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 [Mission personnelle] Sur les traces du clan Souken: Partie 3.2.

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Zomeru Souken
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Zomeru Souken

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MessageSujet: [Mission personnelle] Sur les traces du clan Souken: Partie 3.2.   [Mission personnelle] Sur les traces du clan Souken: Partie 3.2. Empty2009-12-15, 11:42


. Ruelles d'Oto : 7 heure 23 du matin .

En ce tendre et chaleureux début de journée, Zomeru se baladait à nouveau un peu partout dans les rues de ce village qui lui était devenu si familières. Elles qui lui avaient semblé êtres si inhospitalières lors de sa première petite escapade, étaient devenues avec le temps partie intégrante du quotidien du jeune Souken. Ce curieux phénomène était le signe qu'il était enfin parvenu à s'intégrer dans le village d'Oto no kuni, du moins en apparence. Les récentes recherches qu'il avait mené sur son livre avaient abouti sur trois fois rien ; lui et la bibliothécaire du village s'étaient pourtant démenés corps et âmes dans la tache, et pourtant, ils durent à contre cœur abandonner, le temps de chercher et de trouver la solution qu'ils désiraient tant. Ayant laissé de côté son entrainement pour l'examen des Chuunins le temps d'une semaine, il semblait évident qu'il lui fallait s'y remettre de toute urgence, du moins s'il ne voulait pas risquer d'être écrasé comme un vulgaire insecte. Il n'avait presque pas progressé et n'avait presque rien apprit entre le jour où il avait eu connaissance qu'il devrait représenter le village caché du Son lors de cet examen et ce jour-là, il était donc nécessaire pour lui de redoubler d'efforts et de rigueur dans ses entrainements s'il voulait pouvoir espérer s'en sortir indemne. Mais Zomeru, comme tout rêveur émérite qui se respecte, ne voyait pas les choses de cette façon là. Selon lui, un simple battement de ses paupières suffirait à balayer les ardeurs de n'importe lequel de ses futurs adversaires, qui auraient instantanément compris qu'ils n'avaient aucune chance de pouvoir tenir tête face à une telle assurance.

. Dans une ruelle particulièrement sombre du village : 7 heure 38 du matin .

*Technique du battement de paupière explosive*.Perdu dans ses pensées quelques peu rocambolesques, il s'arrêta net, le souffle coupé, comme pétrifié, figé par une image dès plus surprenante. De l'autre coté de la rue, deux hommes se livraient un combat féroce, et vu l'état dans lequel étaient ces deux derniers, il était évidement qu'un des deux participants ne s'en sortirait pas vivant. Aucun doute possible ; lorsqu'il vit une gerbe de sang s'extraire avec précipitation hors du bras d'un des belligérants, il comprit sans l'ombre d'un doute qu'il n'allait pas tarder à assister à un meurtre sanglant. Passant brusquement de son petit monde illusoire à un bien triste réalité, la violence du choc l'avait sévèrement secoué. Cette rencontre inopinée lui rappela sans ménagement la cruauté et la démence emprunte dans chacun des habitants du village du Son ; caractères exacerbés par la pauvreté et la faiblesse des villageois. L'argent facile était la seule préoccupation de bon nombre d'hommes dans les terres du maître Orochimaru, et certains n'hésitaient visiblement pas à user de tous les moyens possibles et imaginables pour s'en procurer. Rebuté, écœuré, et dégouté par cette profusion de sang, il détournait le regard de la scène pour fixer le mur à côté, mais finissait toujours par regarder à nouveau cette lutte à mort qui se déroulait face à lui. La simple vue de ces gouttelettes rouges suffisait à lui donner un haut le cœur ; il avait beau être ninja, il n'était pas pour le moins insensible à l'expression visible de la souffrance.



Dernière édition par Zomeru Souken le 2009-12-21, 23:05, édité 2 fois
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Zomeru Souken
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MessageSujet: Re: [Mission personnelle] Sur les traces du clan Souken: Partie 3.2.   [Mission personnelle] Sur les traces du clan Souken: Partie 3.2. Empty2009-12-15, 16:47

. La même ruelle, le contour de la scène s'obscurcit : 7 heure 41 du matin .

L'un des combattants finit par prendre un violent coup de poing dans le ventre, ce qui le fit vaciller et tomber violemment face contre terre. Et l'autre, heureux de pouvoir le voir dans une position aussi avilissante, se mit à rigoler à gorge d'éployée, de façon qui rappelait sans compter le rire frénétique des sadiques. Quelques secondes plus tard, lorsqu'il fut enfin calmé, et alors qu'il allait porter le coup de grâce à son adversaire, il se rendit compte qu'il était observé par Zomeru et lui lança un regard furieux. « Qui es-tu? T'as rien d'autre à faire? » lui cracha t-il au visage avec dédain. Le jeune Souken, perturbé par tout ce qui venait de se passer, se contenta de lui régurgiter « Rien, rien, ne faites surtout pas attention à moi... ». Des flammes jaillirent du regard de son interlocuteur, visiblement, il avait compris la réponse de ce cher forgeron comme une marque de soumission, et ainsi décida qu'il serait sa seconde victime de la matinée. « Viens par-là petit, faut qu'on cause » lui dit-il sur une voix beaucoup plus douce que la précédente, « J'ai besoin de ton aide tu vois? ». Le jeune génin, naïf comme jamais, fit quelques pas en avant pour écouter ce qu'il avait à dire, mais lorsqu'il fut enfin à une distance suffisante, l'homme qui le faisait face lui envoya un violent coup de poing au visage. Ayant à peine le temps de voir l'attaque et de l'esquiver en tendant le coup en arrière qu'un autre coup de poing lui fut porté, mais cette fois en direction de son ventre. Celui-ci, il dut malgré-lui le subir et ne tarda pas à rejoindre par terre le précédent adversaire de l'homme au rire inquiétant.

. La même ruelle : 7 heure 44 du matin .

Face contre terre, il gisait au sol avec une violente douleur au ventre. Comment avait-il pu être si naïf? Il avait pourtant vu de quoi cet homme était capable. La faim avait très certainement du altérer son jugement. Cela dit, un simple coup dans le ventre était loin d'être suffisant que pour le mettre hors d'état de nuire. La contre-attaque serait violente et radicale. Il reprit petit à petit son souffle, essayant de contracter ses abdominaux pour stopper la douleur. Haletant, il écoutait sans vraiment écouter le long discours que menait son agresseur: « Tu n'aurais jamais du m'approcher petit. Et tu sais pourquoi? Parce que je suis Saïme, le prochain Otokage! Tu m'as entendu petite merde? Le prochain Otokage! ». Sa longue tirade n'avait aucun sens, s'imaginait-il pouvoir prendre la place d'Orochimaru lui-même? Quelle blague. Zomeru en profita néanmoins pour rassembler ses forces, et dès qu'il se sentit prêt, il plaqua son bras droit sur le sol et s'en servit comme levier pour sauter en arrière et se remettre sur pied. Décidé à ne laisse aucune chance à son adversaire, il lui expédia en plein milieu du visage un rapide crochet du gauche, ce qui fit s'effondrer sur place cet odieux personnage. Il ne s'était encore jamais servis de ses mains pour frapper quelqu'un, préférant de loin se battre à distance en utilisant des kunais. La douleur qui ravageait ses doigts était insupportable, à tel point qu'il préféra s'enfuir par les toits pour éviter de croiser qui que ce soit alors qu'il affichait une telle expression sur son visage.
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