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Nadiro Tatsu Juunin Spécial de Kiri/Epeiste légendaire de la Brume
Nombre de messages : 89 Date d'inscription : 24/07/2008
Fiche Ninja PV: (420/420) PC: (485/485)
| Sujet: - Un héritage oublié - 2009-03-01, 23:17 | |
| Dans le besoin d'un développement continu pour se renforcer aussi bien physiquement que mentalement, le jeune épéiste de Kiri rejoint le village d'Oto commandé par le seigneur serpent « Orochimaru ». Par la suite il fut traité comme un simple combattants, un moins que rien à la solde d'un homme, sans coeur ni lois. Toutefois, la voie du pouvoir le conduit vers un autre chemin, un chemin qui lui semblait plus au moins familier. Il s'agissait d'une lettre écrite par son grand-père Jinru-Tatsu avant sa mort. Les mots qui y étaient gravés étaient les suivants.
Dans le temple d'Aberu, tu trouveras Un héritage oublié tu garderas Un pouvoir inconnu t'enveloppera Une voie sombre te guidera Et à Orochimaru t'obéiras.
Une lettre plutôt « énigmatique » destinée à une personne qui ne devrait pas être là , à la base , le jeune Tatsu est un shinobi de Kiri et non d'Oto , les informations qui suivirent ce papier restent étonnantes. Apparemment Nadiro n'aurai jamais reçu cette lettre s'il n'avait pas rejoins Orochimaru. Son grand-père mort il y a bien des années, comptait l'intégrer au pays des rizières ? Ceci conclu, Nadiro revint au domaine d'Orochimaru pour consulter le registre d'Oto afin d'avoir le coeur net sur certains sujets. Après quelques minutes de lecture il se rendit compte que son nom était inscrit dans le registre bien avant sa rencontre avec le serpent. En suivant les pas du grand-père Jinru, il n'aurait plus de liberté, son avenir et son présent serait scellés à jamais dans une cage sans issues , dont le détenteur de la clé ne serait d'autre qu'un manipulateur malin assoiffé de pouvoir et de conquêtes, que faire dans ce cas ? Enfin, il devait bien faire un choix même si ce dernier le priver de pas mal de choses, comme sa liberté, ou bien plus, qui sait ? Il avait bien abandonné son ninjutsu ainsi que son arme légendaire pour ne développer que son corps et l'esprit adéquate qui va avec.
Il serra son sabre se trouvant dans le fourreau pour se tourner, déposer le registre dans la place qui lui était dû, il le déposa avec soin pour lancer un souffle d'apaisement . Il referme la porte qui scellait chacun des livres pour se diriger vers sa demeure, afin de s'offrir une nuit de sommeil bien mérité. Il détacha sa ceinture qui retenait son arme au reste de son habillement afin de laisser sa chevelure couleur de platine se faire bercer , par une douce brise de vent, il détendit pour fermer les yeux , et s'envoler vers un monde de rêves dans les bras de Morphée.
†Les esclaves rêvent de courage, comme les poissons rêvent de voler†
L'esclave n'avait pas à choisir, il n'avait qu'à obéir , c'était ce qu'exigeait grand-père Jinru à son digne successeur en rédigeant cette lettre, ne plus avoir de volonté et utiliser sa force, son courage et sa fidélité pour défendre non pas sa vie , mais celle d'un autre homme , pour gravir les échelons en sa compagnie et acquérir une véritable force destructrice, plutôt facile à comprendre et accomplir non ? Les shinobi trouvaient une raison de vivre en combattant et en tuant, ils ne faisaient qu'obéir à leurs supérieurs. Qu'il s'agisse d'un tirant, un oppresseur, un fier seigneur, un défenseur de la paix, seul le résultat final comptait. Trois heures plus tard, après avoir pesé le pour et le contre, le jeune Nadiro Tatsu se relève en plein milieu de la nuit avec dans sa main un choix, un choix ultime qui le conduirait vers la route de la gloire et du pouvoir selon lui bien sûr. Il reprit ses affaires pour se munir de son équipement de base composé de shuriken et kunai et autres futilités du genre pour ré-attacher ses chevaux blancs, reprendre les affaires familiales de Jinru-Tatsu et aller de l'avant.
Sous une brume épaisse voilé d'un noir peu commun, le jeune homme marcha en direction du temple se trouvant dans les terres de Stasumoto, un domaine proche d'ici, du quel fut envoyé la lettre, là ou devait résider le vieux membre du clan Tatsu. Il marcha encore et encore pour arriver devant une sorte d'auberge qui semblait bien animé, l'endroit idéal pour le recueil d'information fraiche, écouter, observer et analyser tel était son actuelle mission. Il prit place sur une chaise près de quelques personnes louche, tout en tendant l'oreille aiguisant chacun de ses sens et commandes par la suite un petit rafraichissement pour suivre leur conversation. Des pillards, intéressant ! Ce groupe de rapace ambulant qui dégageait une odeur putride comptait « s'enrichir » d'une manière classique et des plus banales. Ils voulaient pénétrer à l'intérieur d'un temple sacré dans le but de voler les choses qui leur paraitrait plus au moins couteuse et les revendre à prix d'or.
L'un des hommes : Nous allons prendre d'assaut le temple quand il ne restera personne. Un autre : Mais attends, ces vieux chnoque ne quitte jamais leur temple ne serait ce que pour pisser, alors le déserter est impossible pauvre con !
Le premier : Tu crois que je ne l'ai pas prévu idiot ! Bien sûr que oui, ils vont certainement le quitter, pendant l'enterrement du vieux maître qui nous faisait tout le temps chier , en nous parlant d'honneur , de respect, et pas mal de trucs. Un troisième : Cette vieille peau est morte ? Ah bon, ben ch'avais même pas moi...
Le second : pauvre tâche ... tu sais jamais rien...
Le troisième : non mais tu te prends pour qui ? Je vais te ...
Le premier intervient pour rappeler les chiens à l'ordre en tapant sur la table afin de les ramener au véritable sujet de cette petite réunion.
Le premier : J'ai dis du calme ! Revenant à notre « projet » il y a pas mal de gars qui comptent se faire la tune grâce aux récents événements... un maitre mort, des maisons sans défenses, un pays en déroute, que du bon pour nous, donc faut agir vite et bien ! Il y a surement d'autres gars qui pensent aux mêmes trucs que nous, faut les devancer et garder tout l'butin rien que pour nous.
Nadiro : pffeuh, quelpiètre motivation...
Le second : Qu'est-ce qu'il dit le pti merdeux hein ?
Dit-elle en se munissant d'un couteau bien ridicule, il se lève en laissant tomber sa chaise et ainsi créer un bruit désagréable pour attirer l'attention de la foule, il dirige son « arme » vers Nadiro pour tenter de lui planter ce dernier dans sa main gauche qui tenait le verre d'eau. -Peut importe la condition un shinobi, ne devait en aucun cas laisser apparaitre sa véritable identité.- Contre attaquer torde la main de ce malheureux ne lui servirait à rien, il attirait les yeux des hommes et femmes présents dans la salle et ne pourrait que créer plus de problèmes, quitter la demeure serait une bien meilleure solution. Il bu son verre d'eau tout en évitant le coup de son agresseur pour se lever en s'excusant.
Nadiro : Je m'excuse messieurs, mais il semblerait que j'ai fait un rêve éveillé ... C'est surement le manque de sommeil qui me joue des tours encore une fois... Bonne soirée à vous. Le second : pour qui te prends-tu gamin !
Le premier : Calme-toi... On a autre chose à faire.
Dit-il avec un ton sérieux, posée et calme, après avoir observé Nadiro, portant un fourreau relié à sa ceinture du côté gauche, ainsi que réflexe rapide pour éviter l'agression. La sagesse résidait dans chaque être, elle s'éveille au bon moment pour certain, pour les garder du mal. Quittant une nouvelle salle, Nadiro décida de prendre un bain de sang avant d'atteindre sa destination finale, un « échauffement » pour garder la forme disait-il. Il disparut en un laps de temps pour prendre place sur le toit de l'auberge, guettant la sortie des joyeux pillard en quête d'or. Peut importe le temps qu'il devait attendre en ces lieux, il arrivera à déjouer leur plan tout en les mettant « hors état de nuire »
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| | | Nadiro Tatsu Juunin Spécial de Kiri/Epeiste légendaire de la Brume
Nombre de messages : 89 Date d'inscription : 24/07/2008
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| Sujet: Re: - Un héritage oublié - 2009-03-12, 20:42 | |
| La nuit tombée certains humains préféraient se regrouper dans leur demeure, afin de se ressourcer et ainsi se préparer à débuter une nouvelle journée, ils se sentaient à l'abri de tout danger, et d'une manière tout permis, c'étaient leur petit paradis, du moins pour certains... D'autres rien qu'à la vue d'une construction familière devenaient « nerveux » ou désireux de fuite vers un autre ' monde' dépourvu de tous problèmes économique, sentimental ou familial, un rêve qui ne réalisera peut-être jamais à leur plus grand malheur. Néanmoins, pour quelques personnes, pendant une durée indéterminée, ils n'avaient pas d'habitation « fixe ». Ils préféraient vivre de la nature ou simplement fuir la réalité. Dans le cas de Nadiro, il s'agissait non d'une fuir ou un choix, mais plutôt une obligation, pour atteindre son but et gravir les échelons, il fallait sacrifier quelques plaisirs quotidiens, n'est-ce pas ? Il n'était pas l'enfant orphelin abandonné, ni le garçon aux parents disparut , non même pas l'assoiffé de sang ou de vengeance , encore jeune l'épéiste légendaire s'aventurer au bord d'un lac paradisiaque avec ce qui semblait être sa soeur, un personnage énigmatique, penseur, qui sourit constamment à la moindre question sans répondre à cette dernière, le souvenirs le plus fort qui hantaient l'esprit de Nadiro c'était ses cheveux noirs approchant la couleur des plumes de corbeau volant, ils n'étaient pas terrifiant non , mais impressionnant rien d'autres. A chaque fois qu'il repensait à elle il était comme envoûté, perdu dans ses pensées, encerclées, figé en un endroit sans possibilité d'accomplir une action ou même parler, il pouvait voir sa respiration couper pendant un laps de temps, plutôt bizarre pour une simple vision... De retour au monde réel, le jeune homme recouvre la vue tout doucement , il passe du flou au net , progressivement , et cela l'empêche d'accomplir de grande action et l'oblige à se reposer pour reprendre des forces, comme un saut maudit qui contrôle son hôte pour l'affaiblir ou calmer ses ardeurs meurtrières, on dit que seul un effort physique et psychiques énormes permettraient à la personne frappait de cette soit disant « malédiction » toutefois pour le cas de Nadiro il n'était pas question d'un affaiblissement, mais d'un renforcement qui le poussait de l'avant encore et encore, ne le laissant fléchir que très rarement. Une fois ressaisi il déposa son épée sur le côté droit, accroupi, prêt à bondir sur sa cible pour la saisir et l'anéantir, tout cela en prenant le soin de ne pas éveiller les soupçons des inconnus souls aux alentours. Ne faisons confiance qu'à son instinct, il guetta les passants, venant et revenant un à un pour les identifier, chose plutôt difficile la nuit tombée. D'un flanc de nuage argenté, une lune silencieuse et solitaire apparait au milieu d'un ciel illuminé par des poussières luisantes animant ce dernier pour le faire vivre à jamais. La douce brise soufflait par le vent s'était absenté cette nuit-la pour laisser place à une chaleur mettant mal alaise plusieurs habitants du coin. Après deux heures d'attente, l'un des comploteurs sort de la taverne pour regagner sa demeure suivit de loin d'un personnage répugnant et dégoutant, soul à moitié fou. Il s'agissait de l'agresseur du membre de clan Tatsu, Nadiro les pistait dans l'ombre se cachant derrière les maisonnettes ou en se faufilant derrière eux, tout en gardant une distance de sécurité, visage caché, lame acérée prête à trancher la gorge de tout inconnu voulant se mettre sur son chemin. Le groupe de brigand s'arrête devant une maison après quelques minutes de marche, l'un d'eux frappa à la porte en appelant un dénommé Karu, il allume les lumières dans sa modeste demeure pour crier au groupe de patienter, il regarde à travers la porte pour voir le deuxième jeune homme s'avancer et le précipiter à l'intérieur, sans pour autant sortir un couteau ou autres choses du genre. Il le planque sur le sol laissant la porte grande ouverte. Le démon au visage d'ange et l'apparence séraphin exécute un signe des mains pour disparaitre en un nuage de fumée, il avait eu comme une illumination pour intégrer le groupe « s'amuser » et par la suite se faire respecter comme il se doit en laissant sa propre marque dans un chef-d'oeuvre prochain. « Ptin de merde Karu tu as cru faire quoi ? Tu nous lâches maintenant ou quoi ? T'sais bien que ce n'est pas possible alors arrête de déconner nous oblige pas à te forcer à... et puis merde quoi ! » Il se releva, jetant le corps de l'homme apeuré tout en sueur sur le sol pour sortir une cigarette tout en ordonnant à son collègue de fermer la porte d'entrée. Rangeant son sabre dans son épée, l'homme aux cheveux de platine descendit du toit d'une maison avoisinante celle qu'il ciblait, il se mit alors à l'écoute du groupe sous une fenêtre à moitié ouverte tout en douceur et poursuis les plus petits détails de la conversation. Chacun d'eux prit une place autour d'une table en fixant l'homme plutôt stressé, qui semblait même perdre les pédales. Le chef du groupe : « Arrête de me faire ses yeux de merlan frit, tu vas venir on a besoin de toi pour nous couvrir une fois qu'on aura finalisé le tout, et de quoi tu as peur, ça va être notre mission la plus facile, vider un temple abandonné, qu'est qui te fais peur hein ? ». Karu : « ce n'est pas que j'ai peur, mais je n'en peux plus, j'ai une famille moi, je veux laisser tout tomber, j'en ai marre de devoir trimbaler des corps morts derrière mon dos et me coucher dans mon lit, je ne peux plus me regarder dans un miroir ! J'ai une conscience moi, pas comme toi ou Nishiari. » Nishiari : « De quoi qu'est qu'il a Niashi, Nishi, euh Nishashi .. » Le chef du groupe : « La ferme Nishi. » Après avoir mit les choses au clair , encouragé leur frère d'arme , le groupe révisa sa stratégie une dernière fois, espionner de loin par Nadiro Tatsu, qui gravait chacun de leur mot , comme s'il allait jouer leurs rôles ou s'apprêtait à remplacer l'un d'eux , il s'intéressait particulièrement au jeune 'Karu' une personne calme , plutôt gentil à première vue , bien obéissante aux menaces, l'homme à abattre dans l'histoire, il n'avait plus à se soucier des problèmes de familles, loyer à payer ou autres futilités du genre, l'ex shinobi du village caché de la brume allait le soulager et lui rendre un grand service . Peu de temps après le départ du duo Nadiro pénétra à l'intérieur de la maison en utilisant la fenêtre d'une chambre, il y atterrit doucement pour n'attirer aucune attention, et se dirige vers l'enfant qui y dormait tel un angelot. Il le saisi du colle pour le faire crier et se diriger vers la chambre de son père pour allumer les lumières en souriant, il avait ce regard sadique, plein de joie et de bonne humeur mêléz à un désir de sang et de chair fraiche. Il attendit que ce dernier se réveille et se mette bien droit pour lui balancer le gamin, il continu à la fixer toujours en gardant un grand sourire pour prendre une chaise et se mettre alaise. Il dégaine son katana pour le planter dans le sol constitué de planche de bois, et lance un kunai en direction de l'enfant, visant son épaule gauche. Le père se saisi de son chérubin afin de le protéger et prend le projectile dans le dos, ce qui laissa passage à un joli coulé de sang bien frais, rouge scintillant et brillant, quel plaisir ! Nadiro : Oh ! Eh bien tu me surprends mon petit Karu, mais tu me déçois aussi, hum hum ... Moi qui voulait tant d'aider en te débarrassant de cette carcasse pleurnichante pompeuse de bon temps, ben quoi tu ne disais que t'avais marre de cette vie et qu'élever ta petite famille devenait trop dur, faut choisir mon gars, c'est soit l'un soit l'autre, tu ne peux pas avoir tout , hein tu le sais ça non ? Karu : Mais ! Mais !? Tu te prends pour qui et tu es qui d'abord ! Nadiro : Tu ne m'as pas reconnu, rolala, on m'oublie si vite que ça ? C'n'est pas gentil tout sa . Karu : Mais t'es qui merde ! Nadiro : eh oh on se calme hein tu ne cris pas comme ça tu risques d'effrayer le petit, ben chui la faucheuse d'âme , c'est pourtant simple non ? Karu : Qu'est ce que tu me racontes toi, c'est une blague ! ? Nadiro : Non mais regardez moi ça il ne veut même pas me croire, bon je te montre. Dit il en souriant, il prit par la suite son katana d'une main et s'avança de sa cible qui semblait bien craintif à l'idée de perdre la vie, son gibier avait perdu tout son charme, il ne voulait même plus se débattre pour se sauver, quelle larve ! L'homme à la capuche marron planta son arme dans le dos de sa victime, pour traverser la peau et la chair afin d'atteindre le petit pour laisser le fer lui traverser la gorge et le libérer de son corps disait-il. « Merveilleux !! » Reprit le fou furieux en versant une larme de joie à la vue de la marre de sang, si joliment dessiner, le père manquant à présent de souffle, tomba sur le sol, observant son agresseur, demandant la pitié et la clémence. Bien sûr il ne reçut que la mort et la douleur, voyant sa tête se faire découper soigneusement. Malgré cela, le serviteur d'Orochimaru préféra passer la nuit dans cette demeure afin de débuter sa véritable mission demain, il calqua son apparence avec celle du troisième membre du groupe, pour s'endormir comme si rien ne c'était passé. Le soleil levé, le groupe de brigand se réunisse à l'extérieur confiant et plein de motivation, le ciel était à présent inondé de lumières, un beau temps pour une mission '' honorable ''. Ils se dirigèrent en direction du temple après s'être partagé les armes et les tâches, ils prirent divers chemins pour atteindre le bâtiment et enfin ! Débuter les choses sérieuses. |
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