Invité surprise... | Saï}

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Si tu veux comprendre le mot bonheur, il faut l'entendre comme récompense et non comme but.

DE SAINT-EXUPERY Antoine

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Un bruit de feuilles s’échappant soudainement de l’emprise d’un arbre. Une légère brise dans cette forêt qui planait sur un décor bien peu commun : la tranquillité. Et oui, qui aurait suspecté que dans une terre si redoutée et rejetée par les autres Grandes Nations pouvait régner une paix pareille, ouvrant libre champ aux mélodies de la Nature et aux chants des oiseaux ? Quiconque serait épris de poésie se serait assis pour pouvoir composer dans l’instant … . Mais sur l’heure, il fallait bien reconnaître que vu la réputation dont jouissait ce Pays, il n’en viendrait pas un avant un bon moment. Et rares étaient alors les êtres humains, misérables objets contrôlés sur une terre de vice et de comparaison futile, qui pouvaient se prétendre dignes de visionner semblable lieu pour la beauté enchanteresse que cela provoquerait en eux. C’est étrange pourtant, ce magnétique énigmatique que peuvent dégager certains lieux, de façon inexplicable et manquant à toute règle analytique ou à toute logique digne de ce nom. Si les gens du Pays des Rizières s’y intéressaient ou y apportaient un jugement quelconque ? Il devait bien se trouver ici quelque âme innocente qui se laisse charmer par la Beauté infondée de la Liberté ; mais si peu devaient vraiment prêter attention à ce fait, tout comme celui qui avait pénétré sans le moindre égard ou la plus petite passion pour cette différence si frappante à l’accoutumée de ses voyages.
Ayant surgi dans la forêt depuis déjà deux jours, il arpentait doucement le sol, comme un serpent, glissant d’un mouvement svelte sur les feuilles qui formaient ce tapis multicolore et si exceptionnel. Mais qu’est ce que la Beauté, si ce n’est une notion un jour inventé par l’Homme qui lui a imposé ses principes et son opinion, sans chercher à savoir où se trouver la réelle beauté des Choses. Et depuis, tant de personnes s’opposaient sur cette position de la Splendeur ou non : que ce soit la peinture ou la sculpture, la ville ou les paysages ruraux, la Guerre ou bien la Paix, était-il vraiment nécessaire de fournir sa propre explication et de graver dans l’Histoire une intervention de chacun afin que tous s’expriment ? Il était pourtant si simple de ne rien dire et de faire taire ses avis et opinions pour s’assurer qu’aucun conflit ne pourrait rentrer en compte. Mais l’homme se voulait stupide par Nature, et alors que notre jeune adolescent faisait abstraction de tout cet entourage qui aurait tiré une larme à un romantique et aurait fait exploser le cœur sensible d’un cardiaque, lui ne faisait que prendre en compte la possibilité d’un danger sous chaque feuille, derrière chaque tronc, du Ciel comme de la Terre. Il avait été formé ainsi, et faire de tout ce qui l’entourait une source aux soupçons et à la fontaine des doutes était maintenant inscrit dans sa peau, dans ses gènes, au plus profond de son âme, sans la moindre chance d’effacer cette ardoise. Ses yeux sombres, curieux mélange avec ce teint si pâme, ne reflétaient certainement pas là le physique d’un garçon angélique aux intentions aussi pures que la neige. Et portant son regard à gauche comme à droite, c’était une constante méfiance qui s’installait autour de l’ANBU de Konoha, alors que son corps restait en alerte à toute impression et à toute nouveauté inhabituelle dans ce décor si simple et ordinaire à ses yeux.

Il avait déjà fait un long parcours, ayant circulé dans cet environnement hostile mais sans crainte. Il avait jusque là où la chance de ne pas tomber face à un adversaire trop fort, bien que cela ne lui aurait certainement pas fait beaucoup d’effets. Dans cette carcasse qui lui servait de cage corporelle, prison aux barreaux d’or de ses émotions et de ses sentiments, il laissait toutes ces notions dépassées et inutiles enfouies loin dans son être, ne cherchant même pas à les laisser refaire surface. S’il se devait d’affronter un adversaire, qui qu’il puisse être, il savait déjà qu’il n’y aurait que deux issues : la victoire ou le suicide. S’il devait faire face à la défaite, il était hors de question qu’il ne laisse la moindre information filtrer et il saurait alors exécuter son devoir de Shinobi et mettre un terme à son existence, comme on le lui avait enseigné dans la Racine. Sa jeunesse ? La raison d’une Vie ? Elle était unique pour tout ceux qui servaient le Seigneur Danzô, Maître de la Branche ‘NE’ des ANBUs : accomplir son Devoir de Shinobi et tomber au combat si cela devait être nécessaire, pour le Bien du Village Caché de la Feuille. Une vision observée, certes, comme morbide et déplacé par certains, mais lui s’en moquait éperdument. Comparée à la mission, rien n’avait d’égal. Et pour cette fois, il se devait d’accomplir cette mission pour une réussite pour la Section Spéciale des ANBUs. Il allait donc continuer sur cette tâche : obtenir des informations sur Oto et sur le déserteur de catégorie A, Sasuke Uchiha. Il ne connaissait que très peu de choses de ce profil, bien qu’il l’ait rencontré auparavant et en ce même pays. Il avait déjà eu affaire à cet homme lorsqu’il avait mené avec l’équipe de Naruto Uzumaki, et avait constaté qu’il y avait beaucoup de données à remettre à jour dans la Bibliothèque personnelles de la Racine. Après être venu et avoir fait un rapport, on l’avait cette fois-ci envoyé afin de constater de la stabilité de Oto dans sa Nation et des compagnons qui accompagnaient le traître de Konoha No Sato. Une mission qui semblait si simple, mais qui restait particulière ; il se retrouverait seul et en territoire inconnu. L’affaire allait donc être difficile, mais à sa portée. Il le savait.

D’un œil attentif, il fit halte. On l’avait repéré ? Possible. Il valait mieux agir… .

La jeune femme venait de marquer un temps d’arrêt. D’après le visionnel, elle était déjà en état d’alerte et sa main reposait déjà sur un katana de taille réglementaire, l’air attentif et sûre d’elle. Restant de marbre, caché derrière un arbre, il observait ses réactions faciales et son comportement général. Un esprit calme et confiant ; elle n’était pas une néophyte. Il fallait donc passer à la vitesse d’au dessus sans attendre qu’elle ne prenne l’avantage.
Quelques secondes plus tard, suivant l’arrêt sur place que venait d’effectuer, un son strident tranchant l’air et les feuilles encore volantes se dirigeaient vers le sol. Une série de 4 shurikens. Ils visaient une distance que l’on pouvait évaluer à 1m30 de la cible … mais lorsque l’on se voyait être la cible d’une attaque ennemie, avait-on vraiment le temps de faire ce calcul en tête ? Même si la prudence restait encore de vigueur, ce dut être une sacrée surprise lorsqu’un nuage explosa au sol avant même que les armes ne puissent atteindre le sol. En s’espace d’une seconde, le terrain devenait trop dangereux ; surtout si l’on avait vu une menace venir droit sur soi et que l’on était maintenant dans l’incapacité de la desceller. Il valait certainement mieux se retirer et se mettre en retrait le temps de prévoir la suite. Mais il n’y aurait pas de pareille chance. Le temps que l’action se passe et que le doute s’installe, le Soleil avait le temps de venir briller sur une fine lâme, courte, d’une taille raisonnable pour quelqu’un qui souhaitait se faire discret et agir avec précision. Mais on n’a pas le temps de contempler ce genre d’instrument lorsqu’il s’agit d’un petit wakisachi pointé sous votre gorge. Dans l’ombre d’un corps féminin, un corps encore plus sombre que la nuit, d’où ne sort qu’une voix légère et encore touché par une puberté récente. Mais il n’y avait pas de doutes qu’il y séjournait une force et une détermination sans faille.

~~ J’ai des questions … Vous y répondrez ? ~~

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Les forêts entourant Oto était aussi majestueuse que dangereuse , s’y promener relever de l’inconscience tout du moins si on était l’ennemie d’Orochimaru et de se village plus que controversé. Peu de gens s’y risquait se qui ne donner que plus de charme a ce territoire dominer par la végétation luxuriante , des arbres parfois immense qui donner l’impression de toucher le ciel et traverser les nuages. La poésie que dégageait cet un endroit était assez paradoxale , surtout sachant le lieu que cela représenté pour la majorité des gens , un lieu diriger par Oto et de se fait un endroit dangereux emplis d’ennemie. Cependant la jeune Yukiko adorait s’y aventurer , de plus elle était certaines d’y être tranquille vue le peu de gens qui osait s’y aventurer. Généralement c’était pour s’entraîner , mais en vérité une fois sur place elle était a chaque fois émerveillé par l’endroit , du coup elle préféré dormir au creux d’un chêne plutôt que se fatigué a s’entraîner toute seul. Ce n’était peut-être pas sérieux , mais après tout elle ne cherchait pas a gagner plus de puissance et elle avait déjà totalement confiance en ses capacité alors pourquoi perdre du temps a s’entraîner?? Enfin , la journée s’annonçait quelques peu mouvementé , alors qu’elle marchait a travers les arbres laissant la bise frôlait son visage et faire virevolté doucement sa longue chevelure , Minasaki-San sentit comme une présence. Elle était assez expérimenté pour ne pas se laisser surprendre si facilement et malgré le fait qu’elle donne l’impression d’être toujours dans les nuages ou tout du moins de porter le poids du monde sur ses épaules , elle restait sans arrêts en alerte. Prête a dégainer son arme si c’était nécessaire , elle n’aimait pas tuer contrairement a la majorité de ses collègue d’Oto , mais elle n’hésiterais pas si sa vie était en danger , cependant tuer sans réfléchir alors qu’on ne lui a donner aucun ordre ne faisait pas partit de son mode de fonctionnement. Elle réfléchissait toujours au conséquence et surtout au pourquoi de cet acte , tuer pour rien était inutile.

Cependant malgré son alerte constante elle fut assez surprise par les actes de son « agresseur ». En effet tout d’abord il lanças des kunai , tranchant le vent avec une rapidité folle. Par instinct elle dégainas rapidement son Katana le gardant a une main , malheureusement elle n’eu pas le temps de faire quoi que se soit. Un nuage explosa au sol rendant les lieux beaucoup trop dangereux , la visibilité était quasi nul et a présent Yukiko pouvait se faire attaquer de n’importe où , la seule option était de fuir ou tout du moins de s’éloigner un maximum pour réfléchir a une stratégie. C’était peut-être le point faible le plus grand de la jeune Hebi , elle réfléchissait , tout le temps , peut-être trop mais selon elle , calculez les actes de son adversaire et un moyen de les contré était une chose importante. Foncé tête baisser n’était pas son genre , sauf peut-être si on lui ordonnait de le faire. Le fumer était a peine dissiper qu’elle sentit une lame sous son cou , c’était certains a présent , la jeune femme était a la merci de l’ennemie qui d’ailleurs semblait aussi fort qu’elle voir plus. Elle avait l’art et la manière de savoir la force d’un ennemie , sûrement l’instinct que le procuré son démon , sa n’avait pas que des mauvais côtés d’être un Jinchuuriki. Elle laissas sa main , celle tenant son Katana , tomber lentement le long de son corps sans pour autant lâcher l’arme ni l’utilisé , se serait pure folie de tenter quelques chose maintenant. Yukiko ne semblait pas du tout surprise ni effrayait , on pouvait voir un calme olympien sur son visage , un visage toujours neutre voir triste qui ne souriait que rarement. Se même visage restas de marbre face a la question quelques peu osé de son ennemie , elle trouvait qu’il était tout de même assez surprenant de poser se genre de question quand la personne interroger a une épée Damoclès au dessus de la tête , menaçant d’emporte sa vie aussi rapidement que la neige fond au soleil. Restant le regard fixe droit devant elle , Minasaki-San répondit calmement:

« C’est une question rhétorique je suppose… Si ce n’est pas le cas , je ne pense pas qu’un non sois la réponse que vous attendiez…et encore moins celle que vous accepteriez… »

En d’autre termes c’était un oui qu’elle venait de lui donner , même si elle ne comptait pas tout déballer simplement parc qu’elle était sous la menace d’une arme , elle était tout de même un Ninja et même si l’honneur n’était pas l’une des ses principales préoccupation , Yukiko ne trahirais pas Oto et encore moins l’Hebi. Cependant malgré son calme apparent , voir inquiétant pour certains , Minasaki-San n’avais cesser de réfléchir a une parade depuis le moment où elle avait sentit la lame se poser sur son cou. Si elle voulais se sortir de l’emprise de son « agresseur » , la jeune femme devait agir vite et de façon précise. Mais il avait l’avantage pour l’instant elle se contentas de dire d’un ton toujours aussi calme:

« Avec ou sans la lame sous ma gorge j’entendrais vos questions de la même manière et j’y répondrais exactement de la même façon… Je ne compte pas déclenché un combat entre nous juste pour quelques questions… Et même si vous avez l’avantage pour l’instant rien ne dit que sa duras… Essayons d’être civilisé , il y a bien des manières autre que ça pour obtenir des réponses a des questions… »

Oui , l’un de ses plus grands atouts c’était sa diplomatie et même si certains pensé que c’était une faiblesse de préféré discuter a combattre , pour Yukiko c’était simplement de l’intelligence bien placé et une autre façon de combattre tout simplement.

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Choisissant ses mots avec précision et tact, il paraissait que la menace n’était pas vraiment affaire nouvelle chez la femme à la chevelure verte et au masque d’animal qui trônait fièrement sur le sommet de sa tête. En chaque geste et chaque mot, le cerveau calculateur et préconisant de noter jeune adolescent rentrait en action, tâchant de trouver le moindre élément qui était nécessaire à sa mission comme à sa survie. Pour l’heure, il avait la situation en main, mais rien ne prédiquait qu’il garderait encore longtemps le Roi de Cœur en main. L’intervention d’une tierce personne ne serait pas une gêne pour lui car sa proie se transformerait en otage sans la moindre difficulté apparente ; mais cela remettait en question l’idée de discrétion que devait tenir le Membre de la Racine dans un pays étranger. Si trop de personnes étaient au courant de son activité et de sa présence en ces lieux, il se devrait de faire le ménage et de passer à la suite. Dans l’heure, il avait déjà prévu l’essentiel et restant dans l’ombre, cachait sa véritable apparence. Pour l’instant, seul visuel de la demoiselle restait ce wakisachi qui restait perché sous sa gorge, n’attendant d’un geste brusque de la part de son utilisateur et Maître pour passer à l’action. Il ne tremblait pas, mais la lâme ne semblait attendre que cela : pénétrer dans cette chair et dévorer ce liquide chaud qui coulait dans les veines de l’ennemi. L’arme pouvait-elle avoir des sentiments lorsque l’assassin n’en avait pas ? C’était une bien intéressante question, mais à laquelle il n’était pas apte à répondre. Pour lui, quelle importance de savoir si avoir une quelconque opinion ou un avis différent d’un autre ; cela ne devait en rien affecter la mission et déclencher un trouble qui pourrait remettre en cause son succès. D’un ton froid, il avait laissé ses mots toucher l’ouïe de la femme adverse, restant dans son dos, sans un bruit. Elle, qui était dans une situation critique, avait répondu sur un ton simple et léger : elle ne craignait pas sa position actuelle. Pour faire preuve d’un tel sang-froid, son grade passait au rang de Chuunin. Lorsqu’elle entama ses propos, l’analyse linguistique laissait entendre qu’elle restait patiente et prête à collaborer. Mais dans chaque parole, ce n’était pas l’insistance de vouloir rester en vie. Il n’y avait rien qui laisse présager une inquiétude quelconque ou un tremblement qui laissait sous-entendre son incertitude. Ce n’était plus du sang-froid, ni du courage, mais une confiance en soi de haut niveau : elle venait de passer au rang de Juunin, voire plus. C’était là un otage bien instable qu’il gardait à portée de Mort. Après tout, il reste toujours difficile de voir si l’ennemi est capable d’utiliser un quelconque Jutsu ou une technique qui laisserait entrevoir une menace réelle. Mais Saï prenait bien ce genre de détails en compte, gardant un œil sur les mains de sa victime et prenant une attention particulière à tout mouvement occasionné par la prisonnière. S’il y avait attitude suspecte, il y aurait répondant brutal. Stratégie trop subliminale et terminale ? C’est la Vie d’un Shinobi, rien de bien extraordinaire à ce qu’avait fait notre jeune Shinobi par le Passé et rien de bien différent de ce qu’il ferait par le Futur si notre invitée du jour décidait de jouer la carte « Chance » dans un jeu déjà à son avantage. Mais Saï qui s’est longuement plongé dans de nombreux livres avait déjà vu des actions se faire selon différents motifs et variant des situations complexes ; là où certains restaient calmes, d’autres restaient pétrifiés par la peur. A des moments où quelques uns s’avouaient vaincus, d’autres se préféraient l’héroïsme inutile et la poussée désespérée vers une dernière minute de gloire inutile. De quel côté il pouvait bien se trouver, cela, il s’en moquait bien plus qu’on ne le pensait. A la vérité, la question n’était même pas de savoir s’il s’en désintéressait, mais s’il prenait ce genre d’aspect en considération. Au fond, il avait lu cela pour savoir face à quoi il pourrait tomber un jour, mais la vérité sur sa propre personne … la connaissait-il lui-même ?
Les premières déclarations de la jeune femme laissaient donc entendre une certaine reddition mais qui gardaient un élan de confiance et de persuasion qui ne relevait pas de la mise en confiance personnelle et automatique afin de surpasser les craintes d’une position embarrassante. Elle était intelligente, mais trop accrochée à la vie. Si elle faisait partie d’une section bien précise, elle ne devait pas vraiment faire partie d’un secteur tenu aux rennes par le Seigneur Sombre des Lieux, Orochimaru le Sannin déserteur de Konoha No Sato. D’après les informations qu’il avait lu sur sa personnalité physique et psychique, il n’était pas homme à former ou à s’entourer de braves gens peu soucieux, et avait un goût plus penché vers les êtres dévoués à sa cause et aux têtes brûlées. Pouvoir entrer en discussion avec cette jeune personne serait donc peut-être plus simple, et la faire parler pourrait peut-être s’avérer moins compliqué. Mais en guise de réponse à toute ouverture ironique de la part de la captive, il n’y avait pas de phrase clichée que notre Serviteur de Danzo-Sama aurait pu prononcer dans l’instant afin de montrer sa détermination. Il n’était vraiment pas à l’aise avec ce genre de choses où tout être normal aurait déjà donné une réponse directe. Mais cela avait tendance à faire ressortir un caractère bien particulier, alors lorsque l’on n’était pas doté d’un pareil aspect, que dire en forme d’avis général … .

~~ Chacun est libre de choisir sa Voie, s’il décide de la mettre au Service de son Village ou de ses propres intérêts… . ~~

Mais l’homme qui fait passer son Village avant ses ambitions personnelles est celui qui se distingue du civil simple et ignorant, atteignant les Voies de la Nation et acceptant sa condition de Shinobi, prêt à mourir pour son Village. Cette phrase qu’il avait apprit par cœur du Code Shinobi, il la connaissait sur le bout des doigts. Et même s’il se contentait du résultat en ce qui occupait sa personnalité, cela constituait pour ce premier échange une réplique qu’il jugeait de lui-même satisfaisante pour cette fois. Il est vrai que la chose avait été bien choisi, mais pour notre jeune ami Saï, il ne s’agissait que d’un simple ensemble de mots qu’il avait vu appliqués dans un Codex des plus importants sur cette Terre : il ne concernait pas les missions de façon général mais la façon d’être et de vivre d’un véritable Ninja dévoué à son Maître et à sa Tâche. En ce qui le concernait, il se serait jeté sur le tranchant du petit sabre, respectant les consignes données par les codifications de la Branche ‘NE’ des ANBUs. Mais pour elle, qui venait d’un pays renégat et craint par ses voisins, et dont le Chef ne restait qu’un traître et un terroriste envers les autres Nations, sa façon d’agir ne pouvait probablement qu’être dictée d’une autre façon. Ainsi étaient donc les Shinobis ; oubliant leurs devoirs et s’adonnant à des pratiques hors des cadres d’un Ninja ordinaire, ils préféraient se laisser aller de par les projets et visions personnelles, laissant de côté ceux pour quoi on les avait formés. L’Être humain était en fin de compte bien ingrat et inutile, lorsqu’il se décidait à agir pour son propre compte… . Et laissant cette pensée à part, Saï laissa la Kunoichi s’exprimer librement sans chercher à poser davantage de questions.
Celle-ci se révéla des plus entreprenantes. Proposant tout d’abord le cessez-le-feu avec un retrait de l’arme sous la gorge qui semblait la perturber quand même quelque peu. Chose bien osée, étant donné qu’elle n’était pas vraiment de ceux pouvant décider de quoi faire dans l’heure actuelle. Préférant ne pas répondre pour l’instant, il était évident pour Saï que la réponse serait négative sur cette demande ; lorsque l’on était en territoire ennemi, on ne pouvait se permettre le moindre relâchement, la plus petite pause. Tout n’était qu’équilibre entre la vie et la Mort, et il suffisait d’une feuille, d’un objet tranchant ou lourd tombant sur la Corde de la Vie pour la briser et entraîner un homme dans la chute vers le Néant Infini et l’Echec de son existence. Par la suite, Yukiko laissait sous-entendre une possible menace extérieure. Elle pensait pouvoir se sauver de cette situation critique et livrer bataille avec aisance ? Il fallait être bien effronté ou sûr de soi pour avancer pareille démarche. Peut-être l’était-elle, ou peut-être que non. Quoi qu’il en soit, Saï laissait son intelligence se saisir d’une calculette et d’effectuer de nombreux calculs quant à la possibilité que cette femme soit plus dangereuse que prévue ou non, et si son absence ne risquait pas d’enclencher une agitation non voulue dans le reste du Village Caché du Son. Voila que la situation, alors qu’il la maîtrisait à la perfection dans la dizaine de mètres qui l’entourait, devenait plus périlleuse au niveau du territoire alentours. Inconsciemment, elle marquait quelques points qui pouvait la faire gagnante jusqu’à un certain degré. Laissant ses yeux perçants faire le tour de la scène, notre jeune Shinobi restait calme et confiant : rien qui ne semble pouvoir interférer. Il allait devoir agir rapidement, et sans attendre ; et puisque la demoiselle souhaitait faire dans les civilités, il serait plus aisé de lui poser des questions en face à face plutôt que d’exercer sur elle une pression constante qui pourrait le distraire. Plongeant sa main gauche dans sa sacoche et en sortant un parchemin, il le jeta en l’air derrière lui, le laissant se déplier au vent et effectua un rapide signe du Tigre de la même main… . Ninpô : Asanatsu No Mugen … .

Poussant légèrement la femme en avant, celle-ci pouvait maintenant se retourner, libérée de l’emprise de l’arme au tranchant dangereux, et voir le profil de celui qui l’avait agressé. Les cheveux légèrement frisés et en pic, la mine sévère et âgée, l’homme qui lui faisait face semblait avoir dépassé la trentaine et son accoutrement laissait vraiment paraître celle d’un Shinobi ayant de l’expérience et une grande connaissance des combats. Une manche courte présentant un bras en bandages, une autre longue, cachant l’intégralité de son bras et allant jusqu’à hauteur de genou : il s’agissait là, pour toute personne ayant étudié les coutumes et rivalités de la Troisième Guerre Ninja, de l’accoutrement des Ninjas de Iwa No Kuni, le Pays de la Terre. Un visage de roche face à la moue d’une demoiselle qui recouvrait la liberté conditionnelle, voila les deux individus dans un décor bien étrange. Les arbres sont toujours les mêmes et les objets les entourant sont toujours identiques… mais ils ont perdus leurs couleurs, conservant cette teinture de manga, sur un papier où seuls diverses nuances de blanc, de noir et de gris prenaient place. Même l’individu face à elle maintenait cette couleur. Un simple Henge No Jutsu afin de ne pas révéler son Village ou sa personnalité physique ou mentale : la première chose à faire lors d’une mission de cette importance, cela va de soi. Dans sa tête, Saï venait d’orchestrer la meilleure prison qui soit : si elle se rebellait, elle se trouverait confrontée au piège de sa technique. Et on ne pourrait venir les déranger de l’extérieur, dorénavant. D’une voix rauque et fortement masculine, notre jeune adolescent des forces spéciales de Konoha No Sato passait maintenant à l’interrogatoire, tout en tâchant d’appliquer certains concepts lus il y avait peu à la bibliothèque… . Trouver un suffixe ou un surnom qui identifie de façon sûre la personne concernée et donne un air plus familier.

~~ Il est inutile de chercher à attaquer ou à fuir, tu ne ferais pas le poids dans mon Labyrinthe. Puisque j’ai accédé à ta requête, réponds à mes questions, Femme aux Gros Seins. Quelles sont tes fonctions à Oto No Sato, et as-tu connaissance de Uchiha Sasuke. ~~

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Pourquoi tant de problème semblait poursuivre cette jeune femme?? Chaque moment de répits se transformer en guerre ouverte , malgré son rang plus ou moins élevé a Oto , Yukiko détestait se battre et ce depuis toujours. On l’avait former non pas pour devenir un Shinobi prés a sacrifier sa vie mais simplement pour être une femme prête a protéger les gens qui compte et surtout sa propre vie. Cela pouvait paraître égoïste mais étant un Jinchuuriki elle avait le devoir de contenir son démon , de se battre afin de le protéger en tout cas c’est comme ça qu’elle voyait les choses. Elle ignorait comment fonctionnait réellement les démons mais elle savait que le danger était réel et immense , tant de personne convoité ses monstres pour leur puissance. C’est dans cette optique qu’elle avait appris a se battre tout au long de sa vie , jamais son Sensei n’a prononcé le mot « sacrifice » durant son apprentissage , il n’y avait que « Protection » et « survie » les deux termes qui la motive et la font vivre. Pourtant Minasaki-San sentait bel et bien que le jeune garçon qui venait de l’attaquer n’avait pas été élevé ainsi , sa se voyait , a sa façon d’agir a l’intonation de sa voix. Il semblait n’avoir rien perdre et tout a gagner. Elle avait lus beaucoup de livre elle aussi , adorant en apprendre d’avantage sur les gens qui l’entoure , cette jeune femme avait la fâcheuse tendance a vouloir des réponses a chaque questions même si parfois cela semblait illusoire. Elle avait appris au fur et a mesure a comprendre une personne rien qu’en écoutant sa voix et les mots qu’il utilisait , en regardant ses gestes et sa façon d’agir , tout ça mis bout a bout pouvait lui permettre de mieux cerner son adversaire ou même un allier. Car il est bien connue que connaître mieux son ennemie apporte des chances supplémentaire de remporter une bataille. Foncer dans un combat sans connaître son adversaire laisser place a une trop grande place d’incertitude et de chance. En tout cas , c’est ainsi que les choses étaient vue par Minasaki-San. Restant toujours calme et stoïque , elle essayait de contenir son adversaire afin que tout se déroule sans combat , elle n’avait pas peur de sa lame mais elle n’aimait pas se battre. Si il y avait un autre moyen pourquoi faire couler le sang?? Le monde est assez cruel et perfide pour ne pas rajouter a cela l’amertume , la haine et parfois la peur qu’amène les combats.

Yukiko écoutas avec attention les paroles de son « agresseur » tout en ne cessant d’observer les moindres mots et geste de ce dernier. Se fut une phrase étrange que la jeune femme soulignas « Chacun est libre de choisir sa voie , si il décide de la mettre au service de son village ou de ses propres intérêt » , c’est donc a cela que se résumé le destin de chacun?? Mourir pour son village ou vivre pour soi-même?? Encore une fois , elle ne voyait pas les choses de cette manière , elle avait acquis assez d’expérience pour savoir que rien n’était tout blanc ou tout noir , il y avait une immense dose de gris dans se monde. Elle ne mourrais pas pour Oto , mais elle ne vivrait jamais uniquement pour elle… Cependant , il était certains que Yukiko n’hésiterais pas a perdre sa vie si sa devait sauver celle de quelqu’un , qu’il soit d’Oto ou d’un autre village , si il ne la considère pas comme un ennemie alors elle en feras autant de son côté. Elle ne pense jamais a la façon dont elle pourrait mourir , mais mourir pour une personne qu’elle aime lui semble être une bonne façon de partir. De tout évidence le jeune homme a qui elle tournait le dos , ne devait pas avoir le même point de vue , elle se contentas donc de répondre:

« C’est assez paradoxale de parler de liberté de choix quand on a seulement deux possibilité d’avenir et de mode de vie… La liberté ce n’est pas un choix mais une décision… »

C’était sûrement cela qui la distingué des autres Ninja , elle prônait la vrai liberté et pas celle qu’on nous impose. Une prison est une prison même si les barreaux sont fait d’or et de diamants. Yukiko ne perdait pas son calme quoi qu’il arrive , elle paniquait assez rarement , sauf quand son réfrigérateur était vide , on peut donc dire avec aisance qu’elle est prête a faire face a toute les situations. Une chose était certaines, la jeune Shinobi savait utiliser les mots plutôt que les armes , elle manier aussi bien l’un que l’autre en réalité. Apparemment ses conseils avait fait de l’effet puisque le jeune homme exécutas un signe avant de la pousser en avant , elle était a présent plus ou moins libre , en tout cas ne plus sentir cette lame sous sa gorge était tout de même plus agréable. Yukiko ne mit pas longtemps a comprendre se qui c’était passer , il venait d’exécuter un piége assez gênant pour elle , en effet a présent ce n’est plus son réel agresseur qu’elle avait sous les yeux mais simplement une sorte d’illusion. Il cacher son identité se qui prouvait sa force et son expérience cependant sa ne la conforter que plus dans son idée : Il était jeune , un adolescent sûrement. Elle l’avait remarqué grâce a sa voix , a ses mains et maintenant a l’apparence qu’il avait choisis , si il était une personne âgée il aurait choisis un corps plus jeune et vice versa. De plus d’après sa tenue il était d’Iwa , ou tout du moins il voulait le faire croire , on pouvait donc aisément penser qu’il n’était pas de se village , peut-être Suna?? Konoha?…. C’était fort probable. Rien n’avait changer autour d’eux hormis les couleurs et la sensation étrange que ressentait la jeune Hebi. Elle profitas de sa liberté pour ranger doucement son Katana , elle ne voulais pas se battre et elle espérait que se soit réciproque même si le doute était permis. Mais malheureusement , le pire allait arrivé… Le gamin qui lui faisait face venait de l’appeler… Femme aux gros seins…

Minasaki-San savait parfaitement que sa poitrine et la couleur de ses cheveux , attiré le regard que se soit ceux des hommes ou des femmes. Toute sa vie elle avait eu le droit a se genre de remarque complètement puérile et stupide , elle n’était pas susceptible mais ce n’est pas pour autant qu’elle aimait qu’on lui manque de respect. La jeune femme ne pus s’empêcher de grimaçait en l’entendant dire cela puis elle rétorquas aussi calmement qu’au début:

« Il était si difficile de me demander mon prénom?… Utilise tu parfois ton intelligence ou ta capacité de déduction?.. Oui j’en suis sur , cependant tu devrait apprendre que vexer ou contrarier une personne que tu veux interroger est la meilleure façon de la braquer et de perdre des informations… Heureusement pour toi , je ne suis pas susceptible… Je vais donc répondre a tes questions… On m’appelle Yukiko et je suis Juunin a Oto no Sato… Quand a Uchiha Sasuke bien sur je le connais… Qui pourrait ne pas avoir connaissance de ce jeune garçon?… »

Bien évidemment elle ne disait pas tout , elle n’avais pas dit son nom et encore moins le fait qu’elle appartenait au Hebi , Yukiko n’allait pas tout balancer comme ça même si c’est informations ne serais pas non plus capitale. La jeune Hebi se mit a observer tout autour d’elle tout en restant sur ses gardes , l’environnement ressemblait a un dessin en noir et blanc , c’était a la fois troublant et fascinant. Elle tournas alors le dos a son adversaire en continuant d’observer , ce n’était pas de l’imprudence même si on pouvait le croire mais elle se doutait que l’ennemie en face duquel elle était n’était pas le véritable assaillant. Après quelques secondes elle repris sa place initial en face de Saï avant de prendre la parole:

« C’est une illusion très sympathique… Je n’en avais jamais vue de tel… »

Sa pouvait paraître étrange qu’elle sois si calme et familière mais Yukiko était comme ça tout le temps et puis elle ne voulais vraiment pas combattre se gamin , d’ailleurs elle ne l’attaquerais pas même si il retiré son illusion. Elle ne répondrais que si il l’attaquait en premier…

Invité

La liberté. Quel drôle de mot. Il est vrai que nombre de Shinobis ou même d’êtes humains s’accrochent à cette notion inventée et exigée de la part des peuples et des pays. Lorsque certains philosophes ont reconnus en l’Homme le droit de se rebeller contre une autorité plus forte afin de réclamer leurs droits et l’accès à leurs libertés naturelles et individuelles, comme Aristote, Boulainvilliers ou encore Thomas Paine, on avait estimé en renversant des régimes ou en créant des Etats que c’était bel et bien le Peuple qui était à l’origine du pouvoir et de la supériorité politique et sociale. En mettant en place et en application ces théories qui étaient défendues et imposées dans certaines circonstances, on avait progressivement conclu que la Liberté avec un grand L était un droit obligatoire et immuable, qui se devait d’être accordé aux hommes afin qu’ils puissent librement jouir de leurs vies et de leurs désirs comme ils le souhaitaient. C’était ainsi qu’étaient nés les Grandes Nations, s’installant certes sur un système seigneurial où les grands seigneurs gardaient un statut et une autorité dépassant largement les simples citoyens qui véhiculaient et erraient à leurs guises dans les rues de grandes villes, mais c’était à eux de faire observer la Justice et la Loi, afin que les honnêtes gens qui vivaient par la suite en harmonie et dans la paix puissent faire gré et bon temps de ce qu’ils souhaitaient sans que cela ne soit remis en cause et tant que cela restait dans le cadre des Lois. Voici donc ce que la Liberté était au sens étymologique du terme. Le choix quand à lui était une chose qui n’était inscrite sur aucune règle, aucune mesure ; mais elle se faisait selon le bon vouloir des personnes et des conditions, s’offrant à l’individu lorsque ce dernier était confronté à un dilemme, que ce dernier soit difficile ou autre. La réponse ne reposait que sur un simple facteur : la décision de l’homme de façon générale lorsque ce dernier avait un droit de liberté et d’opinion personnelle. Ces deux principes, qui étaient en soi assez simples à comprendre et à réaliser fondaient en grande partie la personnalité et la façon d’être d’un être humain, le faisant agir et changer de direction, prenant une place importante dans sa vie et son destin. La déclaration récente de la Juunin de Oto No Sato, qui s’était annoncée comme étant Yukiko, était donc fondée sur un point de vue lexical et prédéfinie par le vocabulaire de la langue locale. On ne pouvait pas vraiment la mettre dans le tord, car il est vrai que le choix reposait principalement sur un avis que l’no se décidait à émettre de soi en fonction de la situation, et la liberté était si l’on devait trouver une image la possibilité de pouvoir s’envoler et d’aller où bon nous semble tant que le Ciel nous restait ouvert. Etant maintenant prisonnière d’un Jutsu et n’ayant qu’une limitation stricte et relativement sévère quant au choix qu’on lui imposait de façon menaçante et autoritaire, il était clair que la chose pouvait parfaitement être vue comme paradoxale, voire même pas du tout équitable.
Cependant, Saï n’était pas du genre à aller à l’encontre de ce qu’il avait lu et étudié, appliquant à la lettre chaque notion qu’il avait progressivement intégrée à son vocabulaire et à sa personne, ne cherchant pas les détours ou la portée significative que pouvaient avoir chaque mot. De référence : Liberté  Caractère d’une action qui n’est soumise à aucune obligation, contrainte. Choix  Action de choisir qqch, qqn, de le prendre en préférence aux autres. La jeune femme qui se trouvait toujours face à lui et qui avait rangé son arme était désormais dans la possibilité de marcher, de se déplacer, et de faire ce qu’elle voulait dans le périmètre autour. De plus, bien que celui-ci soit plutôt court en matière d’option, le choix était pourtant offert ; rien ne l’empêchait de mourir. Hé oui ; bien que ce soit cruel ou insensé, pour Saï, il n’y avait pas bien d’intérêt ou de différence, là dedans. Pour lui, il était allé dans le sens de ses désirs et de ses demandes. De toute façon, comment expliquer cela pour Saï, qui ne connaissait ni choix ni liberté. Lui qui avait prit en charge par Danzô, on l’avait tôt rapidement mis dans une cage aux barreaux de fer, où tout n’était qu’ordres et décisions hiérarchiques. Alors que d’autres personnes avaient eu une vie faite de diamants et d’émeraudes où les choix étaient ouverts et libres, sa vie et son existence avaient chaque porte se refermer. Une à une. S’il le regrettait ? Pourquoi cela. Il avait été formé, éduqué, mené sur le champ de bataille. Et depuis il vivait. Aucune importance de la façon, c’était la mission qui comptait. Une théorie bien machiavéliste, en fin de compte.

Par la suite, il semblait que le surnom qu’il lui avait trouvé ne lui convenait pas, à en juger sa tête défigurée et presque choquée. Sans réagir, gardant un visage simple et blême, une main se leva jusqu’à son menton en guise de réflexion interne : ainsi donc, le récent livre qu’il avait lu sur le sujet ne prenait pas en compte la réalité de l’effet de ce genre de surnom. Il avait pourtant appliqué les règles du manuel à la lettre. Encore un entraînement à prendre certainement plus au sérieux, sans doute… . Il se devrait d’y réfléchir. La réponse de la demoiselle lui permit en tous les cas de lui apprendre son nom ainsi que son grade, mais également d’inscrire un lien entre elle et Sasuke Uchiha, la cible de ses recherches. Restant dissimulé sous son Henge No Jutsu, il continuait à stocker dans sa tête informatisée toutes les données qu’il pouvait obtenir de la jeune Kunoichi. Des informations peu dures à récolter, il se devait de l‘avouer. Mais sur l’heure, il se moquait de la facilité de les obtenir. Malgré les félicitations de la demoiselle, il resta sobre et ne répondit rien, continuant à observer chaque mouvement ; il était maintenant en sécurité, mais mieux valait être sûr que rien n’arrive d’étrange ou dérangeant dans sa mission.

Invité surprise... | Saï} Essai6sm8

~~ Tu dis avoir connaissance du Nuke-Nin Sasuke Uchiha. Que fait-il maintenant à Oto, et comment évolue-t-il. Es-tu proche de lui, ou restes-tu une inconnue pour cet homme. ~~

Des questions simples, mais qui permettraient dors et déjà d’en savoir un peu plus sur la cible et sur cette personne. Sur l’heure, il fallait se dépêcher d’aller au but et de détourner par la suite l’essentiel du sujet. Si elle était proche de lui et qu’elle savait des informations, il lui serait plus aisé de les lui soutirer, même si elle s’y refusait. Soudainement, une autre question d’importance lui venait à l’esprit. Il savait que cela n’entrait pas vraiment dans le cadre de sa mission, mais cela pouvait rester utile dans le cadre d’une intervention sur l’objectif.

~~ A-t-il des compagnons, une équipe se trouvant à ses côtés. ~~

Invité

La liberté était bien plus que le simple fait de vivre en harmonie et sous bonne protection, la liberté pour Yukiko se résumé a une chose : Des choix ou plutôt des décision. Du moment qu’on choisissait sa voie, qu’elle soit pleine d’embûche et de restriction, cela restait tout de même de la liberté, c’est pour cela qu’elle ne se plaignait jamais d’Oto. Pourtant elle aurait de quoi, Orochimaru et la majorité des Shinobi de se village était sanguinaire et emplis de haine ou de vengeance, ils n’avaient pas besoin d’une raison pour tuer se qui n’était pas le cas de la jeune femme. Elle considérait, et ce depuis toujours, qu’ôtait la vie a autrui sans une réel raison était totalement stupide et sa ne rendait pas plus fort une personne, il était facile de tuer, mais il est beaucoup moins aisé de retenir sa lame. C’est ainsi qu’on reconnaît un grand guerrier, en tout cas c’est se que son Sensei n’avais cessé de lui répété étant plus jeune et c’est dans cette optique qu’elle vit aujourd’hui. Sa peut paraître paradoxale surtout par rapport au mode de fonctionnement du village caché du son, mais elle avais choisis d’être ici parce que elle sentait que beaucoup de personne en ses lieux avait besoin d’aide, beaucoup plus que dans les villages reconnue tel que Konoha ou Suna. En tout cas, plus les minutes passait plus Yukiko cerner de mieux en mieux son adverssaire, même si aucun combat n’avais réellement commençait. Il était méthodique et surtout il semblait n’avoir aucune émotion, ne rien ressentir ou plutôt ne pas réfléchir, apparemment seul les ordres qu’il avait reçus était important et sans appel. Il était plus que dévoué a sa cause , il avait du être élevé comme une arme mais sûrement pas comme un enfant normal , la jeune femme aux cheveux vert détestait se genre d’abus. Il est facile de façonnait un enfant a son image, d’en faire une arme sans aucune émotion qui ne vit que pour son village et son supérieur.

Elle avait eu la chance d’avoir eu une enfance plus ou moins normale, si on oublie le meurtre de sa mère bien évidemment, malgré qu’elle ait toujours était rejetée par les autres. Son apparence faisait fuir ainsi que son comportement, elle avait été toujours d’une fainéantise hors du commun même étant enfant, du coup il était difficile de jouait avec qu’elle. Mais au moins, elle a vécus normalement et elle peut comptait parmi ses souvenir des dizaines de situation loquace et amusante que toute enfant doit vivre dans sa vie. Yuki-Chan était cependant persuader que ce n’était pas le cas pour le jeune garçon qui lui faisait face, il avait du vivre en tant que Ninja toute sa vie, lui-même ne devait pas se rendre compte de se qu’il était ou de se qu’il avait perdu, car après tout comment regretté une chose que l’on a jamais connue réellement?… Au début elle n’avais pas compris pourquoi il l’avais affublé d’un tel surnom, elle était un peu trop « choqué » pour s’en rendre compte, mais il ne fallut pas longtemps pour comprendre. Tout comme elle, il devait lire beaucoup de livre sur « la psychologie » des autres, ou comment réagir face a certaines situation, bien sur Yukiko ne se contentait pas d’appliquait se qu’elle lisait. Elle le « traduisait » ou plutôt le façonnait a son image et par rapport aux situations, mais apparemment lui se contenter de l’appliquer sans vraiment réfléchir. Ou plutôt son manque d’empathie faisait qu’il ne se rendait pas vraiment compte de l’impacte que pourrait avoir se genre de chose sur les autres. En tout cas c’est se qu’elle en avait déduis, elle était assez doué pour observer les gens et les décrire sans qu’ils n’aient besoin de dire un mot. En cernant le personnage face a elle, la jeune Hebi pus confirmer ses craintes, il la tuerais sans hésité et sans sourcillé si elle se rebeller ou tout du moins il tenterais de l’éliminer. Leur niveau semblait assez similaire même si il faut avouer qu’il avait l’air légèrement plus fort qu’elle. Son adverssaire continuas de poser ses questions, sans rien ajoutait comme si c’était un automate, se contentant de reproduire se qu’on lui avais enseigner et mis dans le crâne. Yukiko ne pus s’empêcher d’avoir « pitié » de lui si on peut dire, elle était attristée de voir à quel point une personne qui était, apparemment, si jeune pouvait avoir si peu d’émotion. Malgré sa situation, elle arrivait a s’amuser et a sourire c’est se qui la maintenait en vie, mais autant être honnête sa ne devait pas être la marrade tout les jours avec lui. Minasaki-Chan garda tout de même un visage neutre avant de plus ou moins répondre à Saï :

« Tu est beaucoup trop facile a cerner tu sais… Apparemment tu es quelqu’un de froid dépourvue de tout émotion et dévouer corps et âme à son village. J’opterais pour Konoha, ils sont les plus aptes a créée se genre de personne, les Kiriens son sanguinaire parfois irréfléchis, Suna… Disons que tu n’as pas le profile d’un Ninja de Suna selon moi... Quant a Kumo, sa m’étonne réellement que tu fasse partie de leur village… De plus tu t’intéresse beaucoup à Sasuke, hors c’est Konoha qui lui en veut le plus… Bien sur je peut me tromper mais de tout façon même si j’avais raison tu ne me le dirais pas… Pour tes questions... Désolé, mais je ne suis pas la secrétaire de Sasuke, il faudra lui poser directement si tu veux des réponses… »

Étant originaire de Suna, elle avait côtoyer leurs Ninjas toute sa vie et elle savait de se fait les reconnaître au premier coup d’œil. Elle marqua une courte pause avant de reprendre, la tête légèrement baisser :

« C‘est vraiment dommage que tu n‘ais pas le courage de faire tes propres choix… Ou peut-être qu‘après tout, tu a choisis d‘être une arme à la solde de je ne sais qui… Et de ne plus vivre pour toi… Ce qui serais d‘autant plus désolant… »

Yukiko faisait d’une pierre trois coups, en effet d’un côtés elle esquiver les questions que lui poser le Shinobi même si ce n’était pas son but premier, de l’autre elle lui disais sa façon de penser, chose qu’elle fait assez souvent et enfin peut-être qu’elle le déstabiliserais ne serait-ce qu’un peu même si il faut avouer qu’elle en doutait fortement. Il semblait être une personne stoïque qui ne se laisse pas avoir facilement et son manque de sentiment n’arrangeait rien. En tout cas, elle était quasiment persuader qu’il allait l’attaquer a présent, peu importe, elle était prête à encaisser les coups et même à ne pas répliquer…

Invité

~~ Je ne pensais pas les Shinobis d’Oto si bavards … ~~

Une simple déclaration de la part de l’étranger du Pays des Rizières, mais qui avait au moins eu l’effet escompté : un silence d’église s’étaient progressivement installé, laissant les lieux dans un état figé digne d’un tableau de Nature Morte des plus grands chefs-d’œuvre de l’Histoire Shinobi. Calme, détendu et froid comme de la glace, notre homme derrière son habile déguisement n’avait aucunement réagi face aux provocations de l’ennemi. On l’avait cerné ? Quelles preuves, si ce n’était de vagues suppositions qui pouvaient laissés sous-entendre leurs véracités sur le bout de la langue ? Aucune raison de s’inquiéter face à un fait aussi peu important. Aussi bien pouvait-elle savoir d’où il venait, sans fondement ni élément qui puisse le démontrer, il restait confiant et sûr de l’efficacité de ses actions. De plus, à supposer que ce qu’elle dise soit appuyé par des éléments qui puissent remettre la raison de sa présence en ces lieux, quel intérêt pour cette jeune femme de l’annoncer ainsi si ce n’était pour partir à la recherche de la Déesse Funèbre de la Mort. Souhaitait-elle la querelle et le conflit, elle qui s’était voulue si pacifique et apaisée lors des premiers échanges, ou bien s’agissait-il d’une demande officielle de suicide ? La question restait entière, mais à quoi bon s’en faire. Si elle le désirait, il ne laisserait pas de traces … ni de témoins de son passage. Ce n’était pas la première fois qu’il agirait ainsi, et certainement pas la dernière. Au final, sa vie n’était qu’un aléa constant de répétitions et de banalités, où il ôtait la vie ou bien la perdait. Les échecs comme les réussites n’avaient aucun impact sur son cœur et ne faisaient que graver des souvenirs charnels sur son cœur. Et pour cette mission, il savait qu’il ne devrait reculer devant rien. Etait-il assez fort, assez doté naturellement pour la réussir ? Bien entendu, puisqu’il n’était rien. Il n’avait pas de nom à donner à l’ennemi, pas d’émotions qui pourraient le ralentir. Pas de passé qui pourrait l’attrister, pas de Futur qui pourrait le préoccuper ; seule la Mission, unique Devoir et Ordre qu’il se devait de d’exécuter contre toute attente de la part de son Seigneur et Maître Danzô, comptait vraiment.
Restait maintenant à savoir quoi tirer de ces derniers propos. Il avait face à lui un adversaire qui était loin d’être stupide, mais qui restait assez ouvert en matière d’information. Sans sourire ni même bouger son corps ne serait-ce que d’un millimètre, notre adolescent androgyne avait rapidement remarqué quelques petites touches personnelles et sarcastiques qui lui paraissaient suffisantes pour lui fournir de nouvelles informations ; informations qui lui seraient cruciales car elles répondaient entièrement à ses questions et lui apportaient quelques détails qui ne manqueraient pas de tomber entre ses griffes et n’échapperaient pas à son oreille. Ce comportement lui rappelait un gamin de son Village ; toujours emporté, impulsif, déterminé. Sûr de lui, et il n’y avait pourtant pas de quoi l’être, car il était pour l’heure le plus faible de son équipe, sans le moindre doute. Quoi qu’il en soit, notre jeune ANBU de la Racine n’était pas de ce calibre, à ravaler sa salive lorsque l’on se sentait prit au piège ou à montrer de la surprise face aux propos de quelqu’un. Pour lui, que son identité soit découverte ou non, rien ne restait joué dans la partie. Et il suffisait simplement de mettre une halte aux pensées d’un ennemi pour lui faire faire machine arrière et remettre en cause ses idées. Son interjection donc programmée semblait avoir marqué un premier point pour lui, car cela avait coupé court la kunoichi dans ses réflexions. Ne restait plus qu’à détruire ses idées et à montrer sa faiblesse. Pure analyse psychologique ; mais Saï avait suffisamment étudié et appris de ses manuels pour savoir comment détourner un esprit provocateur ; en tout cas, cet apprentissage avait été bien plus simple que le sourire, chose qu’il se devait encore de travailler. Mais si apparaître gentil et agréable était pour lui un effort difficile, voire parfois surhumain, faire émission de sentiments autres sur son faciès et sur son comportement lui avaient été chose qu’il était parfois capable d’effectuer, surtout en ce qui concernait le dialogue agressif et médisant. Il n’aimait pas vraiment avoir à modeler son visage ; ou plutôt, il s’en moquait mais cela le touchait dans sa poitrine, sans qu’il ne comprenne pourquoi. Comment expliquer à un jeune garçon au regard plus sombre que des braises encore chaudes que ce qui pouvait par moment battre et rythmer sa vie dans son petit corps était l’existence d’émotions enfouies dans son cœur.

Adoptant un air hautain et bien confiant, c’était avec un manque absolu de respect et de courtoisie que les mots qui suivirent prirent place dans sa bouche. D’après le manuel des « Comportements humains et aspects psychologiques », c’était une attitude hargneuse et maugréant qu’il devait signifier là sur son visage. Mais sans vraiment le savoir, notre petit génie de la stratégie mais pas de la Nature Humaine s’appropriait là l’apparence d’un homme ayant une totale maîtrise de ses pulsions et ayant un air hypocrite et supérieur gravé sur son visage comme de la pierre.

~~ Si tous les hauts Shinobis d’Oto No Sato sont assez ignorants pour ne pas connaître les coutumes et la signification des bandeaux frontaux qui caractérisent le Pays de la Roche, alors Iwa No Sato n’aura jamais à craindre un pays aussi risible que le votre. Je saurais en prendre bonne note. ~~

D’une voix puissante et vibrante comme les cris qui font écho dans la montagne, Saï se plongeait progressivement dans son personnage, non sans quelques difficultés. La réalisation d’émotions et de sentiments qui caractérisaient tout individu n’était pour lui pas chose aisée, et il n’avait pas encore l’habitude de faire preuve d’un tel raisonnement et d’une pareille mise en pratique jusque là. Mais il arrivait à s’en sortir, et sans vraiment attendre de réplique de la part de la jeune demoiselle, il préférait renchérir pour pointer ses erreurs du doigt. Moi, facile à cerner ? Probablement et pourquoi pas. Mais qu’en était-il d’elle, alors ?

~~ Vous vous basez sur des suppositions, mais restez sans preuves. Si vous voulez colportez que je suis de Konoha, ma tâche n’en sera que plus aisée. Uchiha Sasuke est un danger mondial de par ses pupilles du Sharingan, et le Village Caché de la Feuille s’est montré bien incapable de pouvoir le retrouver. Nous n’avons pas besoin des faibles.
En revanche, je vous remercie pour votre avalanche d’informations. De par un tel comportement, j’en conclus que tu côtoyes l’Uchiha, mais tu te dis ne pas être à sa botte. Tu le suis, donc. Si tu le suis, c’est qu’il fait partie d’un groupe. Et comme tu t’es toi-même annoncée comme Juunin de Oto, cela signifie que le Déserteur de Konoha No Sato est à la tête d’un groupe qui doit détenir un certain niveau. Comme tu peux le voir, tu es la seule à être pleine de failles… . Y-aurait-il autre chose que tu souhaiterais m’apprendre de ton plein gré ? ~~

Un raisonnement comme un autre. Simple, rapide, analytique en tout point. Mais Saï avait bien confiance en cette réflexion qui était la sienne. Il était loin d’être un sage et un homme de pensée philosophique, mais sa formation en tant qu’espion, assassin, infiltré ou encore gardien l’avait mené à un niveau où il avait facilement compris que l’intelligence surpassait de plusieurs années la réaction physique. Il avait donc fait marcher ce côté-ci, et voyait bien qu’il venait de marquer plusieurs bons points. La dernière petite note sur son attitude ? Qu’est ce que le courage, ou la soumission, si ce n’est deux nouveaux mots de vocabulaire dont il n’avait pas à connaître les sens sauf dans le cas où cela ferait partie de la mission. Cette femme pouvait bien penser ce qu’elle désirait ; il se savait sous les ordres d’un autre et ne le rejetait pas. Après tout, libre ou esclave, aucune importance.

Seule la Mission Compte.

Invité

Un silence d’église c’était bel et bien installé suite a la petite réplique cinglante du Shinobi , bien évidemment , malgré qu’elle préféra garder le silence , Yukiko n’était pas du tout toucher par se genre d’insulte , enfin pouvions nous vraiment appeler ça une insulte?? Ce n’était qu’un moyen comme un autre de la faire taire, parce qu’elle avait raison ? Ou simplement parce qu’elle agaçait son adversaire, selon elle c’était un peu des deux mais une chose était certaine, elle avait beaucoup supposé , aucune preuve tangible ne s’offrait à elle. Rien ne prouvé réellement, que son adversaire était un Ninja de Konoha en autre, cependant elle était tout de même certaines d’une chose, il n’était pas d’Iwa car si elle avait utilisé se type de Genjutsu afin de cacher son identité, elle aurait prit l’apparence d’un village autre que le sien, sa paraissait logique pour une personne avec un minimum d’intelligence. Hors cet homme avait un esprit affûté. En tout cas, pour l’instant, la tournure des choses se présenter comme Minasaki-Chan l’avait espéré. En effet, si elle avait parler de tout ça, de se qu’elle penser et de ses hypothèses c’était pour une chose en particulier, faire parler son adversaire le plus possible. Si il se lançait dans un discours fumeux, sa voudrait dire qu’elle devait avoir en partie raison mais surtout sa lui permettait de réfléchir a un plan d’action. Plus il parlait, plus elle réfléchissait. Et par chance son « ennemie » fit exactement se qu’elle avait prévue, il se mit a parler, encore et encore, Yukiko l’écoutait bien évidemment, d’une oreille même si sa ne se voyait pas, mais elle l’écoutait sans rien répondre, se contentant de le fixer, toujours avec se regard poser, calme voir triste. Chaque mot qu’il prononçait laisser assez de temps a Minasaki pour élaboré un plan mais plus important encore, pour s’habituer au Genjutsu dans lequel elle se trouvait. Il y avait forcément une faille, une chose était sur, Yukiko n’aimait pas trouver enfermer de la sorte, non en vérité ce n’était pas elle mais bel et bien son Bijuu…

Cette illusion était comme une prison, elle ne pouvait en sortir d’après les dires de son adversaire et elle ignorait si en l’attaquant elle ne se risquerait pas à tomber dans un piége encore plus dangereux. Car une personne qui sait aussi bien manier les Genjutsu que Yukiko, savait pertinemment que tout n’était qu’illusion et qu’il ne fallait se fier a rien. Nibi n’aimait pas être enfermer , comme n’importe qui , il était a présent habitué a Yukiko même si elle ne le contrôlait pas totalement , mais cette situation n’était pas très agréable pour lui autant que pour sa Jinchuuriki. Le jeune ennemie termina enfin son discours , il avait plus ou moins utilisé les même technique pour apprendre des choses sans que Yukiko ait besoin de les dires , mais peu importe , après tout lui non plus n’avait aucune preuve de se qu’il avançait. D’un ton toujours calme et serein, elle prit la parole :

« Ingrat… C’est bien le terme qui désigne ceux qui pourchasse Uchiha Sasuke a cause de son Sharigan… Encore plus si ils sont de Konoha, même si comme tu l’a dit je n’ais aucune preuve de cela… Sa ne change rien au fait que tu soit un ingrat comme les autres… Les Uchiha étaient de grand Ninja ils ont protégé leur village au péril de leur vie, ils se sont sacrifier, vous les avez admirer voir honoré quand ils étaient de votre côté… Et maintenant que l’un d’entre eux a était poussé par vous-même a être votre ennemie, vous prétextez la puissance dévastatrice de son Sharingan pour le capturé même le tuer… Se gamin ne serait pas devenue se qu’il est si vous ne l’aviez pas poussez dans ses derniers retranchement… Vous n’avez pas sus le contenir il va falloir en payer le prix a présent… Mais je vais te retourner tes propres mots, tout se que tu dit n’est que pure supposition, tu n’a strictement aucune preuve pour prouver se que tu avance… Je vais tout de même te faire une confidence, je ne me considère pas comme assez importante pour avoir le privilège de me battre au côté de Uchiha Sasuke… Après, que tu me croit ou pas ne change rien pour moi… »

A ses yeux Uchiha Sasuke n’était qu’une victime parmi tant d’autre , certes il avait des motivation personnelle forte , mais elle était persuader que si il avait été beaucoup entouré et aider , il ne serait pas devenue se qu’il est et il vivrait des jours heureux a Konoha. Enfin, cette situation commençait a réellement agaçait la jeune Hebi, ce paysage en noir et blanc était beau mais un peu stressant, c’était surement le but. Dans une situation tel que celle là, la jeune femme ne perdrait pas son calme, mais là c’était son Bijuu qui commençait à s’impatienter même si il était hors de question qu’elle le laisse « sortir » devant ce Ninja. Peu de gens étaient au courant de se secret et elle se refusait a se que quelqu’un dont elle ignorait tout l’apprenne. Elle ne put s’empêcher de serrer son poing pour canaliser cette « énergie négative » la parcourait, son visage restait toujours le même, calme et serein puis elle ajouta :

« J’ai bien peur de ne pas pouvoir te donner les informations que tu désire… Deux solutions s’offre a nous, tu décide tout d’abord de retiré ton Genjutsu et nous repartons chacun chez sois, ou alors tu insiste… Des lors, je me défendrais bien que te combattre ne me réjouisse pas plus que ça… Tu as peut-être une mission à faire… Mais malheureusement pour toi, je ne suis pas la bonne personne, je n’ai aucune réponse à tes questions… Alors inutile de nous faire perdre du temps à tout les deux, tu ne crois pas ? »

Yukiko ne voulait se battre c’était un fait, mais si il insisté elle n’hésiterait pas défendre sa vie même si il y avait de forte chance qu’elle trouve un moyen « pacifiste » de terminer tout ça…

Invité

Pas un mot, pas une pensée. Restant vivide et blanc d’émotions, silencieux comme la pierre tombale qui jamais ne révèlera ce nom caché par une mousse verte mise en place par ces longues années de deuil et de paix, notre jeune garçon conservait cette apparence discrète et secrète derrière ce visage de gros dur, endurci par les années d’expériences. Les connaissances et les aptitudes il avait, mais le physique et la force masculine il ne détenait pas. Etrange contraste qui se créait là, entre cet homme qu’il avait tué autrefois mais dont il avait gardé le visage afin de le réutiliser pour plus tard. En y repensant, il s’agissait de tout son opposé au niveau corporel ; alors qu’il faisait mine d’un faciès méchant que les livres qualifieraient d’agressif et de roublard, notre jeune ANBU n’avait pas habitude de faire part d’une quelconque émotion sur sa frimousse à chevelure aussi sombre que le décor qui entourait nos deux protagonistes. Quelle importance, après tout. Bien qu’il ait souhaité avoir connaissance de pareilles choses si aisément décrites dans les livres mais si peu praticables, Saï n’y voyait maintenant qu’une nouvelle contrainte que sa condition sociale mettait en travers de son chemin. Mais même si cela devait lui fermer certaines portes, il saurait en choisir d’autres … ou bien les enfoncer. Il n’était pas du genre orageux qui aimait passer à travers les obstacles afin de les percer, mais savait faire usage d’une certaine force lorsqu’il s’agissait de ne pas perdre de temps, et ce seulement lorsque nécessaire. Malgré cela, il n’en serait pas ainsi cette fois ; car la jeune femme lui fournissant chaque minute passant de nouvelles informations qui lui étaient précieuses. Et bien qu’il les base sur des suppositions comme elle venait de le formuler, ses analyses avaient la chance de pouvoir reposer sur un regard d’expert qu’il avait pu étudier auprès de la Racine ; les signes du mensonge, du détournement de conversation… . Les traces d’un recul afin de quitter la conversation, le dénie de certains éléments dans une phrase. Oui, grâce à un entraînement qui resterait à jamais gravé dans sa peau et dans son âme, il avait maintenant tellement de dispositions à portée de main. Mais si peu de souvenirs et de sentiments. Etait-ce là ce que devait payer un homme pour obtenir une telle science ? Peut-être pas. Après tout, comme le prétendait cette femme à la poitrine oppressante et à la chevelure couleur vermeille, ne pouvait-il pas y avoir d’autre chemin que celui de l’abnégation et de l’oubli afin de passer au dernier degré qui transformait l’homme en machine ? Etait-il lui-même une machine ? Mystérieuse inconnue qui s’ajoutait au puzzle de sa vie. Mais il en savait déjà l’image finale, et ne lui connaissait pas de changement. Car une fois que la dernière pièce venait dans un élan final et terminal s’encastrer avec le reste du tableau, c’était toujours ce même visage d’adolescent qui se dressait face à lui, sans le moindre sourire, et toujours dans cette même tenue de Shinobi de l’Ombre. Un homme … une machine ? Ou même une machine dans le corps d’un Homme ? Dans sa tâche, il n’y avait pas de place pour la science-fiction, et sans vraiment changer d’habitude, ces pensées nouvelles et pourtant si fréquentes retournaient insatiablement dans les tréfonds de son cœur… dans les plus profondes abysses de son âme.

Portant un nouveau regard avec ce corps qu’il adoptait de plus en plus, il tournait légèrement la tête sur le côté droit, fermant un œil comme pour pouvoir percer à travers son interlocutrice. N’y avait-il pas dans ce discours une trace de sympathie, voire même de compassion ? Ce qu’il était en mesure de dire sur le clan Uchiha ne dépassait pas les registres des missions les plus confidentielles, et bien qu’il n’était pas en savoir de l’affaire du massacre de ce Clan si obscur, il n’y portait guère d’intérêt. Cependant, ce fait semblait prendre particulièrement à cœur la jeune demoiselle qui faisait preuve d’une affection bien étrange pour quelqu’un qu’elle ne prétendait presque pas côtoyer. Un amour inconnu, ou encore une amitié cachée ? Saï préférait la troisième option : un mensonge raté. Car il était bien trop affable de déclarer ne pas être assez proche du traître Sasuke Uchiha et de lui porter un tel dévouement. Dans ces dernières paroles, il y avait bien assez pour que notre jeune androgyne puisse créer un dossier convenable auprès de son Seigneur et Maître. Qu’ils soient responsables de la désertion du Possesseur du Sharingan ? Il n’en savait rien et n’y portait pas d’intérêt. Pour notre ANBU de la ‘Racine’, seule la Mission prenait de l’importance et il n’y avait rien qui ne puisse avoir de l’attrait dans cette information : ce n’était qu’une opinion, et ce genre de trait n’avait pas à être vu dans les Archives de la Branche ‘NE’. Soupirant comme par lassitude, il était temps de reprendre le rôle du personnage et de présenter à la cible une nouvelle version de sa naïveté. Après tout, notre homme n’avait rien à y gagner ; mais quitte à devoir quitter les lieux, il valait mieux pour lui de ne pas laisser d’indices derrière lui soumettant l’idée qu’il venait bel et bien de Konoha No Sato. Même si la consigne lui indiquait d’éliminer toute personne ayant fait rencontre avec lui, il savait bien qu’il n’était pas toujours avantageux de le faire ; mener ici un combat, même s’il pourrait être sûr de le remporter, ne ferait que laisser davantage d’indices sur le terrain après la bataille. Aussi était-il plus judicieux de semer le doute chez cette jeune guerrière plutôt que de procéder à la règle 367 du Code Ninja… .

~~ Il est assez plaisant de voir une jeune femme développer tout un raisonnement … si seulement celui-ci était intelligent et menait quelque part. ~~

Sexiste, notre Saï ? Ce n’était pas vraiment son genre. Mais il savait qu’un rien pouvait parfois piquer la nervosité de certaines de nos chères demoiselles, bien qu’elles ne soient parfois chargés d’aucune critique ou injure misogyne. Pour lui que l’on surnommait l’Androgyne, il n’y aurait de toute façon vu aucune offense. Allez savoir pourquoi, certaines ignorances de la part de notre ami laissaient à désirer ses réactions et autres réponses qu’il formulait par moment, ce qui s’ensuivait généralement de la colère de nombreux. Mais sans vraiment attendre une réaction de la part de la Juunin d’Oto, il préférait passer à la suite, abandonnant là la Kunoichi à cette étrange déclaration qui la ferait mariner certainement encore un petit moment. Inutile de tergiverser sur le fait qu’il venait ou non du Village Caché de la Feuille ; elle n’avait aucun élément et faire un rapport là-dessus ne servirait à rien sans le moindre indice ou élément pouvant être recevable auprès de ses supérieurs ; cela irait donc pour cette fois.
Maintenant, il était temps de passer à la phase 2 de sa stratégie : la satisfaction des informations.

~~ Je devrais normalement vous mener à la Mort pour m’avoir vu à jour. Mais je dois admettre que les informations que vous m’avez fournies m’ont été amplement suffisantes. Vous avez tourné autour de votre propre tour : on ne prête pas autant d’attention et de sentiment à quelqu’un que l’on ne voit pas souvent. Et la pointe de tonalité que tu as donné lorsque tu déclarais n’être pas assez importante pour te battre aux côtés du Déserteur du Pays du Feu rapporte à comprendre son inverse. Il ne s’agit pas là d’un regret, mais d’une déception : tu n’es certes pas assez importante, mais tu te bats à ses côtés. ~~

Un raisonnement qui vous semble illogique ? Il l’était pour notre jeune ANBU, et d’après l’auteur sociologue de « Pensées et confessions de l’être humain en société ». Il n’y avait désormais plus grand-chose à tirer d’elle, et bien qu’elle semblait prête à toute éventualité, Saï avait encore autre chose à faire. Il était temps de passer à l’étape suivante : la recherche de davantage d’informations. Cherchant avec soin un objet dans sa sacoche et sans quitter la cible des yeux, il mit enfin la main sur ce qu’il cherchait et laissa apparaître une boule couleur violette entre ses doigts. La laissant s’échapper de son emprise, ce fut avec une certaine lenteur que la petite chose alla à la rencontre du sol, éclatant soudainement dans un nuage épais et mauve, et plongeant le duo dans un monde inconnu et sans mot. Dans un lointain bien proche, une voix fine mais simple qui restait là, alors que le décor revenait à la normale, reportant Minasaki Yukiko à la réalité et au monde concret :

~~ Nous nous reverrons certainement … .~~

Invité

Cet homme était d’un froid glacial, aucune émotion ne filtrait à travers son visage, il avait tout simplement l’air de ne rien ressentir, de ne pas penser tel qu’un humain normal le ferait. Il devait être le genre de personne a vivre pour ses missions uniquement et avoir besoin des missions pour exister, sans ça il ne serait sûrement rien. Un homme sans âme, sans cœur, sans vie, seul et abandonné de tous. Elle comprenait tout a fait le fait qu’on soit pointilleux sur les missions, ne pas désobéir aux ordres, ne pas réfléchir a la question quand on nous donne une chose a faire, mais pourtant être quelqu’un de « professionnel » en tant que Ninja n’était pas incompatible avec le fait d’avoir une vie. Ressentir, réfléchir pour soi-même, c’était des choses importante pour Yukiko et même si elle exécutait chacune de ses missions sans ronchonner, sa ne voulait pas dire qu’elle avait décidée de perdre tout son humanité et sa façon de penser. Finalement, si il était bel et bien l’homme qu’elle imaginait, elle avait pitié de lui, pitié de sa faiblesse malgré sa force physique et intellectuelle de tout évidence, car il manquait d’une chose cruciale… La liberté de choisir. Mais après tout, Minasaki-Chan n’avait rien pour confirmer se qu’elle pensait, peut-être n’était-ce qu’une façade qu’il montrait à ses ennemies, elle en doutait mais c’était tout de même possible. De plus, pour l’instant elle devait s’occuper de gérer cette situation, non penser aux déboires de cet homme.

Son adverssaire prit de nouveau la parole après elle-même, heureusement elle n’était pas du genre féministe car c’est vrai qu’elle aurait pu prendre mal cette expression. Et puis Yukiko n’était pas susceptible au point de sortir de ses gons pour si peu, elle ne répondit donc rien, gardant se visage neutre voir triste comme toujours. Se fut la suite le plus intéressant dans tout cela, il usait des mêmes tactiques pour analyser chaque phrases que prononçait la jeune femme, mais tout ça n’était que de la spéculation, après tout il ne la connaissait pas. Peut-être était-elle simplement l’une des grandes et nombreuses fan de Sasuke, d’où cette compassion dans ses dires. Ou simplement était-elle quelqu’un avec beaucoup d’empathie pour les autres, même si elle ne les connaissait pas… Il y avait un tas de réponses à cette compassion, mais il en avait tiré des conclusions avec autant de hâte qu’elle , au début, il lui reproché sa « naïveté » de tout évidence et il voulait la « profiler », mais forcer de constater qu’il n’était pas des plus doué dans ce domaine. Elle répondit donc avec calme:

« Jeune et sans expérience de tout évidence… Tu tires des conclusions avec une rapidité déconcertante se qui prouve que tu es un novice dans tout ça… C’est très décevant je doit l’admettre, je m’attendais à mieux de ta part… Cette compassion que tu a entendu dans mes dires peut avoir diverses origines, ça ne prouve absolument pas que je côtoie Uchiha Sasuke… Il a beaucoup d’admiratrice à Oto et encore plus à Konoha… J’en fait peut-être partie tout simplement?… Où suis-je quelqu’un de facilement émotif?… Ou peut-être que tu a raison et que je me bat réellement à ses côtés qui peut vraiment savoir?? Sûrement pas toi… Mais grand bien te fasse, pense se que tu veux, sa ne changera rien pour moi de tout façon… Et de mon côté, j‘ai tout se qu‘il me faut… »

Elle l’avait cernée assez pour faire un dossier, ou tout du moins en commencer un. Elle le finirait par la suite après tout, il ne lui faudrait pas beaucoup de temps pour découvrir qui il est vraiment. Ce petit avait l’air d’avoir oublié où il se trouvait cet a dire en plein territoire ennemie… Il serait donc aisé de savoir d’où il venait, ou tout du moins de trouver des pistes malgré qu’il avait du couvrir ses arrières. Enfin peu importe, elle le retrouverait un jour ou l’autre. Après leur discour, le jeune Shinobi attrapa une petite boule violet entre ses doigts, elle tomba à terre lentement avant de toucher le sol. Une fumée mauve et épaisse apparue tout autour des protagoniste, Yukiko se contenta de mettre l’une de ses mains sur son visage pour se protéger puis le décor revint à la normal. Une voix plus ou moins lointaine se porta aux oreilles de la jeune femme qui se contenta de rester de marbre avant de dire simplement:

« Je n’en doute pas… »

Ce message s’adressait plus à elle-même qu’a cette voix lointaine qui ne l’avait peut-être même pas entendue. Le poursuivre serait inutile. La jeune Shinobi se contenta alors d’observer soigneusement les alentours et surtout le sol. Elle mit un genou à terre avant de passer sa main au dessus de l’endroit où c’était tenue son adverssaire au début de tout ceci. Les marques étaient légère mais tout de même visible, l’herbe recelait bien des aides parfois et la nature aussi en vérité. Yukiko venait d’un clan nomade vivant dans la nature et vénérant cette dernière, sa mère lui avait apprit des son plus jeunes âges tout se qu’elle savait à se propos, se qui l’avait beaucoup aidé. A présent, la Shinobi d’Oto savait le poid et la taille de cet homme, pas exactement bien évidemment, mais elle avait une tranche en tout cas. Il devait mesurer entre un mètre soixante dix et quatre vingt cinq, il était donc grand, ça elle l’avait plus ou moins deviné quand il l’avait attaqué par derrière, la position de ses mains et de son bras laissait a penser qu’il était beaucoup plus grand qu’elle, mais la marque au sol venait confirmer ses doutes. Cependant, il semblait être assez mince pour quelqu’un de si grand, se qui était logique, il avait l’air très intelligent et méthodique, pas quelqu’un d’adepte de la force brute, la preuve il avait utilisé un Genjutsu. En tout cas il ne pesait pas plus de soixante cinq kilos c’était certains. Ses deux informations montraient bel et bien que l’homme qu’elle avait vue dans ce monde en noir et blanc dans lequel elle était plongé, n’était qu’un leur. Elle observa pendant de longue minute les lieux avant de finalement partir pour retourner à Oto…. Elle avait de quoi commencer un dossier, bien sur elle ne le montrerait pas encore à Orochimaru ou qui que se soit , pas avant d’être totalement sur de qui était cet homme… Mais une chose était a présent certaine, ils se reverraient un jour ou l’autre…

{FIN}

Sujet: Re: Invité surprise... | Saï} 2010-09-04, 15:54

Citation :: °¤ Evaluation ¤°

Franchement, faut le faire pour passer à côté de cet échange mythique.

Yukiko =) T_T, toi et la conjugaison c'est loin d'être une histoire d'amour Regarde ton premier post toute première ligne, cela ne te saute pas aux yeux ? Tu as tendance à tout mettre au singulier, ou à tout mettre au pluriel

"Les oiseaux chante"
" Les forêts était "

Si tu arrivais à ne plus faire ce genre de fautes, on oublierait vite le reste vraiment

Sai =) Il est rare de te voir faire des fautes, mais je crois que peu ont la motivation pour se relire /

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Outres cela, vos deux personnages sont superbes. Sai est divin dans cet échange et Yukiko fidèle à elle même. On voit que vous y avez pris du plaisir et c'est réciproque. On a passé un bon moment entre votre compagnie xD
Vos textes sont profonds, et vous savez resté réguliers jusqu'au bout, une chose peu évidente à faire. Que dire de plus
Je vais surtout arrêter de vous faire rougir

Yukiko : 9 points / Sai : 12 points