[Mission personnelle] Sur les traces du clan Souken: Partie 3.

Lorsqu'il eut enfin son livre devant les yeux, il fut tout d'abord surpris par sa dimension. Il devait faire dans les cinquante centimètres de largeur et dépassait certainement un mètre de hauteur ; sans bien sûr oublier qu'il était très épais et devais peser terriblement lourd. La table elle-même semblait avoir du mal à supporter son poids, ses pieds s'étant dangereusement écartés lorsque le livre était apparut hors du parchemin de Zomeru. Ce dernier avait au préalable pensé que ce n'était qu'un mauvais tour de son imagination, que le petit nuage de fumée résultant de l'apparition du dernier artefact du clan Souken en possession du jeune forgeron était le responsable de cette impression. Cependant, forcé de constater que la table sur laquel il avait déposé le recueil vacillait dangereusement, il le prit à bras le corps et alla s'asseoir par terre dans un coin de la salle. Ce livre, bien plus lourd qu'il ne paraissait faillit glisser des mains de ce cher Zomeru alors qu'il essayait de l'attraper. Néanmoins, jouissant de plutôt bon réflexes, il parvint à le stabiliser et ainsi épargner ses pieds d'une violente et virulente douleur. Peinant à le transporter jusqu'à l'endroit désiré, il le posa par terre et le poussa de toutes ses forces, pour ne pas à devoir subir davantage son poids assez conséquent. Lorsqu'il fut enfin arrivé à destination, c'est-à-dire à seulement deux mètres de là, il s'assit par terre et déposa son énorme bouquin sur les jambes. Il sentit alors comme un petit craquement sourd en dessous du recueil, cependant, il ne pouvait se permettre de s'allonger à terre pour commencer sa lecture.

La couverture de ce précieux artefact était pour le moins inhabituelle ; les coins extérieurs du bouquin étaient entourés d'une sorte de bandage en cuivre et prenaient la forme de Jacinthes. Symbole qui parut assez inapproprié pour ce genre de manuscrit. On pouvait aussi voir tout autour du livre de nombreux têtes de clous, eux aussi semblaient être faits de cuivre, certainement présents pour fixer la reliure sur le livre. Constitué uniquement d'un cuir noir et sombre, ce grimoire était maintenu fermé par deux épaisses ceintures aux bouts cuivrés. Zomeru n'y avait encore jamais fait attention mais l'odeur qui se dégageait de ce manuscrit était assez singulière ; on pouvait humer diverses odeurs, comme bien évidemment celle du cuir et du cuivre, mais le tout était dominé par une odeur animale, comme si cet artefact cachait en son sein une bête encore vivante. Mais que pouvait-il bien contenir? Le jeune Souken commença par essayer de défaire les deux ceintures qui maintenaient fermé le précieux livre. Tirant de toutes ses forces, il ne parvint même pas à les faire vaciller ; une technique étrange semblait les protéger. Cependant, ce cher forgeron n'en resta pas là, il continua de tirer dans tous les sens ces deux morceaux de cuir, allant même jusqu'à essayer de les découper à l'aide d'un kunai. Mais plus il s'y essayait, plus ces deux morceaux du livre lui résistaient. A bout de force, il rangea cet énorme manuscrit dans son parchemin et chercha la bibliothécaire pour lui demander quelques informations.

Comme à son habitude, cette dernière était tout simplement odieuse avec ce pauvre Zomeru. Elle ne put s'empêcher de lui faire remarquer à de bien trop nombreuses reprises son incompétence et son inefficacité. Lui crachant au visage qu'il n'y avait rien de bien sorcier dans le fait d'ouvrir un livre, qu'elle n'était même pas sûr qu'il soit de toute façon capable de le lire. Cette mégère semblait bel et bien prendre son pied. Aux dires des gens, cette femme n'aurait jamais reçu une once d'affection, mise à part par son ancien mari décédé il y a de cela plus de vingts ans ; c'est depuis ce triste événement semble-t-il que le sourire de cette acariâtre personnage fut remplacé par ces odieuses grimaces et ce regard amer. N'ayant plus de raison de vivre, elle se serait plongée corps et âme dans cette marée littéraire pour ne plus jamais en ressortir. Le manque de contacts humains ne l'aidant en rien à compenser la perte de son cher et tendre défunt, son comportement devint avec le temps de plus en plus méprisable et méprisant. Tout cela pour expliquer que ce pauvre forgeron devrait faire face, pour pouvoir comprendre comment se servir de son livre, à plus de vingts ans de hargne, de colère et d'aigreur, s'il voulait espérer toucher des doigts son objectif. Lorsqu'ils furent enfin face à face avec le bouquin, elle le contempla de part en part, son regard s'illuminant un peu plus à chaque seconde, frôlant avec pudeur son couverture noirâtre comme si elle n'en revenait pas.

Quelques minutes plus tard, après que la vieille dame ne se soit suffisamment rincé l'œil en contemplant le manuscrit, Zomeru le fit rentrer dans son parchemin, appréhendant le fait que cette sorcière puisse avoir un orgasme. Et lorsqu'elle fut enfin de retour dans notre monde, elle fixa le jeune Souken d'un regard à la fois embrasé et interrogateur. La situation devenait de plus en plus gênante pour le pauvre forgeron qui ne savait comment réagir face à la bibliothécaire, il aurait voulu partir et rentrer chez lui pour continuer de chercher un moyen pour ouvrir son précieux artefact, mais cette dernière affichait une telle expression qu'il pensait la tuer sur place s'il venait à partir. Plus le temps passait et plus le regard autrefois fier et arrogant de cette femme changeait et devenait craintif et suppliant. Pour une fois, Zomeru semblait être en position de force, et n'allait pas se gêner d'imposer ses conditions pour obtenir ce qu'il voulait de cette dernière. La bibliothécaire, dans un flagrant élan de gentillesse, expliqua au jeune Souken: « Jeune homme, si vous le souhaitez, vous pouvez rester ici tant que vous le voudrez, les portes de ce bâtiment vous serons toujours ouvertes. Je peux vous aider à l'ouvrir si vous le souhaitez ». La donne avait complètement changée, et ce cher forgeron allait enfin pouvoir pleinement jouir des savoirs de cette odieuse créature pour parvenir à ses fins.

Les deux protagonistes livraient au manuscrit un combat sans merci. Cherchant sans cesse un nouveau moyen de se défaire des féroces ceintures qui le protégeaient et les entravaient. Ciseaux, kunais, machettes et autres armes furent employées, mais aucune ne parvint ne serait-ce qu'à entamer sa couverture. Plus le temps passait, et moins les moyens envisageables et envisagés pour parvenir à extraire les secrets de ce livre se faisaient nombreux. Leur visage, pourtant blanc pâle à l'origine, avait pris une teinte rouge vif, et leurs yeux, à cause de la fatigue, étaient à présent injectés de sang. Ce livre jouait avec eux comme un enfant joue avec des poupées ; ils ne pouvaient rien faire contre lui, et ne pouvaient que subir passivement ce qui leur arrivait. Tout à coup, et sans aucune raison apparente, Zomeru bascula en avant, face contre terre. Et la bibliothécaire, surprise par ce qu'il venait de faire sans crier gare poussa un hurlement perçant. Il était à présent prisonnier d'une sorte de prison de verre, à travers laquelle il pouvait voir des montagnes et des montagnes de parchemins en tous genres. Certains étaient accrochés sur de vastes murs blancs, d'autres virevoltaient tout autour de lui en se mouvant dans les airs comme des serpents. Il y en avait qui tombaient à même le seul en plein milieu de leur course, et le restant de ces mêmes parchemins trainaient ça et là à même le sol. Il ne comprenait pas ce qu'il y avait marqué sur ces morceaux de papiers, cependant, il remarqua que bon nombre d'entre eux ressemblaient étrangement avec les parchemins explosifs qu'il avait déjà eu l'occasion d'utiliser.

Il avait beau faire de tout son possible pour décrypter les inscriptions qui étaient imposées sur les feuilles de papiers, rien n'y faisait, la langue employée sur ces derniers lui était complètement étrangère. Pendant ce temps, ils continuèrent de tourner tout autour de lui, dans une valse sans fin, qui semblait cependant, avec le temps , s'accélérer. De petits éclats scintillants remplacèrent les parchemins qui tournaient alors à une vitesse déconcertante, et le pauvre Zomeru fut alors littéralement encerclé car un espèce de tourbillon aveuglant qui lui brûla les yeux. Tout autour de lui, les choses devinrent moins luisantes, moins colorées. Tout basculait peu à peu vers l'obscurité . La douleur ressentie par ses yeux se fit de plus en plus douce, jusqu'à s'effacer complètement en même temps que sa vision diminuait. Il était devenu aveugle. Plongé dans un noir des plus profond, il ne comprenait plus rien de ce qui lui arrivait. Il était persuadé qu'il était encore dans la bibliothèque, occupé avec la vieille bibliothécaire à essayer d'ouvrir son livre, cependant, tout était devenu tellement flou, qu'il ne parvenait plus à déterminer s'il l'avait rêvé ou si cela était bien réel. Les battements de son cœur descelleraient à mesure que le temps passait, autrefois rapide et irrégulière à cause du stress qu'il subissait, les pulsations qui le parcouraient s'étaient stabilisées, elles étaient devenues plus régulières. Pourtant aveugle, il ne subissait aucune gène à cela, comme si son cerveau avait été lui-même endormi.

Il ne savait plus où il était ni même ce qu'il y faisait. Il ne savait plus qui il était ni même ce qu'il voulait. Il s'était complètement dépersonnalisé, réduit à l'état d'un végétal à peine capable de subsister. Il revoyait de images, des images qu'il ne comprenait pas, qu'il ne voulait pas comprendre. Il voyait un port dans la brume, un bateau s'éloigner lentement du bord. Il voyait une foule compacte de gens devant l'immense porte d'un village, il se voyait pris au piège dans cette foule, avançant inexorablement vers cette même porte. Il ne savait pas pourquoi il avançait vers elle, il ne voulait pas avancer vers elle, mais il ne savait pas pourquoi. Quelque chose au fond de lui le dérangeait, comme un sifflotement sourd qui cherchait à se manifester. Tout à coup, quelque chose en lui bougea. Ce n'était pas quelque chose qui appartenait à son corps : ce n'était pas un mouvement de ses poumons dus à sa respiration, ce n'était pas un gargouillement qui provenait de son estomac. Non. Quelque chose de vivant en lui se mouvait dans son corps, mais il en était pourtant complètement étranger. Il la sentait remuer. Il la sentait avancer. Elle cherchait quelque chose en lui, et semblait être déterminée à la trouver. Cette impression commençait à devenir de plus en plus désagréable au fur et à mesure qu'elle s'immisçait dans ses entrailles. Au début, le léger frottement de cette chose contre les parois de ses intestins lui procurait un bien-être assez superficiel, mais plus elle se rapprochait de son œsophage, plus cette sensation s'intensifiait et se transformait en douleur.

Il ne sentait rien d'autre en lui qu'un espèce d'amas de chair gluante et rampante. Cette curieuse créature qui vivait en lui semblait être assez proche du verre de terre, peut-être n'était-ce qu'un ver d'estomac un peu trop glouton? Ou peut-être pas. Plus elle se rapprochait de sa gorge, plus il lui était difficile de respirer : comme si cette bête se nourrissait de ce qu'il le tenait en vie. Un vrai parasite. Lorsqu'elle fut enfin arrivée au niveau de son œsophage, le pauvre Zomeru croyait qu'il vivait ses derniers instants. Cette chose était bien trop large que pour y passer sans faire de dégâts, et le jeune Souken crut que sa gorge finirait pas exploser. Le plus terrible fut quand elle fut enfin arrivée dans sa bouche, et surtout lorsqu'elle entra en contact avec la langue du jeune homme. Il sentit alors un espèce de mélange fait de substance gluante, très certainement la bave de la bestiole, d'un liquide extrêmement acide qui lui donnait l'impression désagréable qu'il régurgitait malgré lui tout son déjeuner sur le sol, et d'un autre liquide, plus acidulé quand à lui, mais dont-il n'avait encore jamais fait l'expérience. De sa bouche sortit alors une sorte de serpent aux écailles noirâtres. Celles qui entouraient ses yeux étaient cependant d'une couleur plus vive, d'un doré presque pur, en radicale opposition avec le restant de son corps. Le visage du monstre était tellement brillant que Zomeru pouvait en apercevoir les contours alors qu'il avait été pourtant privé de l'usage de la vue. Qu'est-ce que cette chose pouvait bien être? Mais surtout, que faisait-elle cachée à l'intérieur de son corps?

Tout à coup, des images réapparurent dans sa tête, des images qu'il n'avait encore jamais eu l'occasion de voir, des images qui ne lui rappelaient rien. Il vit un petit garçon face à lui, un petit garçon à la chevelure blonde qui tendait la main. Lorsqu'il se rendit compte qu'il était face à un miroir, il ne put s'empêcher, malgré l'étrangeté de la situation, d'esquisser un sourire. C'était lui, mais il n'avait encore que six ans. Ses traits étaient encore un peu ronds, et il était plutôt gros pour un enfant de son âge, signe qu'il allait grandir bien plus qu'un enfant normal de son âge. Ses mains étaient encore fines, et ses doigts encore très courts. Il n'en revenait pas. Était-ce réellement son corps? Il n'en était pas sûr. Il n'arrivait pas à mettre de date sur cette image, sur ce souvenir, il voulait croire que ce garçon était lui, mais il ne réussissait pas à s'en convaincre. « Qui es-tu? » demanda t-il au reflet dans le miroir? Il vit les lèvres de l'image de l'enfant bouger quelques secondes plus tard pour lui répondre « n'est-ce pas évident? ». Un long silence s'abattit alors dans l'immense pièce blanche. « Je suis toi » lui dit l'image, avant de lui demander « Pourquoi m'avoir abandonné? ». Zomeru, confus, ne trouva pas quoi répondre, « Mais je..on ne s'est jamais rencontré... ». « Forcément, je suis toi idiot » lui répondit aussi sec son image, sur un ton amusé. Les deux garçons continuèrent de se regarder, figés devant l'image qu'ils avaient de l'autre, ils essayaient chacun de reconnaître l'autre, mais aucun d'eux n'y arrivait, ils avaient beaucoup trop changé.

Après quelques minutes de silence lourdes et pesantes, l'interlocuteur de Zomeru se remit à lui parler : « Tu ne te souviens vraiment de rien? » lui demanda t-il, le visage triste. Le jeune Souken, voyant la mine affable de son alter-ego, fit un effort colossal pour tenter de retrouver ne serait-ce qu'une trace d'un souvenir de ce visage, cependant, il ne parvint pas à trouver la moindre petite parcelle de ce faciès. « Non, je suis vraiment désolé... ». « Tu sais, il y a longtemps, nous passions énormément de temps à nous parler, comment as-tu pu m'oublier? ». Le jeune forgeron ne comprenait plus rien à ce qui se passait, il ne voulait pas risquer de froisser d'avantage ce mystérieux inconnu qui prétendait être lui, mais il semblait être encore plus perdu dans ce endroit que ce dernier. « Je..Je ne sais pas. De quoi parlions-nous si souvent? Raconte moi », lui demanda t-il, sur un ton presque larmoyant. Son image se remit instantanément à sourire, visiblement ravie de pouvoir avoir à nouveau une conversation avec Zomeru : « he bien, nous parlions de tout et de rien, du temps qui passe, du temps qu'il fait. Mais notre sujet de conversation préféré était de loin la forge de ton père, tu passais ton temps à me raconter tes aventures lorsqu'il t'emmenait avec lui travailler». Son père, le jeune Souken avait bizarrement perdu tous les souvenirs de son enfance, sauf celui de son père. Quelque chose en lui les avait très certainement refoulés si profondément qu'il lui serait difficile de pouvoir remettre la mains dessus un jour. Mais le seul souvenir qui lui restait de son père avait suffit à le faire pleurer de joie.

Les larmes vagabondaient en abondance dans le bas de son visage, comme un flot permanent de bonheur qui inondait le sol. Le jeune Souken n'avait plus ressenti pareil bien-être depuis bien longtemps déjà, et ses pleurs le libérèrent d'un poids énorme qui s'était accumulé sur de bien trop nombreuses années. Son image, surprise par cette réaction, le contempla quelques instants, ne comprenant pas vraiment pourquoi il s'était mis dans tous ces états, car après, tout, cela n'était qu'un pauvre souvenir. Le temps avançait et il était maintenant temps pour les deux enfants de se séparer.« Oh, il se fait tard, je vais devoir partir, à bientôt Zomeru ». « A bientôt » lui répondit le jeune forgeron. Tout à coup, il sentit une matière chaude et gluante pénétrer dans sa bouche, il poussa alors un terrible cri de douleur qui fut malgré lui assourdit par la bête que pénétrait à présent dans son œsophage. Il l'a sentit descendre jusque dans ses entrailles et d'un coup, et tout à coup, la sensation qu'elle lui procurait disparue, la bête noire au casque d'or s'était comme envolée. Sa vue lui revint alors, lentement mais surement, et les scintillements produits par les parchemins qui tourbillonnaient tout autour de lui faiblirent à mesure qu'ils ralentissaient. Il se retrouva alors nez à nez avec l'étrange salle blanche dans laquelle il était mystérieusement arrivé il y a peu, cependant, quelque chose avait changé ici. Il ne restait plus qu'un seul parchemin dans les airs, les autres étant tous brusquement tombés à terre. Il tendit alors la main vers ce même bout de papier, et fut littéralement aspiré par ce dernier.

Retour à la réalité. Il était à présent allongé dos au sol, au beau milieu de la bibliothèque. Il rouvrit avec peine les yeux, craignant un nouveau flash aveuglant, anxieux de perdre à nouveau la vue. Face à lui se trouvait une bibliothécaire affolée, elle n'avait pas comprit pourquoi il s'était écroulé au sol, ce qui, dans un sens, était bien mieux comme cela. S'il avait été le seul a être affecté par un genjutsu, c'était pour une raison très précise, une raison dont-il aurait connaissance dans ses futures pérégrinations. « Tu vas bien petit? Tu n'es pas blessé? » s'écria t-elle, visiblement très inquiète. Zomeru, surpris par un tel épanchement de la part de cette femme, répondit machinalement « Euuh...oui, oui, je vais bien ne vous en faites pas ». Il ne comprenait rien de ce qui venait de lui arriver, il ne comprenait pas pourquoi cela était arrivé, tout avait été si rapide. « Je suis vraiment désolée, tu es tombé si vite, je n'ai pas eu le temps de te rattraper.. » s'excusa t-elle. « Je..je vous assure que je n'ai rien. Mais que s'est-il passé? » répondit-il. « Tout est allé si vite, tu es tombé en arrière et t'es cogné la tête contre le sol, j'ai cru que tu étais tombé dans les pommes mais non, tu n'as été assommé que l'espace d'une seconde ». « Je vois..continuons de chercher un moyen d'ouvrir mon livre voulez-vous? ». Ainsi, ils continuèrent toute la journée durant à tenter d'élucider les mystères de ce livre, mais comme ils s'y attendaient déjà, ils ne trouvèrent rien.

Citation :: °¤ Evaluation ¤°

Dans l'ensemble un bon topic. Quelques erreurs dans l'utilisation du point virgule ( mais ca commence à entrer ^^ ), des erreurs dans la syntaxe et des petites fautes au passage.
J'ai halluciné en lisant la taille du livre, peu importe le pourquoi du comment, mais je suis traumatisée XD

10 points