n'eut le temps de réagir qu'il ordonna à la terrifiante mais attachante Doreika de quitter les lieux pour qu'il s'entretienne avec ma propre personne. Voilà qui était intéressant. J'ignorais ce dont il voulait le parler mais cela devait être important. Du moins assez pour qu'il demande à la Kunoichi de s'effacer.
Il disait vouloir s'entretenir avec moi sur les résultats à son propos. Bien que la jeune Doreika est été très exploité par mes mains j'ignorais un tas de chose sur elle. Le peu que je savais ne me satisfaisais pas. Je voulais l'exploiter beaucoup plus et pouvoir tirer le maximum d'information sur les capacités qui lui ont été offerte. Après tous telle était mon travail au côté d'Orochimaru.

Orochimaru-sama (...) Vous la connaissez mieux que moi je la connais. Vous être celui sur qui elle croit compter. Je ne sert que de transition entre vos deux esprit. Il me faudrait toutefois plus de temps pour exploiter son potentiel, car bien qu'on le considère il s'avère capricieux, presque insaisissable...

Disais-je ça par crainte que Doreika ne m'entende ? Ou bien était-ce vraie ? Bien qu'il me fallait d'avantage de temps pour exploiter la jeune Kunoichi je ne pouvais tenir compte de son passé ni des événement qui ont précédé sa venue ici. Orochimaru était très pointilleux à son sujet et m'interdisait quelques informations. Etait-il méfiant ? Non je pense qu'il se réservait le droit d'en savoir d'avantage que moi sur ses partisans. Mais il semblait vouloir me révéler des informations importantes pour mes recherches. Etait-ce qu'une impression ? Ou était-ce vraie ?
Je patientait et voyait la jeune Kunoichi s'effacer tandis qu'Orochimaru la fixait d'un air presque intéressé. Il devait surement y apporter la plus grande attention mais était-ce le cas pour tous ses élèves ? J'en doutais fort mais après tous cela ne me regardais pas.
Je me contentais donc d'attendre bien que ma patience avait des limites assez restreintes. Je sentais cependant qu'un grand évènement allait marquer l'esprit. Serait-ce les futures déclaration du Serpent Blanc ? Ou bien une éventuel réaction de Doreika ? L'avenir me le dira et c'est avec entrain que je le guettais.

Sujet: Re: Salle n°1 [Pv: Orochimaru / Membre d'Oto] 2008-05-28, 23:05

Des mots qui fendent l'air comme une dague, une influence qui s'accroche à vous et ronge la moindre parcelle de votre corps, votre esprit. Toute influence est profondément immorale, c'est le don de son âme à une personne qui se complaît à perdre son identité au profit de la votre, un jeu dangereux ou les deux protagonistes risquent d'y laisser plus qu'un instant gâché. Doreika ressent cette impression si dangereusement excitante toutes les fois ou l'ombre du serpent s'abat derrière elle, susurre quelques mots subtilement pesés, avec charme et ironie. Elle est venue ici dans l'espoir d'en savoir plus, de se détacher du lien si fort avec Orochimaru-Sama qui emprisonne ses propres désirs, son identité au profit d'une existence factice, fabriquée d'avance par un Otokage aux objectifs grandiloquents.

Il suffit de quelques instants, une arrivée inattendue, pour que Doreika se rende compte que ce n'est pas encore le jour espéré, le moment ou toutes les questions qui la troublent trouveront une réponse. Au lieu de cela, son maître lui fait miroiter un salaire, un éventuel rapport, en somme le rituel sadique de la carotte au bout du bâton n'est pas près de prendre fin.

*Qu'il en soit ainsi....heureusement qu'une chose subsiste en moi....une intime conviction....je parviendrais à mes fins, même si je dois y perdre la vie ....je patiente longuement car je sais que tout s'éclairera....je ne peux l'expliquer mais j'en suis certaine.....*

Doreika fut quelques peu attristée d'être interrompue dans sa discution avec Kabuto, elle savait très bien que les résultats ne seraient pas concluants mais l'apparition d'Orochimaru-Sama eut un effet glaciale pour son coeur, une mauvaise note dans une partition, un son plus haut que les autres qui casse une harmonie préparée, espérée.

« Merci à vous Orochimaru-Sama......puisse ce bien être venir assez vite ...pour moi, pour Oto no Kuni...pour vous.... »

Une simple phrase avant de tourner le dos, faire profil bas et quitter une pièce en sentant dans son dos le poids d'un regard inquisiteur, deux yeux persans, deux yeux de serpent.

Kabuto et Orochimaru désormais seuls dans cette pièce, deux hommes de l'ombre, Doreika n'a pas sa place même si le voile noir du doute plane plus que tout sur son être.

ps:okayyy ce post signale juste que je quitte la pièce et que vous êtes désormais seuls. Doreika est partie avant le dernier commentaire de Kabuto sur mon personnage

Je ne suis donc plus dans ce topic XD

Invité

Elle laissa donc derrière elle les deux hommes, livrés à eux même, sans la présence délicieuse de la femme au glabre somptueux et inquiétant.
Kabuto face à lui, il était temps de passer aux choses sérieuses :

"Cette femme... Son sang recèle un secret inestimable, Kabuto."

Tandis qu'il parlait, il posa un dossier noir sur une petite table de fer blanc. On pouvait lire le nom de la jeune Kunoichi. Chaque page étant en soi une déferlante de chiffres aux apparences insensées, de mots scientifiques aigus et de relevés indéchiffrables. C'était ça, le lot d'une paire de génie ayant à coeur de percer l'Humain, au propre comme au figuré, pour en déterminer les secrets les plus grandioses...

Chaque information trouvée sur un cadavre pouvait valoir des millions. Sur un corps vivant, il suffit d'ajouter quelques zéros. C'était pour cela que les Oi-nins, Anbus, ou autres ninjas d'élite se devaient de rapatrier au plus vite la dépouille de leurs ninjas les plus puissants. Conserver un secret ancestral et séculaire était bien plus important que des vies qui n'en contenaient pas. Doreika avait la chance, ou le malheur, d'avoir attisé l'attention d'Orochimaru de bien des manières, et c'était en soit quelque chose qu'elle ne pourrait que bien prendre : Orochimaru ne la laisserait pas mourir stupidement.

Tandis que Kabuto se préparait à l'écouter avec l'attention qui lui était due, Orochimaru fit quelques pas dans la salle tout en accompagnant ses mots de ses mains, comme les orateurs les plus habiles.

"...Son passé est trouble. Son clan vénérait un dieu bien étrange, et à ce culte morbide est lié un pouvoir héréditaire incomparable : la maitrise du sang. Elle n'a pas d'intérêt, prise telle qu'elle, de façon brute. Mais sur le long terme, elle peut s'avérer d'une efficience remarquable..."

D'un geste, jeta sur une table proche de Kabuto un papier contenant de vieux documents jaunis par le temps assoiffé de vies.

"Te souviens tu de cette histoire lointaine : Iwa en grand nombre descendait sur Konoha et passa par Oto pour saisir le pays du feu au revers. Oto n'avait pas encore de puissance militaire et ne comptait que des villages gravitant autour d'une cité centrale gérant les flux de riz. Peu importe. Ces soldats pillaient et violaient tout ce qui passait sous leur route, semant panique et trouble, mais étouffant toute rumeur en piétinant les corps suintants de leurs victimes...

Perpétuant leurs crimes ignobles ou purement humains, cela dépend d'où on se situe, le groupe entier disparu sans laisser de traces de son passage. L'avancée d'Iwa fut alors perturbée par de nombreuses pertes dues à ce qu'on fit passer pour un coup d'éclat stratégique des ninjas de Konoha.

Mais il n'en était rien... Tu étais trop jeune pour connaitre cela, mais ton père, excellent ninja médecin présent sur le front à l'époque, m'a raconté cet événement avec, je m'en souviens encore, une tension palpable au travers de tous ses mots...

Il faisait partie d'un groupe d'éclaireurs Anbus supposés surveiller les allées et venues de ninjas à Ame puis Oto. Un soir, il tomba sur un spectacle des plus macabre. Des ninjas, arborant avec pitié des bandeaux d'Iwa, tous complètement déséchés. En les examinant pour établir une cause de leur mort, il se rendit compte que les victimes avaient complètement été vidées de leur sang et de tout flux vital. A leurs côtés, d'autres, qui présentaient chacun des symptômes de maladies toutes différentes, mais ayant eut pour effet de tous les tuer à un intervalle de temps assez proche.

Le constat post mortem fut alors sans appel, ces morts étaient provoquées par un jutsu extrêmement puissant, capable de réduire à néant les défenses immunitaires d'un ninja, au delà de toute considérations sur les capacités de celui-ci. Nous sommes tous égaux face à la mort, me disait t'il...

Dans tous les cas, je pense que ce dossier te permettra de faire un lien fascinant."

Il laissa à Kabuto un temps assez bref pour lui permettre de lire l'introduction du dossier de Doreika. Ce qui lui permis d'enchainer aussitôt dans son développement.

"... Oui. Tu as bien compris. Une maitrise du sang. Ce qui t'empêchait de voir l'intérêt du sang étrange de Doreika était simplement ton inexpérience : tu n'avais pas connaissance de cet événement étrange. Maintenant que tu es au fait, tu peux faire le même lien que moi entre cette jeune fille et le sort réservé aux ninjas d'Iwa..."

Comme des éclairs pourfendeurs de nuages frêles et coupable d'être trop légers, les mots d'Orochimaru se voulaient similaires à ces cris de tonnerres rageurs et bruyants... Son regard était brillant d'une flamme d'excitation que Kabuto n'avait put voir qu'à peu d'occasions...

"Quand je l'ai trouvée, elle était seule, blême, au teint maladif et livide. Je me suis renseigné sur son clan après avoir vu avec elle les corps inanimés de ses parents... Tout ça doit être assez peu consistant pour elle, qui ne se souvient de rien... Son passé est peu défini, mais l'est assez pour permettre d'inférer que ses parents furent peut être victimes d'une vengeance des ninjas d'Iwa... Avec de telles compétences, difficile à croire qu'ils aient pu se faire avoir si facilement... Bref, comme tu le sais, je ne parle que rarement au travers de supposition. Laisse moi te faire part d'une dernière...

Tu es un ninja médecin brillant : que ferais tu si tu avais le pouvoir de combiner tes jutsus de soins à une régénération ou altération de ton propre sang, que ferais-tu si tu pouvais contrôler le sang de tes adversaires, le combinant à ta connaissance du corps humain et de ses limites ? Imagine que le sang deviendrait si familier que tu pourrais le contrôler à ton gré... Imagine pour finir ton pouvoir, combiné à celui du sang, à grande échelle..."

Cette fois, ce regard qui l'habitait n'était plus celui d'un homme excité, mais d'un démon, empli d'une démence inquiétante mais fascinante. C'était dans cette transe qu'Orochimaru pouvait susciter le plus de crainte et d'adoration, quand il parlait comme un dieu accompagnait chaque geste avec une énergie sans limites...

"Tu serais alors la Peste Noire, rampante, détruisant et oblitérant tout espoir de survie... Tu serais le Choléra en te propageant sans la moindre retenue... Tu serais maitre de millions de vie à chacune de tes décisions et actions... Tu serais la Mort...

...et Konoha...

...le Charnier."

Invité

La douce et pertinente Doreika s'effaçait peu à peu, laissant les deux hommes seuls sans aucune surveillance. Ainsi ils pouvaient à présent entamer leurs conversation qui sans aucun doute devait porter sur la jeune Kunoichi.
Kabuto, plus arrogant que jamais fixait avec pertinence le vieux Serpent blanc tandis que celui-ci fin près à débuter mis à terme ses première déclaration. Posant avec soin un dossier noir sur une sorte de petite table de fer blanc Orochimaru, dans un élan de nostalgie conta le passé, les origines, les facultés de Doreika. À ce dossier s'ajouta une autre fiche tout aussi importante contenant divers complément sur l'histoire de la terrifiante.
Orochimaru, se déplaçant en long et en large de sorte à accompagner ses moindres paroles se voyait inspiré tellement que Kabuto vint surpris et étonné de ses dires. Ce dernier, feuilletant progressivement les documents qui lui était proposé écoutait son maître. Mais il faisait plus qu'écouter: il analysait. Il était comme entrainé dans les abîme fascinants de cette histoire qui sans l'ombre d'un doute demeurait l'une des plus mélancolique.
Celle d'une descendance qui fuyant un horrible passé s'est vue attribuer l'une des plus grandes faveur des Dieux.
Kabuto voyait ceci comme cela: celons lui, tout ces personnages dont Orochimaru parlait, ceux dont les capacités plus absurde encore que celle d'Orochimaru ou de Kabuto n'était pas humain. Aussi Kabuto se voyait comme repoussé par leurs capacités. Etait-ce pour cela qu'il ne pu durant des années explorer Doreika ? Non sans doute pas mais en attendant d'agir, Kabuto plus patient que jamais décorticait chaque parole de son hôte. Comme si le moindre détail pouvait s'avérer déterminant pour l'avenir de la jeune Doreika.
Orochimaru mentionnait le père adoptif du jeune homme, et le village dans le quelle il avait grandi et appris tout ce qu'il savait. Toutes ses connaissance en médecine venait de ce village tant réputé et pourtant maudit par Orochimaru.
Kabuto ne s'est pas vue attribuer la science infuse à la naissance. Il nacquit comme tout autre enfants seulement il grandit au côté des plus grands. Tout d'abord le plus grand Ninja Médecin de Konoha , ensuite le plus grand marionnettiste celui qui s'affirme en tant qu'artiste corrompu mais accomplie, et enfin l'éternel Serpent Blanc d'Oto qui sans doute immortel demeure le plus grand, le plus absurde démon que l'air Ninja n'est jamais abrité. Après tant d'épreuve, Kabuto était devenue un grand garçons qui par ses capacités médicale s'est vue attribuer un grade et une notoriété importante, notamment aux yeux d'Orochimaru. Après tout, les Ninja on durant des années cherché leurs vocation. Ils ont durant des siècles sondé terre et mer à la recherche de leurs véritable capacité. Ils ce sont interrogé sur l'élément qui leurs convenait le plus : Le plus puissant, le plus efficasse. Mais aux fond, qui ya t-il de plus puissant que le chakra même ? Qui y a t-il de plus efficasse que la capacité à guérir, soigner, modifier et créer (...)
Kabuto ne s'est jamais poser toutes ces questions qui au fond s'avèrent rhétorique. Celui-lui l'art de modifier un corps est l'art suprême... Aussi il ne se limitait pas à soigner de simple corps ni même à les arranger mais à créer de véritables chimères et guerriers. À son corps il s'était vue ajouter l'élément qui semblait le plus pure, et le plus démoniaque. Celui qui a durant des années servit à son maître. La médecine ne lui suffisait pas, il souhaitait comme son maitre se surpasser et trouver sont '' soit " intérieur.
Seulement quelques personnes semblait hors de contrôle et échappait à ses expérience et à sa maitrise pourtant parfaite. À l'exemple de Doreika qui par un passé autrefois inconnue, des capacités insaisissables préoccupait le jeune Médecin.
Autrement dit, les dires d'Orochimaru s'avérait être très utile pour Kabuto et le contentait plus qu'il n'y paraissait.
Orochimaru avait tout dit: du passé jusqu'à ses capacités, de plus les documents qu'il avait offert à Kabuto s'avérait d'autant plus important et utile car il y avait inscrit chaque caractéristique de ses dons. Il en connaissait désormais les défauts et les qualités...
Aussi, Kabuto ne pu s'empêcher de se prononcer alors qu'Orochimaru venait à peine de terminer ventant les attribue génétiques de la jeune Kunoichi, le sujet de cette conversation.

Cette fille est en effet très surprenante (...) J'étais loin de m'imaginer un telle scénario mais après tout comme vous me l'avez si bien dit: j'étais trop jeune pour connaître tout cela.
Je n'estime cependant pas utile ses capacités héréditaire sur ma propre personne. Bien qu'ils soit des plus effrayants sertes efficasses je suis le créateur et pas la création. Mon corps déjà souillé par l'une des mes greffes, ses capacités me serons peut être utile mais vaine.

La réponse de Kabuto devait surement étonner le vieux Serpent. Cette maitrise du sang pouvait être utile pour Oto même encore pour la propre personne d'Orochimaru mais Kabuto ne voyait rien d'utile à s'accaparer de telles talents. Ils était selon lui au bout de ses limites, la perfection ne pouvait être atteint qu'à l'issu de ce qu'il sait déjà accomplir. Trop de talents tue le talents, aussi sans offenser les iidées d'Orochimaru Kabuto renia ne serait-ce pendant quelques instants le don héréditaire de Doreika.
Il pouvait cependant l'exploiter et lui offrir d'avantage de possibilité. Il est vraie qu'une telle personne peut s'avérer utile pour Oto. L'ultime capacités de guider le sang revenait à devenir maître des hommes. N'était-ce pas trop pour un humains ? Kabuto ressentait d'étrange pulsation: Comme s'il enviait son talent, comme s'il pensait qu'une femme ne pouvait supporter un telle préjudice. Jalousie ou réalisme ?
Kabuto, les deux documents en mains se dirigea vers son bureaux puis, baissant la tête, dressant ses mains sur la face du pupitre il ajouta:

Je ne pense vous décevoir en refusant de telle responsabilité ou devrais-je dire une telle malédiction.
Malgré tout, vous m'avez pas mal renseigné sur le sujet et je pense désormais sans trop de mal exploiter la véritable personne de Doreika. Mes projets varieront celons mes idées et mon inspiration: Je pourrais bien intensifier son pouvoir ou peut être l'accaparer à d'autre de mes créations qui sait... Je pourrais tout aussi bien vous le faire obtenir même si je pense inutile de souillé la corps de sa majesté par de telle futilité.
Aussi j'attends vos ordre pour entamer toutes éventuel actions...

On pouvait le percevoir comme un fayot en ventant et adressant le plus grand respect à Orochimaru. Etait-ce voulu ? Oui, car ne souhaitant guère attiser sa colère ni même son esprit il voulait apaiser la conversation par un tel vocabulaire.
Kabuto avait cependant souligner que jamais il ne serait la création. Créer, modifier, arranger sont ses seul actions.
Ainsi, Kabuto, tournant le dos à son maître patientait palpant quelques fiches qui concernait les plus grands Shinobi d'oto. Dedans était inscrit les noms telles que : Kaguya Kimimaro , Uchiha Sasuke, Hyuuga Ukime et bien d'autres encore. Il possédait tout les renseignements sur chacun des membres de ce villages. Qu'ils aient appartenu ou qu'ils appartiennent encore à ce village, Kabuto les suit à la trace.
Orochimaru pouvait être fier de lui, car le fidèle partisan en plus d'adresser un grand respect à son maître pensait à sa propre personne pour le bien du village mais avant tout pour son bien à lui. Ainsi il se démarquait de ses pions qui n'agissent bêtement que pour le bien du village et d'Orochimaru. Cette fine part d'indépendance dont-il fait preuve est la clef de sa réussite...

Invité

6 Points pour Kabuto, 4 points pour Moi et Doreika

Kabuto : Les points de Matsuda te reviennent : ainsi, tu gagnes 1 point par post RP de Matsu (je te fais confiance pour le compte).