Des Visites Bien Malheurese ...

Invité

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Par une belle journée ensoleillée Raito décida d'aller visiter sa bien aimée dans le cimetière.
Un léger rayon de soleil traversa la fenêtre entrouverte de Raito et vint caresser son visage, celui-ci ce réveille avec la brise fraîche du matin , quelques nuages blanc recouvrait le ciel bleuté. Raito se leva la tête dans les vapes et se pencha a sa fenêtre et regarda dehors. il vit plusieurs personnes , marchands et enfants semblant de bonne humeur. Raito fit un signe de la tête dans le vide et fit comme si de rien était. Il s'approcha de son armoire et s’habilla, une fois prêt, il sorti acheter des fleurs au marchands pour Ayame ...

Une fois arrivé devant le marchand, Raito pris un bouquet de rose blanche encore mouillée par la fraîcheur du matin, il pris les fleurs et les acheta au commerçant . Une fois achetée au commerçant, le jeune aspirant se dirigea vers le cimetière qui était à l'autre bout du village.

En arrivant au cimetière, devant la tombe d'Ayame , une légère brise de vent frais vint caresser les cheveux délicats et brillants du jeune homme. Une seconde, une minute, le temps c’était presque figé pour le jeune ninja. Les larmes ruisselaient sur le visage du jeune garçon, une larme se détacha lentement de sa joue pour se déposer sur la tombe d'Ayame. Il était là, pleurant sur sa bien aimée disparut.

Raito déposa les fleurs sur la tombe de la jeune femme, passa un léger coup de main sur la tombe pour dépoussiérer celle-ci. Il se mit contre le bord de la tombe et commença a parler tout en pleurant :

Raito / Ayame ... Pourquoi ! Pourquoi toi ! Tu n'aurais jamais dut mourir, je te jure je vais faire payer a cette pourriture !

Tout en serrant le poing, le visage recouvert de larmes Raito parti du cimetière .....

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Sujet: Re: Des Visites Bien Malheurese ... 2008-09-05, 20:44

On ne sait jamais ce qui nous attend lorsque commence une journée.

On se dit qu’on est bien, qu’il fait beau et que le temps est propice à tout un tas d’activités plus ou moins légales (davantage moins que plus d’ailleurs), et pourtant on fout rien. Absolument rien. Alors non il ne faisait pas beau pour lui – parce que le soleil c’est vraiment chiant, il fait trop chaud, les rayons lumineux sont tous attirés par sa fourrure noire ce qui ne fait qu’augmenter sa chaleur corporelle. Oui, Kuro n’était pas d’humeur à regarder les oiseaux batifoler gaiement dans la cambrousse, ou à être une âme charitable ou tout autres conneries du genre. Déjà qu’habituellement, il n’était pas une âme charitable (mais depuis quand un ‘monstre’ à une âme, hein ?), alors là, il valait mieux pas le chercher.

Et c’est pour cela qu’en cette matinée ensoleillée notre bonhomme essayait de ne pas étriper le premier passant venu et donc, avait décidé d’une façon banal voir habituel de se rendre dans un lieu tranquille sous sa forme animale. Le loup noir amaigrie qu’il était prenait donc la direction d’un lieu qui, même si il ne l’aimait pas beaucoup, n’en restait pas moins un endroit où il savait que peu de monde venait.

Le cimetière. Ça représente quoi pour les vivants ? Un jardin de tombe toutes plus désuètes et inutiles les unes que les autres ? Le lieu du souvenir perdu et disparut, à jamais révolu ? Un endroit maudit par les vivants et inconnu des morts ?

Un cimetière, c’était un peu tout ça à la fois. Un endroit qui ne servait à rien pour les morts puisque ils n’avaient plus la moindre conscience. Un lieu gorgé de souvenir qui blessaient plus qui ne rendaient la foi, parce que peu importe si les années passées avaient été heureuse, tout ça était révolu, et y repenser n’était que plus blessant pour ceux qui restait en arrière.
Alors, pour lui, un cimetière, ça ne servait à rien. On ne préserve pas un morceau du bonheur passé dans un bloc de granite. Pas plus qu’un sourire ou qu’une caresse. C’était juste quelque chose inventé par les hommes encore en vie pour essayer de garder les êtres qu’ils n’ont pas réussit à protéger, comme si cela pouvait réparer leurs erreurs et atténuer leurs culpabilités envers eux en disant « tu vois je pense toujours à toi puisque je viens déposer des fleurs sur ta tombe », mais les lys faneront et petit à petit, plus personne ne viendra fleurir la tombe de marbre qui finira par se salir et s’user avec le temps.

C’était quelque chose d’égoïste finalement de vouloir garder ces morts près de nous.

Alors lui, il ne gardait personne. Rien. Pas une seule attache ne l’entravait dans sa course. Pas même ce village qui semblait si important pour les autres. Parce que après tout, les attaches ça ne servaient à rien, ça ne faisait que nous ralentir, et les attaches qui reliaient certain à une tombe de pierre était risible. A quoi bon pleurer sur un amas de pierre ?
Le temps passera toujours de la même façon. Lui, il sera toujours le même.

Et lui, Kuro, loup noir, allait dans cet endroit juste pour passer le temps, pour aller dans un lieu où la solitude et le silence était ombre. Après tout, les canidés aux pelages noir étaient souvent considérés comme des êtres apportant le mauvais œil. Une malédiction qui provoquait immanquablement la chute de celui qui avait vus ces animaux issus des ténèbres. Et ils avaient bien raison de ce méfier de lui. Après tout, la malédiction de Kuro était la même : Détruire.

Et pourtant, il y avait une autre personne ici. Un adolescent sortant du cimetière que le loup noir ce fit un grand besoin de pousser sans ménagement. Au premier coup d’œil, il était visible que l’animal noir qu’il était, n’était pas normal. Il était plus grand qu’un loup normal et un petit quelque chose gênait.

« Regarde où tu marche gamin ! »

Peut être que c’était le fait qu’il puisse parler également qui le rendait si bizarre ?
Sans aucun doute. Notre loup soupira de manière agacée. Ce n’était vraiment pas le jour.

« Et arrête de chialer ! Ça ramènera personne ton eau salé. »

Parce que voir des mecs chialer comme des femmelettes, ça avait de quoi lui courir sur le haricot. Non, c’était pas son jour. Pauvre gamin il allait avoir toute sa mauvaise humeur sur le dos. Tan pis pour lui !

Invité

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Le jeune Garçon sorti du cimetière , les larmes aux yeux et le coeur sombre , l'esprit tourmenté tout en pensant , celui-ci distrait par son avenir et par le présent bouscula un loup noir qui venait d'entrer dans le cimetière recouvert par les nuages gris . Raito tourna sa tête et vit le visage d'un gros loup noire avec une grosse fourure épaisse qui l'entoure , un bandeau du village de KumO nO Kuni a sa taille , mais Raito ne l'avait jamais rencontré auparavant un loup ninja ? Cette animal inconnu , Ce ninja de kumO nO Kuni avait la fourure noire bleuté également pour sa couleur des yeux , il était de taille normal ni trop grand , ni trop petit , Bien Musclé , mais Raito ressentait que ce ninja loup était très fort peut-être un Juunin Spécial , un Anbu , Oinin's , même peut être Déserteur qui c'est ? Question qui est à découvrir ? Même si c'était qu'un animal . Le jeune Inconu le regarde avec un air énervé est lui dit :

« Regarde où tu marches gamin ! »

Raito Tourna la tête vers le ciel et trouva sa très bizarre que un animal parle mais bon dans ce monde bizarre tout est possible . Le Ciel commence a éclaté des orage éclate sur Kumo , la pluit s'abbat sur le village , les gouttes d'eau tombant sur le visage de Raito et Ruisselant le long de son visage jusqu'au menton avant de se scratché par terre , Raito continua sa route vers la foret quan l'animal l'interpellant une nouvelle fois en disant :

« Et arrête de chialer ! Ça ramènera personnes ton eau salé. »

Raito s'arrêta et se retourna vers le loup ninja , un temps de lourd et pesant silence se posas sur le cimetière déjà calme et sans aucun bruit seul le chant des oiseaux et des animaux était présent quand tout d'un coup Raito pris un air bizarre et un air de mécontentement et dit avec une voix assez basse et froide :

« Escusez-moi mais c'est la seul manière de me sentir bien , quand vous vous dites jours par jour que àcause de vous une personne chaire a vos yeux est morte en partie à cause de vous , là vous vous dites merde ! c'est pas besoin de vivre dans ce cas et quand je pleure c'est ma manière de me faire pardonné et quand tous les bon moment que vous avez passez avec elle défile dans votre tête très rapidement , mais le pire dans tout sa c'est qu' une autres personnes vient gâché votre vie et arraché ce qu'il y a de plus précieux là vous vous dites que tout ce que vous avez ses envolé . je retrouverais cette pourriture .... »

Sur ces mots froids et qui venait du font du coeur , Raito resta immobile fixant l'inconnu en échange de la moindre réponse de sa part .....

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Sujet: Re: Des Visites Bien Malheurese ... 2008-09-06, 19:49

Tiens….La pluie ce mettait à tomber. Tout doucement, les nuages avaient cachés le soleil éblouissant de la matinée pour laisser place à un ciel gris et terne, remplit de grandes masses cotonneuses. Ici, à Kumo, le temps pouvait rapidement changer, le soleil laissait place à la pluie en un temps relativement court (ce qui n’était pas le cas de la pluie par contre, qui elle restait souvent un bon moment avant de laisser place au soleil), et ce n’était pas pour déplaire à Kuro. Après tout Kumo était connu et reconnu pour être un village orageux, utilisant à son avantage la nature elle-même et surtout les éclairs qui étaient légions dans la contrée orageuse.

Kuro lui n’avait pas vraiment pris la peine de rester dans le périmètre du shinobi bousculé. Au contraire, il avait commencé à s’éloigner pour demeurer au milieu du champ de tombes en espérant vainement retrouver un calme relatif. Ou plutôt réfléchir et dormir (y a pas idée d’avoir des voisins si bruyants et des murs aussi fin que du papier de riz), et même si il pleuvait, ça ne le dérangeait pas. Au contraire, l’eau avait quelque chose, pas d’apaisant mais…de vaguement nostalgique.

Un jour, quelqu’un lui avait dit que la pluie représentait les larmes du ciel.

Bizarre qu’il se souvienne d’une connerie pareil aujourd’hui. Il leva sa truffe vers le ciel en ressentant les gouttes d’eau s’écouler sur lui, repensant à cette phrase qu’on lui avait un jour dit. Pendant ce temps d’arrêt, le shinobi qu’il avait presque oublié aux fils de ses pensées revint en force au premier plan de sa conscience. Qu’est ce qui bavait encore le chiard ?
Ah…Il lui racontait sa vie. Fort bien, fort bien. Et ça lui faisait quoi à lui en fait ?

Il tourna son visage lupin vers le gosse aux cheveux blanc, sans toutefois prendre la peine de lui faire face. C’était juste pour lui montrer à quel point il s’en foutait et que ça ne le concernait pas. Juste pour qu’il comprenne ça.
Pleurer, une manière de se faire pardonner ? Ça c’était la blague du jour ! Le loup noir ne se fit pas prier d’ailleurs pour s’en moquer, riant à gorge déployée de cette pitoyable excuse. Quand les humains apprendront ils que les larmes ne règle rien et que le pardon est illusoire ?

La destruction, c’est le seul chemin qui compte et qui existe vraiment. Le reste ce n’est que de la poudre aux yeux pour amener plus de monde à n’être au final que des assassins. C’était ça l’essence même du ninja. Finalement, cet idiot pleurnichard dans toutes ses lamentations avaient dit une chose de vrai. La vengeance, c’est un chemin menant directement à celui de la destruction. On ne peut rien y faire, après tout, pour réussir son entreprise, on oublie tout, et on ne cherche que le moyen de parvenir à nos fins. Ça, ça lui plaisait déjà bien davantage.

Il se tourna d’un pas, offrant au gamin son profile de loup noir avant de s’asseoir, rivant ses yeux turquoises dans ceux du garçon, son rire éteint.

« Tu es trop faible. »

Ce garçon même si il avait un semblant de rage, il n’en restait pas moins pathétique. Un pauvre petit humain blessé au cœur par un autre bien plus fort. Il ne vaincrait pas. C’était clair et net. Face a un être qui a tué de sang froid un autre, sans défense, alors il ne faisait pas le poids. Mais pour ce que ça l’intéressait, hein.

« Tu crèvera avant même de réaliser ta vengeance. T’es trop fragile pour ça. La preuve ! Tu pleures sur une tombe. Qu’est ce que cela t’apportera au juste de chialer comme un gosse ? »

Il inclina sa tête sur le coté, observant toujours le garçon. Il fallait briser. Toutes ses convictions. Tout son être. Chaque chose le composant.

« Le bonheur, c’est que de la poudre aux yeux. C’est comme les morts. On croit que ça a existé mais ça disparaît immanquablement. »

Comme les morts, la métaphore était joliment bien trouvée au vue de la situation et de l’endroit dans lequel ils étaient. Quoi de mieux qu’un cimetière pour parler de mort ? De souvenirs passées et révolu ?

« En tout cas gamin, c’est pas en chialant que ça bougera. Et les larmes ne te feront pas sentir bien…juste vide. Et puis, les morts ne parlent plus, alors ils ne pardonnent pas non plus. Rêve pas, ton pardon, tu l’aura jamais dans cette vie. »

Brise le.
Jusqu’au bout.
Ce n’était que la vérité.
Celle cachée derrière les belles paroles de ceux qui vous veulent du bien.
Tu ne seras jamais pardonné pour tes erreurs. Jamais tu n’obtiendras ce que tu veux.
Ce n’est qu’un rêve déguisé en un cauchemar. C’est ça la vie. La vraie. La seule.

Spoiler:

Invité

La pluie tombée de plus en plus fort jusqu'au point qu'on attendait que les gouttes d'eau s'écrasait contre le sol, Raito au milieu du cimetière en parlant à ce loup noire, originaire du kumO nO Kuni ? Très bizarre. Raito lui expliquant pourquoi il était malheureux et faible, pourquoi sa vie n'était plus rien qu'il avait tout perdu, mais le loup commençait a ricané, mais pas n'importe quel rire un rire qui venait du font de la george, un rire étouffé par la salive, un rire moqueur. Puis le loup se tourna vers Raito en lui disant :

« Tu es trop faible. »

Raito baissa les yeux sur cette parole du loup qui était malheureusement vrai, Raito se retourna et va s'asseoir sur un banc, le regard gris de Raito tourné vers le regard de l'inconnu, les regards s'échangaient et sans même le comprendre Raito venait de recevoir une leçon de morale, mais le loup arrêta de ricanait et dit avec un air sombre :

« Tu crèveras avant même de réaliser ta vengeance. T'es trop fragile pour ça. La preuve ! Tu pleures sur une tombe. Qu'est-ce que cela t'apportera au juste de chialer comme un gosse ? »

La Raito venait de perdre toutes chances de tuer son sensei et ses ninjas qui l'acompagné, mais Raito n'avait pas perdu tout espoir au font de lui, mais le loup tout en baissant sa tête le regardait et lui dit encore une fois :

« Le bonheur, c'est que de la poudre aux yeux. C'est comme les morts. On croit que cela existé, mais ça disparaît immanquablement. »

Il avait l'air de savoir ce qu'il disait peut-être avait t-il eu un problème marquant dans sa vie, Raito compris cela dans le brillant de ses yeux et le tons de sa voix, mais ses paroles définirent toutes idées de Raito, le loup dit encore une fois :

« En tout cas gamin, c'est pas en chialant que ça bougera. Et les larmes ne te feront pas sentir bien... juste vide. Et puis, les morts ne parlent plus, alors ils ne pardonnent pas non plus. Rêve pas, ton pardon, tu l'aura jamais dans cette vie. »

Raito regarda le loup et eu une idée , il regarda le loup et pensa deux fois avant de le dire, mais il venait d'avoir une bonne idée enfin ce qu'il pensait, mais il dit :

« Je peux devenir ton élève ? »

Sujet: Re: Des Visites Bien Malheurese ... 2008-09-07, 11:54

Il ne se défendait pas. Rien. Pas une once de combativité ce dégageait de ce garçon, pas même un infime bout de fierté qui se serait glissé entre les deux oreilles de cet idiot aux cheveux gris. Ça en était pathétique. Il baissait la tête comme un enfant pris en faute, incapable de répondre aux accusations qu’il proférait. N’avait il pas une once de dignité ? Ce n’était qu’un pantin. Voila ce que la mort d’un être cher lui avait rapporté. Rien, absolument rien, juste du vide et encore du vide. Il était la, assit sur son banc comme une marionnette aux fils brisés par la vie, avec autant de volonté qu’un chou fleur bouillit.

Il avait voulut le faire un peu réagir en lançant toute ses paroles. Lui donner de la haine, de la rage mais ce gosse avait autant de volonté qu’un mollusque. Ce genre d’être avait le dont de l’emmerder. Ici, il fallait ce battre pour survivre, et Kuro avait connu ça toute sa vie loin d’être une grande partie de plaisir. Jamais le verbe abandonner n’avait traversé son esprit même épuisé physiquement, blesser de toute les manière que ce soit, jamais il n’avait souhaité tout arrêté. Il se battait depuis toujours, et pour toujours. C’était ainsi qu’était sa vie.

Mais ce gamin, il n’avait rien. Plus rien. Ne voulait il pas se venger ? Croyait il qu’en baissant la tête et en pleurant il allait réussir à quelque chose ?

Pathétique. Il avait raison, ce gosse ne ferait pas long feu dans ce monde de ninja. Il ferrait mieux d’abandonner immédiatement avant de crever puisque la mort semblait lui faire peur. Il perdait son temps. C’est dans cet simple optique que l’animal lâcha un soupire excédé avant de se remettre en route malgré la pluie tombant drue. Et en plus ce gosse lui faisait perdre du temps pour sa précieuse sieste. Se relevant avec souplesse, le loup noir fit quelque pas qui l’éloignèrent encore du garçon jusqu’à ce que…Il lui pose la question fatidique.
Il se stoppa d’un coup, de dos par rapport au shinobi, celui-ci ne pouvait guère voir la mine plus que surprise de Kuro. La surprise se fit détrônée par la consternation. Il se demandait encore si il devait rire, ou pleurer de la connerie qu’avait sortie le gosse. Il avait une tête de prof, lui, le monstre de Kumo ?

Il se retourna pour faire face au gosse. Plusieurs mètres les séparaient. Il chercha l’espace de quelques secondes un truc sur le visage de l’autre qui prouverait qu’il savait qu’il avait dit la plus grosse blague du monde. Mais rien. Alors ce gars était aussi, voir plus, con que ce qu’il croyait…Pas possible, il aurait pas crut qu’un type pareil existait sur terre. La réponse tomba comme un couperet :

« Sûrement pas. »

Il était anbu, non de non. Pas un de ses juunins qui prenaient des élèves sous leurs ailes pour leurs apprendre les rudiment de la vie d’assassin. Lui, il avait tout apprit tout seul. Comment défendre sa vie, comment soigner ses blessures, comment attaquer et se défendre. Mais il avait toujours été seul, parce que c’est ce qu’on demandait a un monstre. Tu dois te défendre seul contre tous, chaque être existant est ton ennemi, personne n’es ton allié. Ne croit qu’en toi, et en toi seul. Alors dans cet optique, comment pouvait il être professeur au juste ?

« Sérieux, t’as de la merde dans les yeux où quoi ? Tu m’as vu ? »

Il inclina la tête sur le coté en dévisageant sévèrement le gamin. Que c’était chiant.

« Ptain, je déteste les types toi. T’as pas de volonté, tu vas crever dès que tu affrontera ton premier adversaire, ça fait pas un plis. Même un mollusque il a plus de chance que toi d’être un ninja. »

Il allait le briser. Juste parce que ce mec l’énervait, juste parce qu’il n’était pas un type sympa qui prenait des larves sous son ailes pour les transformer en papillon. Lorsque l’on passe sa vie à détruire, on ne peut faire que ça. Rien de plus, rien de moins et c’était ce qui lui plaisait dans sa vie.

« Abandonne. T’as aucune chance d’y arriver. »

Parce que c’était tout. Il y pouvait rien, il n’était pas fait pour ce monde. Sa haine était trop petite. Sa vengeance n’était qu’un rêve illusoire dans lequel il finirait par crever. Etre ninja, c’est tué, ou être tué, rien de plus.

Juste parce que sa volonté de vivre était trop faible.
Juste parce qu’il courbait l’échine face à un loup noir.

Invité

Raito était là sur son banc, se faisant critiqué de faible, de fragile, de gosse mais peut-être avait-il raison, peut-être faudrait redevenir le Raito d'avant le Raito déterminé à être un vrai ninja ? Alors Raito demanda au loup une proposition pour le relançé, mais le loup le visage terne et froid lui dit avec une voix froide et dure :

« Sûrement pas. »

Raito attendit que le loup ne voulait pas de lui comme élève loin de là et le loup insista en lui disant toujours avec ce tons à la voix dure et froide comme si Raito n'était qu'un pauvre type demandant à l'aide ? Le loup lui dit :

« Sérieux, t'as de la merde dans les yeux où quoi ? Tu m'as vu ? »

Raito la se pausa des questions, que voulait dire par là , peut-être une épreuve ? Une énigme ? Mais bon Raito oublia ses choses qui n'avaient plus d'intérêt, il se leva, car le loup ne voulait pas être son maitre, pluis aucune chose le retenait issi, Raito en train de se dirigeait vers la porte le loup lui dit :

« Ptain, je déteste les types toi. T'as pas de volonté, tu vas crever dès que tu affronteras ton premier adversaire, ça fait pas un plis. Même un mollusque il a plus de chance que toi d'être un ninja. »

il est en train de dire qu'il déteste les types comme Raito, et que les types sans volonté ne devrait pas être des ninjas , que même un mollusque peut devenir ninja. Le Loup finnisant sa phrase et dit :

« Abandonne. T'as aucune chance d'y arriver. »

Ce loup était en train de Traité Raito d'abruti, de quelqu'un qui ne devrait jamais être ninja ? Raito continua sa route jusqu'à la porte mais celui-ci s'arrêta au baud milieu de sa course pour lui dire :

« Je suis peut-être un lâche, un abruti a t'es yeux mais détrompe toi . Je deviendrais fort par n'importe qu'elle moyen et je me vengerais, et tu verras un jour je deviendrais quelqu'un de respectable. Tu ne m'as peut-être pas donné ma chance mais c'est pas grave. Tu es peut-être un inconnu très bizarre, mais tu m'as redonné confiance, une pèche qui était endormie au font en moi, je suis redevenue, Raito Kimae ! »

Sur ces paroles Raito partie du cimetière en direction de la foret confiance en lui et sourire au lèvre .....

Sujet: Re: Des Visites Bien Malheurese ... 2008-09-08, 20:58

Il y a longtemps…Oh, une éternité presque pour lui, il y avait eut un instant qui semblait à présent n’être rien de plus qu’un lointain rêve plus qu’un véritable souvenir. C’était inconsistant, comme les mirages que la chaleur produisait dans les déserts, on ne sait pas si c’est vrai, mais c’est pourtant là, flottant dans un coin oublié de notre esprit. Cet instant où il s’était dit : stop, je veux que tout s’arrête, je ne veux plus souffrir, laissez moi mourir. C’était le seul moment, la seule fois où avait percé en lui une telle faiblesse qu’il trouvait à présent immonde autant qu’indigne. A cette époque, il avait été si petit, si fragilisé par l’absence d’une présence familière à ces cotés, de cette présence maternelle qui lui avait toujours fait défaut. Et il s’était raccroché, malgré sa méfiance envers les humains, à un être à cause de ce vide, par désir de savoir ce que cela signifiait, si quelque chose pouvait combler ce cœur aux rouages défaillant.

Et il avait rêvé une année. Rêvé à une vie où il était compris et accepté par un être. Rêvé d’une présence maternelle qui avait peu à peu, remit les rouages de son cœur en marche bien que toujours un peu grinçant par moment, comme une réminiscence d’un passé tût. Puis il s’était réveillé. Brusquement. Cruellement. Il avait goûté à quelque chose qui lui était interdit. Qu’on lui avait toujours refusé. Qu’il n’avait pas à posséder.
Et il avait eut mal. Bien davantage que toutes les blessures physiques qu’on avaient bien put lui infliger. Elle avait de ses propres mains brisées les rouages de son cœur. Il était resté choqué, surpris, puis apathique. Rien ne semblait plus avoir de goût. La vie elle-même était devenue la pire des tortures qui soit. Mais il s’était relevé. Finalement, il avait trouvé assez de force pour continuer son chemin seul. Après tout, c’est ça, un monstre. Ça se nourrit de la peur et de la souffrance qui ne devient qu’un moteur pour réussir son entreprise.

Lorsqu’il lui arrivait de revenir sur ce petit moment de sa vie, il ne pouvait que cracher de mépris sur cette faiblesse disparut à coup de poignard dans le cœur. Personne ne pouvait entendre les grincements sinistres qu’il produisait à présent, tellement rafistolé de toute part que les rouages avaient finit par rouiller et se ternir. On n’entendait pas la mélodie d’un cœur qui ne devrait plus être, parce que c’est bien connu, un monstre ça n’a pas de cœur.

Un loup noir ça n’a pas le droit d’être comme les autres…Parce qu’un loup devenant homme est une aberration.

Aujourd’hui, ce n’était pas lui mais un autre. Un gosse qui pleurait sur les pertes. Un gamin qui ne savait rien. Autant sur la vie que sur la mort, sur les combats qui parsemait une vie que sur tout le reste. Un ignorant, tout simplement. Et en plus, un ignorant qui le faisait chier. Même ses paroles étaient vides de sens. Un ninja, ce n’est pas quelqu’un de respectable – et ce serait pas aussi drôle si c’était le cas d’ailleurs.

« Pour ce que ça me fait. »

Il se tourna, offrant comme image de départ son royal postérieur alors qu’il s’enfonçait de son coté, dans le cimetière. Malgré la pluie, il continua, s’avança et s’éloigna de tout. Il n’était pas heureux de cette rencontre au hasard des chemins, il n’était pas fier d’avoir mit un peu de plombs dans la cervelle de cet emplumé, il n’était pas amusé par cette situation qu’il trouvait tout de même ridicule.

Il préférait ne rien penser. Seul le chuchotement de la pluie et du vent entre les tombes viendraient le bercer à présent…

Sujet: Re: Des Visites Bien Malheurese ... 2010-09-03, 16:06

Citation :: Raito: 7 pts
Kuro: 8 pts