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 Dur labeur...

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Zolf J.Kimbly
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Zolf J.Kimbly

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Dur labeur... _
MessageSujet: Dur labeur...   Dur labeur... Empty2009-03-17, 10:36

Juste for have one PSx



Une journée qui aurait pu être comme tant d’autres. Peut être que ce matin là, je me serais levé, j’aurais pris un copieux petit déjeuner et j’aurais passé le reste de ma journée à m’occuper comme je l’aurais pu. Mais, une fois de plus je m’étais levé avec cette idée persistante d’apprendre quelque chose. Qui à ne rien faire de ma journée, il valait mieux en tirer quelque chose de lucratif. C’est pour ça que, après mon rituel quotidien de préparation, je m’étais rendu à la cache nord. Là bas, j’y trouverais surement tout le matériel adéquat pour travailler cette technique... Depuis mon auberge, il ne fallut que d’un petit quart d’heure de marche pour arriver à destination. Je longeai alors une petit route de pierres jusqu’à la grande forêt dans laquelle se trouvait le trou où se terrait une partie des ninjas du pays du son. Je m’y enfonçai pour déboucher ensuite sur une clairière au milieu de laquelle se trouvaient des escaliers qui s’enfonçaient dans les entrailles de la terre. C’était la cachette du nord, une forteresse souterraine où seuls les ninjas d’Oto pouvaient s’y rendre. Un immense réseau souterrain conçu pour que quiconque n’ayant pas l’autorisation d’y pénétrer s’y perdre pour toujours. Ce ne fut que lorsque j’étais entré dans les rangs des pions d’Orochimaru qu’on me confia la petite astuce pour ne pas me perdre dans ce labyrinthe.


Confiant, je descendis les marches pour entrer dans un long corridor sombre. Une fois mon pied posé sur le sol, les flambeaux qui étaient accrochés aux murs humides s’allumèrent d’eux même. Un petit tour qui ne cessait de m’éblouir à chaque fois que j’entrai ici. Retrouvant mon sérieux, je me mis en route vers la grande bibliothèque. Là bas, je trouverais surement le calme qu’il me fallait pour pouvoir réfléchir longuement sur la façon d’aborder ce nouveau jutsu et peut être réunir assez d’informations pour le maîtriser avant la fin de la journée. Durant ma petite marche vers le domaine des livres, chacun de mes pas retentirent le long du couloir comme le chant d’une pendule en plein milieu de la nuit. Arrivé enfin dans le couloir au bout duquel se trouvait la bibliothèque, je pus remarquer je n’étais pas le premier à m’y rendre. Au fond de ce tunnel, de la lumière sortait de l’immense salle pour éclairer d’avantage le chemin. Bien qu’encore tôt, une personne m’avait devancé et s’était rendue là bas avant moi. Déjà que je trouvais que ce n’était pas sérieux de ma part de commencer à bosser aussi tôt le matin mais là, il semblait bien que je ne pouvais faire face qu’à un insomniaque fou du travail. Je repris alors ma marche et traversai la grande ouverture qui faisait office de porte pour déboucher sur cette gigantesque pièce où reposaient un nombre titanesque de livres.

Une salle à la taille disproportionnée dans laquelle se trouvait un bon paquet d’étagères sur lesquels étaient rangés un nombre encore plus grands de livres. De quoi satisfaire un rat de bibliothèque. Au milieu de la bibliothèque se trouvaient des tables et sur l’une d’entre elles était assise la personne qui m’avait devancé. Une femme aux longs cheveux noirs et qui avait sur son nez une paire de lunettes rondes. Trop concentrée sur son travail, elle ne me remarqua pas. Par simple respect, je ne la saluai pas de crainte de la déranger. Je m’installai alors à une table et je regardai autour de moi pour admirer une dernière fois cette étonnante collection de livres. Mais, je n’étais pas ici pour la lecture. Il me fallait du papier, de quoi écrire et je savais exactement où j’allais trouver tout ça. Le bureau du réceptionniste, encore inoccupé, devait surement receler ce dont j’avais besoin. Bien sûr je courais le risque de me faire attraper et de me faire traiter de voleur mais en général ce genre de personne ignorait la ponctualité. Je me servis comme si j’étais chez moi et je revins à ma place les bras chargés de papier et de quoi écrire en poche. Je plaquai une feuille sur la table, j’ouvris un petit pot d’encre dans lequel je trempai ma plume et commençai à écrire. Quelques vieilles formules qui étaient la base de mon art. J’allais enfin pouvoir commencer.

Sur ce morceau de papier, à peine après une dizaine de minutes, se trouvaient de nombreuses formules que je n’avais cessé de retourner. Je partais de la base même de mes techniques et j’essayai tant bien que mal de la renforcer. Bien sûr, rajouter de l’énergie était la solution et il n’y avait aucun intérêt à faire ça mais, cet ajout de chakra devait être totalement maîtrisé et il ne devait pas avoir la moindre erreur car, au moindre écart de conduite et à la moindre inattention, mes techniques pouvaient se retourner contre moi. C’est pour ça qu’il était quand même préférable de travailler la théorie avant de me lancer dans la pratique. J’écrivis pendant un long moment et ce ne fut qu’après deux bonnes heures de travail que je vis apparaître le germe de mon idée. Au centre d’une autre feuille, elle aussi recouverte d’inscriptions, une petite formule mise en valeur était le début de mes nouveaux projets. Cette petite formule était la solution à la stabilisation de cette technique ce qui permettrait d’obtenir une version plus puissante de la base même de mon art tout en gardant un contrôle aussi parfait sur la situation. Mais, je n’étais encore qu’au début et il me fallait maintenant essayer de voir comme je pouvais élaborer ce jutsu tout en conservant toutes les qualités de la technique de base en évitant d’y ajouter des défauts.

Et, à force de gratter toute cette paperasse, je finis enfin par aboutir à quelque chose de concret. Face à moi, sur cette table, après des heures de travail, se trouvait enfin la solution qui me permettrait de mettre en application mes théories. Je les avais retournées plusieurs fois et il s’avérait qu’elles étaient toutes exactes. J’écrivis sur la dernière feuille blanche le principal de mes recherches et par précaution je brûlai le reste du papier à l’extérieur de la salle. Personne ne devait tomber sur ça, c’était à coup sûr le seul moyen pour parer mes techniques. Mais il s’avérait que si quelqu’un serait pris d’un quelconque intérêt pour ces recherches, il ne restait définitivement plus aucunes traces de mon travail à part ce dernier papier qui lui aussi n’allait pas finir la journée. Avant de m’en aller, je jetai un dernier coup d’œil à l’intérieur de la pièce pour voir ce qui en était de la jeune femme mais elle était partie. Je ne l’avais même pas remarquée s’en aller. J’avais été tellement concentré dans ma tâche tout à l’heure que j’avais été totalement coupé du monde extérieur qui, pendant un long moment, ne m’avait plus intéressé. Je regardai alors une dernière fois cette immense salle avant de m’en aller vers l’extérieur où je pourrais passer enfin à la pratique. Une fois arrivé au bout du couloir, l’obscurité reprit place dans la bibliothèque toujours sans réceptionniste.

Je parcourrai alors comme un rat dans un labyrinthe les couloirs qui s’enchainaient les uns après les autres. Les murs, tous décorés de la même manière, étaient aussi rugueux et désagréables au toucher que la peau d’un serpent. Enfin, avec ce jeu de lumière rouge, je me croyais plutôt dans le long estomac de ce reptile dans lequel je m’aventurais vers l’extérieur. Mon unique papier enroulé sous le bras, je poussai une petite chansonnette que j’avais l’habitude de chanter après une victoire avec mes défunts camarades. Une chanson simple qui parlait de femmes, de guerres et de sexes… Les paroles peu recherchées et les rimes assez plates faisaient de cette chansonnette surement l’une des pires chansons que l’homme ait pu faire. Mais, durant les guerres, lorsque nous étions sur le champ de bataille, nous n’avions guère fais usage de notre sens de la musique pour composer ces chansons. C’était bien plus drôle d’écrire chaque parole comme nous l’avions premièrement pensé. Les plaisirs simples qu’un homme adoptait lorsqu’il était en situation de crise étaient bien plus intéressants que les activités compliquées et peu enrichissantes que l’on m’avait montré après que les guerres s’étaient achevées. Il m’était tellement plus amusant de composer une chanson sur un coup de tête en enchaînant chaque parole comme si j’étais ivre et que vous je n’avais plus aucun contrôle sur mon corps…

A penser comme ça, je n’avais même pas remarqué que j’étais maintenant à l’extérieur et que face à moi s’offrait le magnifique spectacle d’une forêt dansante sous le souffle des nuages. J’étais arrivé à l’entrée de l’antre ou plutôt ce qui était pour moi une sortie s’ouvrant sur un monde un peu plus lumineux, coloré mais surtout vivant… Je me rappelai alors que lorsque j’étais venu à l’antre ce matin là, j’étais passé à côté d’un grand terrain vague qui serait surement un endroit parfait pour m’entraîner à cette toute nouvelle technique qui nécessitait énormément d’espace mais aussi beaucoup de solitude. Il n’était surtout pas question de m’offrir en spectacle à tous les passants comme un vulgaire clown amusant la foule grouillante. Je n’étais surement pas une bête de foire et encore moins un artiste de rue… Je mis alors en route vers ce terrain qui devait peut être se trouver à cinq ou six minutes de marche. Tout en progressant sur la route, je levai ma tête vers le ciel regardant le soleil qui était bientôt proche de l’horizon ouest. Bien qu’il ne m’avait pas semblé autant travaillé, être dehors me fit comprendre que j’avais passé presque toute la journée dans ce trou. Dans environ deux ou trois heures, le crépuscule aurait lieu recouvrant alors le monde des vivants de l’épaisse couverture d’étoiles. La nuit s’approchait à grands pas et j’espérai au moins acquérir cette technique avant de ne plus pouvoir voir à un mètre devant moi.

Arrivé à ce lieu qui à cette heure était désert, je déposai mon petit bout de papier sur une roche et je me plaçai alors au centre de la zone. Je balayai le paysage du regard et regardant entre les nombreux outils de travail, je ne vis personne. Je pouvais d’ores et déjà commencer mon entraînement. Durant toute la journée, j’avais travaillé sur cette technique qui me permettrait de devenir bien plus puissante qu’avant… Pourquoi ? Tout simplement parce que tout le travail que j’avais fourni durant cette journée me permettrait d’accéder à un rang supérieur au niveau de la manipulation de mes marques et de mon art. Cette formule qui maintenant était gravée dans mon crâne, m’avait permis de comprendre la manière qui me permettrait de surpasser les techniques que actuellement je maniais. Je n’en inventais pas de nouvelles, je ne faisais que les rendre plus puissantes. Mes marques, qui étaient la base même de tout mes jutsu et qui étaient incrustées dans ma peau ne faisant plus qu’une avec elle, n’étaient pas complètes puisque il était encore possible de les rendre encore plus dangereuses qu’elles ne l’étaient auparavant. Mes parents, bien que talentueux, n’avaient pas eu le temps nécessaire pour me faire atteindre leur véritable but et, leur absence m’avait obligé à apprendre de moi-même… Ces marques étaient puissantes, mais je n’en connaissais pas grand-chose…

Il était donc de mon devoir de devenir plus fort par mes propres moyens. Ce terrain vague, bien qu’étant un lieu peu décent pour mon élévation, allait bientôt être l’endroit dans lequel j’aurais passé le cap du simple soldat pour devenir un réel et fier guerrier. Moi qui durant presque toute ma vie avait pensé être au summum de ma force je me rendis désormais compte que je n’étais qu’au début d’un long voyage au bout duquel je trouverai mon ultime but : devenir l’arme la plus redoutable de tous les temps. Et c’était en ce jour et en ce lieu que je reprendrais ma route vers mon but. Pendant des années, je m’étais satisfait du peu que j’avais et j’avais préféré stopper mon voyage ne voyant plus aucun intérêt à devenir plus fort. Mais, maintenant que je me trouvais dans ce pays, je ne pouvais que devenir plus fort si je voulais survivre et atteindre les sommets. Avant de me relancer définitivement dans mon voyage, je pris une dernière fois le temps de lancer un regard sur celui que j’étais devenu pendant toutes ces années de repos. Un meurtrier qui n’attachait plus aucun intérêt à la vie elle-même et n’ayant que pour simple passe temps le massacre d’innocents. Mais devais-je vraiment être en colère avec moi-même pour ce que j’étais devenu ? Je ne le pensais pas, j’étais comme j’étais et avec le temps j’avais découvert des qualités en moi que je ne doutais même pas l’existence. J’avais quand même changé…

Une fois cette petite introspection terminée, je pus enfin commencer l’application de toutes mes théories. Tout ce que je pouvais faire pour le moment était de ma plaquer mes mains l’une contre l’autre pour pouvoir commencer une sorte de longue méditation. Mais, voyant ce sol boueux, je me rendis sur une roche pour m’y assoir. C’était vrai qu’un terrain vague n’était pas un endroit commun pour une méditation mais, avec la nuit qui approchait à grands pas il était quand même fortement déconseillé de m’enfoncer dans la forêt faisant alors une cible parfaite pour des coupes jarrets inconscients. Prenant place sur ce gros caillou, assis les jambes croisées, les mains plaquées l’une contre l’autre et les yeux fermés, je pouvais commencer ce qu’on pouvait appeler une méditation. Mais en faisant cela, je n’étais pas à la recherche d’une quelconque paix intérieure, je ne faisais juste que concentrer tout simplement sur l’énergie qui circulait dans mon corps et sur mes marques. Sentant alors mon chakra circulait dans mes veines et dans les moindres recoins de mon corps, je pouvais commencer mon élévation. Bien sûr pour une personne m’ayant assisté toute la journée il ne semblait avoir aucun rapport entre toutes les formules que j’avais écrit ce matin là et ce que j’étais en train de faire à ce moment là mais pour moi, tout s’emboitait en faisait une longue chaine logique me conduisant à la puissance.


Dernière édition par Zolf J.Kimbly le 2009-03-17, 10:38, édité 1 fois
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Zolf J.Kimbly
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MessageSujet: Re: Dur labeur...   Dur labeur... Empty2009-03-17, 10:37

Mon chakra, commençant de plus en plus à s’agiter et circulant de plus en plus vite à travers mes veines, devenait plus dense. La superposition de mes deux marques produisait en moi une réaction qui était peu commune chez les personnes normales. Tout mon corps s’excitait comme si je connaissais un effort physique dense et ma respiration s’accélérait ainsi que mon rythme cardiaque alors que je restais immobile. Toute cette mobilisation était due à mes marques qui lorsqu’elles étaient supposées, créaient une toute nouvelle marque qui me permettait d’accéder à une autre énergie. Ces marques superposées transformaient le chakra que j’amenais à elle en une toute nouvelle force qui était la base même de mon art. Mais alors que d’habitude j’usais de cette force pour transformer les choses en bombes, cette fois je la gardais en moi. Sentant celle-ci s’accumulait dans mes mains puis ensuite dans le reste de mon corps, je restai immobile ignorant la douleur que cette force me faisait. Dans mon corps même, je brûlai à cause de ce que j’avais produis mais il fallait passer par là si je voulais atteindre mon but. Je fronçai les sourcils, je serrai les poings et les dents mais rien n’y faisait, cette douleur persistait en moi et elle allait bientôt me faire lâcher. Je devais tenir, il le fallait.

Retenant des cris de douleur, je tentai avec mal de retenir toute cette énergie qui ne demandait qu’une chose : sortir. Mais désormais, ce n’était plus qu’une question de temps avant que j’atteigne le but que je m’étais fixé avant de venir ici. Il fallait que je devenais plus fort et que je maniais d’avantage mon art qui malheureusement ne m’était pas totalement connu. Et, enfin arriva le moment que j’attendais tant. Mes marques, mon corps, mon chakra réagirent tous en même temps à cet excès d’énergie et c’est là que je sentis toute cette force qui circulait en moi recouvrir tout mon corps puis se concentrer violemment dans mes marques. La douleur, qui fut insupportable, me fit hurler à la mort provoquant l’envol de quelques oiseaux déjà endormis. Je tombai alors de la pierre pour être à genoux sur le sol mouillé. Dans la boue, la tête baissé et poussant encore des gémissements de douleurs, j’avais enfin atteint mon élévation. Je portais mes mains face à moi et vis ce qui en restait. Sur ces morceaux de chairs rouges, je pouvais bien voir les marques qui ressortaient étrangement. Celles-ci brillaient d’une lueur qui n’était pas habituel et à partir du moment où elles commencèrent à briller ainsi, je ne sentis plus aucune douleur. Je me calmais et me relevai. Déchirant les vestes de mon gilet, j’en fins deux compresses dans lesquels j’enroulai respectivement mes mains. Je partis en direction de la pierre pour retrouver le morceau de papier qui trempait dans la boue. De cette masse visqueuse, il ne restait plus aucunes informations compromettantes.

Après avoir ramassé ce qui restait du papier pour quand même le brûlait à mon arrivée à l’auberge, je pris la route en direction du mon foyer. Dans les compresses, mes mains brûlaient encore un peu mais la douleur était bien plus supportable que celle que j’avais connu il y avait cinq minutes. Je n’avais jamais autant souffert de ma vie mais le plaisir d’avoir atteint mon but avait largement compensé ce que j’avais ressenti. Marchant le long du chemin en direction de mon lit, je regardai autour de moi cette nature qui s’éteignait elle aussi avec la journée. Le bruit de vie qui régnait dans cette forêt le jour faisait désormais place au silence serein de la nuit. Une fois que le ciel orangé laissa sa place aux astres nocturnes, l’activité laissa place au repos... Il ne me restait plus que peut être une dizaine de minutes de marche avant mon arrivée à l’auberge et il faisait déjà nuit. Au loin, à travers les arbres, je pus apercevoir la faible lueur de mon auberge qui, après une longue journée de dur labeur m’accueillait les bras ouverts. Je continuai alors la marche à travers ce monde endormi rêvant de mon lit confortable dans lequel je plongerai une fois arrivé. Cette journée riche en événement allait bientôt prendre fin et avec elle mon lourd passé allait lui aussi se terminait ne laissant plus qu’un homme qui avait repris sa route…
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MessageSujet: Re: Dur labeur...   Dur labeur... Empty2010-09-09, 19:46

Citation :
°¤ Evaluation ¤°

1 Psx : 20 points de RP

Tu en es loin pour le moment Rolling Eyes, sachant que tes autres entraînement étaient consacrés à d'autres pratiques.
C'est pas mal au niveau du contenu, mais va falloir persévérer dans ce sens pour obtenir ce que tu convoites. Je te propose de faire encore deux autres parties et ton Psx tu l'auras Razz

En ce qui concerne la forme, des passages parfois un peu lourd ( tournures de phrase, manque de ponctuation )
Quelques fautes, une relecture tranquille et tu pourras combler ces erreurs.

Je t'encourage pour la suite Rolling Eyes

NB: si un autre admin juge que c'est suffisant, on te le fera savoir, sauf si tu veux l'avis d'un autre admin Wink ( ou autres propositions ) >> Cf: pense à jeter un coup d'oeil aux entraînements d'Arane, la quantité par Post n'est pas le plus important, mais il doit y avoir un travail acharné, et surtout accompli en terme de "longueur générale" ( parallèlement au temps consacré par le personnage dans son entraînement )

Arrow 5 points de RP + 1
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