Trouver plus sombre que cette pièce semblé perdu d’avance, les flammes lancinantes éclairant les murs semblaient bien terne, on avait l’impression que l’esprit des ténèbres y avait élu domicile et imposé sa loi. Pourtant, dans cet endroit hostile, se trouvé de nombreux shinobi qui rompaient l’atmosphère lugubre par leur bavardement impatient. C’est alors qu’un nouvel arrivant fit son apparition, ouvrant la porte grinçante qui permettait d’accéder à la pièce, faisant entrer quelque secondes de lumière extérieure, Faust, un scientifique quelque peu étrange, venait d’entrer. Il regarda tout le monde avec un sourire chaleureux qui contrastait avec l’expression des autres, et leur fit un petit salut de la main. Un homme le suivait, caché sous la capuche d’un grand manteau, aucune partie de son corps était visible ; il accompagnait toujours Faust, et en dehors de son nom qui était Dante, personne ne savait qui il était et à quoi il ressemblait, une personne bien étrange en somme.

Faust s’avança vers un des piliers qui régissaient la pièce pour s’y adossait ; il ne chercha pas à parler à quelqu’un, c’était une personne solitaire et distante, et puis quel était l’intérêt que d’entreprendre une conversation futile avec les autres membres d’Oto ? Pour lui, temps que ça ne lui apportait rien de bénéfique, il n’en foutait pas une. Il regarda la pièce tout en jonglant avec un osselet entre ses doigts, un peu comme avec une pièce de monnaie que l’on fait passer d’un creux à un autre dans un rythme continue. Son binôme était restait à ses côté et n’avait lui nom plus pris part à une conversation quelconque. Le Medic-nin scruta le monde, Oto était peuplé de personne très diversifié, il y avait de tout, de l’aspirant au juunin bien qu’étant tout jeune, le village ninja était peuplé surtout constitué de genin. Si on s’intéressait un peu au gens qui se trouvait ici, on pouvait déceler certaine de leur caractéristique : l’un, sans doute un chuunin, ne semblait pas réagir à la douleur, s’entaillant nonchalamment les mains ; un autres, que Faust connaissait sous le nom d’Element, restait plutôt calme enfin jusqu’à ce qu’il l’ouvre, c’était celui qui se faisait le plus remarquer, enfin une chose qu’appris le Dokuro, c’est que ce chuunin maîtrisé l’élément Hyoûton ; un jeune femme aimant les hauteur portait une étrange arme et semblait mal à l’aise, tendis qu’une deuxième scrutait les lieux d’un regard fasciné. Au gros un beau petit monde.

Faust soupira, il commençait vraiment à s’ennuyer et se demandait bien pourquoi il perdait son temps à attendre ici ; il n’était pas comme c’est autre shinobi qui n’avaient d’yeux que pour leur Otokage, Faust était né ici, et Orochimaru n’était pour lui qu’un kage comme un autre.
D’ailleurs celui-ci arriva, sa présence fit taire l’assemblé ; on ne pouvait pas le nier, il avait quand même une certaine prestance, un certain charme qui subjugué l’homme commun, mais de là à se vouer corps et âme à cet homme, Faust ne comprenait pas. Il était sans doute celui qui critiqué le plus, mais il gardait une certaine politesse envers le serpent blanc. Lorsqu’il arrive, Faust ne le toisa dans pas d’un regard fanatique, mais resta à regarder dans le vide, l’oreille en alerte ; après tout, on n’écoute pas avec les yeux, donc pas besoin de fixer la personne qui parle, de plus l’admiration altéré l’ouïe et le raisonnement. Car ce qu’allait dire Orochimaru, Faust pouvait très bien l’apprécier que le réfuter…