Naruto Teki Sanctuary
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 [Razorback] : Son histoire en exclusivité, Partie I

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Rekhyt Razorback
Chuunin de Konoha
Rekhyt Razorback

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Date d'inscription : 08/10/2008

Fiche Ninja
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[Razorback] : Son histoire en exclusivité, Partie I _
MessageSujet: [Razorback] : Son histoire en exclusivité, Partie I   [Razorback] : Son histoire en exclusivité, Partie I Empty2008-10-18, 22:41

Oyez Oyez, habitants de Konoha et étrangers de passage !
Moi, le grand, l'unique, Azhdar le magnifique, je vais vous relater en exclusivité l'histoire de Rekhyt Razorback !



Naissance

"Triste moment de ma vie. Première douleur et entrée dans un monde de combats perpétuels, de dangers éminents, de vies raccourcies, de luttes franches ou secrètes, pour tout ou rien, ou presque !, un monde sans foi ni loi, qui, en apparence, se pare de bons sentiments, mais qui, en profondeur, n'est que perfidie, suspicions, complots, recherche du pouvoir et de la domination de l'autre, ...

J'ai été élevé dedans. Je suis tout aussi pourri que ce bas monde de misère franche et secrète, franche chez les démunis socialement, secrète chez les riches vides intérieurement. Tout se résume, en fait, à ce principe: le franc et le caché, le vrai et le faux, les façades et la vérité, .... Tout ça, j'y suis dedans jusqu'au cou. Enfin, j'y étais. J'ai évolué, parce que j'en ai pris conscience. Je suis justement là aujourd'hui pour vous narrer mon histoire, l'histoire d'un sale type qui, contrairement aux histoires pour enfants, n'est pas devenu un prince lumineux, mais plutôt un mixe du bon et du mauvais. Un type tout à fait banal, penserait on. Mais non. Sinon je ne serai pas ici pour vous parler de moi."

Enfance

Le petit Raoul, un élève turbulent, parfois violent, indiscipliné, rebelle, profondément contre la hiérarchie, mais qui présente des aptitudes remarquables quand il s'en donne la peine. A 6 ans, alors que ses petits camarades se donnent du mal à apprendre à lire et à écrire, lui, il s'attaque déjà à plus haut. Vers le milieu de l'année, il présente sa thèse à une maîtresse carrément surprise. Ce n'était que quelques pages, mais on pouvait sentir que ce petit n'était pas comme les autres. Son sujet : la gestion financière d'une entreprise. Il semble qu'il ai fait ses propres recherches, allant de lui même aux sources de savoir que sont la bibliothèque ou les professionnels.
En même temps, il se montre parfaitement médiocre aux travaux proposés aux enfants 'normaux' : dessiner une maison, faire de jolies lettres, ...
Fin de la scolarité primaire, vers 8 ans, tout au plus, ayant déjà sauté 2 classes, mais pas plus, à cause du refus de ses enseignants, arguant qu'il était trop jeune, Raoul étudiait l'histoire antique et moderne. Il montrait une grande aptitudes aux mathématiques, lesquels étaient sa matière favorite. Il se montrait particulièrement mauvais en cours de Sport: N'éprouvant pas le besoin d'entraîner son corps, il délaissait carrément cette matière. Il cultivait déjà une sorte de supériorité de lui même, par rapport aux autres.
Il fut ensuite rapidement écarté de l'enseignement publique, pour se tourner vers les cours à domicile. En effet, descendant d'une vieille et noble famille française, il pouvait se permettre à peu près ce qu'il voulait.
Il est peut être utile d'éclaircir son ascendance : sa famille a longtemps été considérée comme mystique. Tous ses membres vivent beaucoup plus longtemps que des humains normaux, ont des capacités physiques et mentales généralement supérieur à la plupart des autres hommes, et il s'est déjà vu des cas étranges, comme un père qui immole brusquement par le feu un type à qui il en voulait ...
Enfin c'était, somme toute, un jeune surdoué déjà imbu de lui-même, qui aimait dominer les autres.
Il en fut ainsi jusqu'à l'âge de 16 ans.


Révélation

Un soir, alors qu'il rentrait chez lui, seul, dans la rue, il fut accosté par une bande de jeunes. Ces types avaient bu, il pouvait le sentir à plusieurs mètres de distance. Leur voix étaient bruyantes, et ils tanguaient légèrement. Il n'étaient que 4. Mais, comme l'identifia tout de suite Raoul, même avec ces handicaps pour eux, jamais il n'aurait pu les défaire en combat, si combat il y avait. Il l'accostèrent, donc, avec grand renfort de bruits, de gloussements, de titubation plus ou moins soutenue, et lui demandèrent l'heure. Étonné, Raoul lève le poignet pour la lire, quand il des ivrognes, apercevant la Rollex inestimable, se jeta à proprement parler sur lui. D'un geste vif, par rapport à son adversaire, Raoul se retire. Il lance des regards furieux à ses opposants. « Je suis Raoul Razorback, laissez moi passer, sale vermines alcoolisées ». Prenant son visage le plus sévère, il les toisa tour à tour. Un grand colosse, surement capable de lui briser les os d'un revers de main. A éviter. Deux maigrichons, en veste de cuir, l'air mauvais. Sans doute pas un problème. C'était un des deux qui s'était jeté sur lui quelques instants plutôt. Et enfin, le dernier. Petit, trapu, les cheveux sales, les vêtements défraichis, le visage crispé dans un vague sourire maléfique, inspirait presque la terreur. En somme, une petite bande disparate, du type qui pullule la nuit tombée dans les environs. Normalement, Raoul se faisait ramener en voiture. Mais pas ce soir. Panne de limousine...
Le petit s'avance de quelques pas et s'exclama : « Alors comme ça, le rejeton Razorback nous fait l'honneur de sa visite ? ». Son ton était carrément méprisant, et en disait long sur son ressentiment. En même temps, les Razorback étaient connus pour leur main de fer, et ils étaient les patrons de toute la région, étendant leur influence des industries jusqu'au café du coin. Les acolytes, leur air bête soudain éclairé par une lueur d'intelligence, s'écrièrent tous les trois ensemble, dans un brouhaha surexcité. Ils voulaient, pour sûr, s'amuser sur le jeune Razorback, maintenant qu'ils en avaient un prétexte.
On ne détaillera pas la suite de la conversation (sauf si on peut appeler conversation des grognements furieux, d'approbation de leur chef, ou autre ...). Venons en directement à l'action.
Un des maigres, plus vif que les autres, se précipite (le même que la dernière fois ...). Raoul, soudain poussé par un instinct qu'il ne se connaissait pas, lui décoche un bon coup de poing dans l'estomac. En le tournant légèrement vers l'intérieur, pour augmenter la puissance et limiter le risque pour lui même. Une technique qu'il avait lue sur un manuel de Karaté. Sans doute. L'assaillant, le souffle coupé, se tord par terre. Son pote l'autre maigre s'avance lui aussi, mais plus calmement. Il sort un couteau à cran d'arrêt. Son jean troué, son perfecto en cuir, et ses cheveux longs et crasseux lui donnent vraiment l'air d'un bon punk londonien. Manque plus que la bière à la main ... Enfin, celui ci s'approche méthodiquement, bien décidé à embrocher Raoul pour venger l'affront fait à celui qui se trainait par terre comme une larve. Finalement, il se décide, se fend en avant, et ... rate sa cible. Raoul s'était déporté sur le côté, et d'un geste fluide, prit le cran d'arrêt. Pas assez fluide, toutefois, car il remarque qu'il portait une légère estafilade sur le côté. Il n'avait jusqu'alors jamais saigné de sa vie. Ou alors ça se comptait en gouttes. Il se sentit panteler, faiblir. Il réussit à mettre à bas son 2eme adversaire d'un même coup de poing que le premier, mais visant, cette fois ci, la mâchoire. Les 2 derniers, inactifs jusque là, poussèrent des cris. Le gros vint alors. Il voyait très bien que son ennemi était affaibli, et ne se pressa pas d'avantage. Il aimait voir souffrir ceux qu'il enserrait. Il se délecta de son apparente supériorité. Il attrapa Raoul, et commença à l'enserrer. Sentant ses poumons se contracter sous la pression, Raoul commença à voir des étoiles. Mauvais signe. Alors qu'il commençait à se résigner à la mort, une brusque chaleur se répandit en lui. Dans la froideur de la nuit, ça lui parut bizarre. Encore qu'il était ENCORE plus bizarre de se poser ce genre de question alors qu'on est à l'article de la mort. Mais cette chaleur, au lieu de s'éteindre comme la vie de Raoul, se vivifia, jusqu'à devenir brûlante. Stupéfait, Raoul ne vit pas que le gros commençait à remuer, mal à l'aise. Puis ce fut le noir.
Il se réveilla presque en sursaut, autant étonné par le fait qu'il n'était pas mort que par l'endroit où il se trouvait. Une vieille grange désaffectée. Surement loin de la ville. Son mystérieux sauveur s'approcha, alluma une lumière (on était en pleine nuit ...), et le dévisagea. De longues minutes. « Ce que tu as fait ce soir, peu de gens en sont capables. D'où te vient ce don ? ». Pensant qu'il parlait de ses coups de poings, et l'esprit encore embrumé, Raoul grommela un 'jlai lu queq'part'. L'autre, surpris : « enfin, je parle de ton Katon. Comment as tu fait ? ». Ouuula, katon ? Du japonais, lui répondit son propre cerveau. Signifie le 'feu'. Étrange. « je ne sais pas de quoi vous parlez ». « Bon, peu importe. Sache que tu n'es pas à ta place ici. Voici mon numéro. Appelle moi dans deux jours. D'ici là, repose toi, t'as brûlé presque tout ton chakra en faisant ton petit numéro tout à l'heure. ». Alors qu'il commençait à reprendre vraiment conscience de lui même, l'autre lui glissa un petit papier, puis il se rendormit d'un coup. Il se réveilla le lendemain, alors que je jour était déjà avancé.


La suite


Inutile de préciser que sa curiosité le poussa à revoir le mystérieux sauveur. Ils se virent dans un endroit calme, loin de tout. L'autre lui révéla de but en blanc qu'il était fait pour être ninja. Il lui en expliqua les principes. Il expliqua que lui même l'avait été, autrefois, et même puissant, mais qu'il s'était fait renonçant, pour on ne sait quelles raisons obscures. Il lui indiqua comment trouver le village caché de Konoha. « Encore un nom exotique », pensa Raoul, bien qu'il parle couramment japonais. L'inconnu lui expliqua aussi le code d'honneur, et tous les principes qui régissent les ninjas. En résumé, il lui divulgua un grand savoir. Un homme normal aurait carrément pété les plombs, avec tant d'informations d'un coup. Mais Raoul avait l'habitude de compulser un livre entier en une nuit, il pouvait donc supporter ça.
Ils se revirent plusieurs fois, à l'initiative de Raoul, qui était toujours avide de savoir. L'autre l'entraîna à maîtriser son Chakra, qu'il qualifia de 'démentiel', tellement celui ci était, semblait il, énorme. Il lui apprit à s'en servir. Lui confia de nombreuses techniques. Lui apprit aussi comment se maintenir en grande forme physique, comment faire des exercices appropriés. Car un ninja se doit savoir se battre. Tout ça prit 3 ans. Un cours accéléré, en somme. 16 ans de vie d'un ninja normal, concentrés en 3 malheureuses années. En même temps qu'il grandissait, il se musclait. Il s'améliorait d'année en année, finissant par devenir un beau jeune homme, contrairement au petit renfermé qu'il était avant.
Enfin, à l'aube de la 4eme année, l'inconnu, qui avait toujours refusé de dévoiler son nom, on ne sait pourquoi, vint faire ses adieux à Rekhyt (c'est dans cette période de transition de sa vie que Raoul a adopté un nouveau nom, à l'image de sa nouvelle vie). Surpris, Razorback, qui avait hérité de toute la fortune de ses parents (morts dans un affreux accident de voiture l'année précédente), et se faisait donc appeler 'monsieur', se fit remettre plusieurs rouleaux de parchemin par son mentor. Abasourdi, il ne comprit l'adieu de son maître que quand celui ci s'en alla pour de bon.
Il lui fallut plusieurs heures avant de constater qu'il était bel et bien parti. Il lui fallut ensuite plusieurs jours pour admettre qu'il venait une deuxième fois de perdre un père. C'est à la fin de la première semaine après le départ de l'inconnu qu'il se rappela des rouleaux. Il entreprit de les ouvrir. Ils contenaient une carte très précise du japon, indiquant clairement où trouver les principaux villages cachés, et en particulier celui de Konoha. Un autre rouleau était un schéma compliqué d'un Katana. Long, la lame légèrement recourbé, il plu tout de suite à Rekhyt. Un mois pour l'étudier de fond en comble. Un autre rouleau contenait les instructions pour se servir du katana, et faisait référence à divers ouvrages publiques pour peaufiner sa manipulation. Ce rouleau détaillait plusieurs techniques pour utiliser le sabre, mais aussi quelques éléments essentiels à sa fabrication. Le sabre serait partie intégrante de l'homme. Il n'obéirait qu'à lui et pour lui. Ce serait l'allié permanent, toujours fidèle. Enfin, un dernier rouleau était un compulsé d'un grand nombres de jutsus, dont les ¾ lui étaient inconnus. Il mit encore 3 ans pour parvenir à toutes les assimiler et les utiliser parfaitement.
La création de son sabre fut laborieuse, mais abouti à une véritable œuvre d'art, mélange de technologie ultra-moderne, de savoir antique légué par le rouleau, et de divers jutsus. Un an à le manier quotidiennement, à dormir avec, à partager les mêmes expériences, les mêmes entrainements, ...
Il avait alors 23 ans. Il se promit une année sabbatique avant de débuter sa nouvelle et véritable vie. Il vendit tous ses biens, toutes ses richesses, toutes ses possessions en surplus. Il convertit tout en Or. Il s'aménagea, dans une montagne éloignée, une cache secrète, un refuge, un espoir de la dernière chance, qu'il utiliserait en cas de nécessité. Il fit en sorte d'être le seul à connaître cet endroit, en l'effaçant de leur mémoire aux gens ayant permis de le construire. Matériaux modernes. Protections plus que maximales. Tellement qu'il était le seul à jamais pouvoir entrer, par des moyens conventionnels. Il poussa la sécurité jusqu'à prévoir des barrières magiques, en combinant les jutsus de défense les plus complexes livrés par le rouleau. Incartable, invisible, indestructible, ... LE refuge par excellence. Il y fit un stock de vivres non périssables. Y aménagea tout le confort dont il pourrait avoir besoin. Puis il partit, espérant ne plus y revenir, car cela signifierait qu'un danger énorme pèserait sur lui. 3 mois pour accomplir cet exploit.
Il se décida à faire le tour du globe, excepté le Japon, qu'il réservait en dernier. Il voyagea donc, accumulant l'expérience et la pratique. Il découvrit d'autres formes de combattants d'élite. Il s'y mesura. Les vainquit ou s'en faisant des amis.
Enfin, après toutes ces péripéties, il arriva au Japon. L'ultime lieu. Il voyagea sans mal jusqu'à Konoha. Se présenta aux responsables du village, attendant d'être accepté.




Voilà son histoire, comme elle s'est vraiment passée. Si vous avez quelques zones d'ombres que vous voulez éclaircir, prévenez moi, à la même adresse que LUI ... Smile
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PNJ Kiri
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PNJ Kiri

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Village : Kiri 4ever!!!
Date d'inscription : 30/12/2008

[Razorback] : Son histoire en exclusivité, Partie I _
MessageSujet: Re: [Razorback] : Son histoire en exclusivité, Partie I   [Razorback] : Son histoire en exclusivité, Partie I Empty2010-09-03, 16:09

Citation :
(Validation sur la seconde partie, ici.)
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