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| Sujet: La rentrée des écoles [PV Hisake et Kamba] 2008-08-04, 15:09 | |
| Le chunin se trouvait assis sur le toit de son petit appartement. Son visage entre ses genoux, il arborait une mine lourde et pesante, fatiguée du sommeil qu'il avait évité. Sa tête entre ses jambes, entourées par ses maigres bras, il trouvait quand même le moyen de regarder l'aube s'installer. Le vent était froid en se matin ou le soleil n'avait pas brillé depuis des heures. Kyo lui ne sentait pas la fraicheur et la lucidité dans son esprit, juste un sentiment de solitude et d'ennui. Il arborait un air renfrogné renforcé par sa position de fœtus. Le temps passait et le jeune homme ne bougeait pas, et bien que sa lucidité ne soit pas brillante en cet instant, il pensait. Il pensait à différentes choses, pour la plus part des questions aux qu'elles il n'avait pas réponse. Kyo s'en foutait, penser même sans raison et sans aboutissement lui faisait passer le temps qu'il trouvait plutôt chient en se moment. Une autre chose le tourmentait: Matsui lui manquait.
Le soleil montra ses premiers rayons, balayant peu à peu les merveilleuses couleurs de l'aube. Le brouillard de celle si avait déposé sur le jeune homme une fine rosée qui l'avait légèrement humidifié. Etant torse nu, il n'aurait pas besoin de se changer entièrement. Kyo n'avait pas vraiment un physique qu'on attendait d'un ninja, enfin plutôt qu'on imaginait. Il était de taille moyenne et assez maigre, presque la peau sur les os. En plus de la longue cicatrice qui lui barrait le visage à l'horizontale, il en possédait une autre qui lui barrait le torse dans toute sa diagonale. Il en possédait quelques autres dans le dot, plus petites. Toutes lui avait été faites lorsqu'il était gamin, pour la plupart en guise de punition, mais c'elle qui lui barrait le torse n'avait été faite que pour le pure plaisir d'un bandit. Ses yeux étaient cernés et ses cheveux étaient noirs et touffu. Ses mèches s'élevaient en pics vers le haut et partaient dans tous les sens. Kyo avait l'air d'un garçon naturel mais les apparences étaient trompeuses. Bien que ses muscles fussent maigres, ses os étaient aussi durs que le roc. Le ninja rentra dans son appartement par la fenêtre. La pièce était petite et remplis par un lit, une étagère murale et un petit peu d'électroménager nécessaire à sa survie. Des dessins et des vêtements trainaient un peu par tout, autant sur son lit non fait, mais aussi sur le sol et sur la planche qui lui servait de table. Kyo rentra dans la seconde pièce encore plus petite. C'était la salle de bain/wc. Il prit une douche se remémorant les instructions qu'on lui avait données la veille. Il devait prendre en charge une équipe d'aspirant. Parmi les deux ninjas qu'il devait guider se trouvait un amis, Hisake, ce qui le rassura car il n'avait aucune expérience d'enseignant, et très peu de patience en ce moment. Une fois qu'il sentit bon de nouveau, il partit en quête de vêtement propre. Il fini par trouver un tee short et un pantalon à peu près propre. Il se rendit compte du besoin urgent qu'il aurait d'aller au Lavomatic. Saisissant un de ses katanas, Kyo se mit en route vers l'académie ninja, un endroit où il se rendait pour la première fois.
Le village était désert. A cette heure s'était tout à fait normal. Kyoshiro pensait qu'il était à peu près sept heures et demi. Ayant rendez vous qu'à huit heure, il ne se pressa pas. Il avançât d'un pas mitigé entre patience et fatigue. Malgré la lourde nuit d'éveil qui pesait sur ses épaules, l'air frai du matin le tenait éveillé. Il traversa les principales rues du village puis arriva enfin aux bâtiments de l'académie. Pénétrant dans le hall, il se dirigea vers une réceptionniste.
-J'attends les deux aspirants Kamba et Hisake, qu'elle est la salle qui nous est réservé?
-Il vous attende au trois tronc.
*merde*
-Merci...
Kyo sortit du hall en courant. Il traversa les rues du village pour se diriger vers la campagne. Il ne s'était jamais rendu au trois tronc mais avait souvent entendu parler et surtout il avait vu de nombreux pannaux indiquateurs. Une fois arriver là bas, il fut rassurer de voir que aucun des aspirants n'était arrivé. Il s'assit sur le sommet du tronc central et attendit. |
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