Les rayons du soleil filtraient lentement à travers les voilages blancs. L'ombre qui dominait la chambre laissa place lentement, presque au ralentit, à la lumière du matin. Doux rayons blanc qui réchauffe comme un feu le coeur et le corps des gens. Apportant chez certain de la joie et de la sympathie et chez d'autre de l'amertume et de la peine. Le jour était là, aux portes du monde. Un nouveau cycle s'était relancé. Rikku, jeune ninja, inconnue du village d'Oto, entré dans une journée, identique, sans aucun changement. Il lui fallait rompre cette monotonie. La seule solution : Une mission, soit passionnante, soit ennuyante, mais qui occupe.
Direction les bureaux de Kabuto chez Orochimaru. Rikku sortie en trombe de sa chambre, soit dit en passant unique pièce qu'elle habite, et s'apprêta à descendre quand un détail lui fit rebrousser chemin. Elle n'était pas habillée. Seul un débarquer et des sous-vêtements pouvaient être nommés vêtement. Le reste étant juste des bandages sur certaines zones de son corps.

De retour chez elle, elle passant en vitesse un pantalon, des sandales, puis sortie de nouveau. Dévaler les escaliers, puis traverser à tout vitesse les habitations et forets qui bordait l'antre du monarque noir. Beaucoup de gens aurait remarqué ce calme inhabituelle, mais Rikku y était habitué. A l'approche du repère d'Orochimaru beaucoup préféré rebroussé chemin, par peur de finir réduit à l'état de poussière. Mais pourtant les gardes qui gardés le souterrain n'était pas d'une grande puissance, c'est ce qu'ils gardaient, ou croyaient protège qui l'était bien plus.

L'entrée du bâtiment était la seule chose apparente. Deux grands murs, un escalier et une porte. Rikku s'avança lentement, elle savait bien que de nombreux piège jonchaient le sol, mais aussi que les gardes avaient la bonne habitude d'arriver sans prévenir et d'attaquer presque aussitôt. Calme, très calme, seul les oiseaux semblaient braver l'interdit. L'interdit de vivre, respirer, bouger, parler et même penser. Une prison à une échelle sur dimensionné. Une bulle crée dans l'unique intérêt d'Orochimaru. Et pourtant cette bulle allée être bravée une nouvelle fois en accueillant l'arriver de la shinobie dans ses murs. Murs glacé, immense et terne, symbole même de la puissance. Un empire sans coeur ... Quand on était dans l'enceinte on croyait à tous. Et on devenait l'objet de toutes les discutions, des regards et des fou-rires. Toutefois, c'était l'unique chemin pour y aller, du moins pour aller au bureau de Kabuto.

Après quelques minutes Rikku arriva enfin au lieu tant recherché. Devant elle une liste de tâche ingrate, mais enrichissante, comme celle-ci :

Mission de rang D - Nettoyage de l'Armurerie
Type: Nettoyage
Lieu: Armurerie
Description: L'Armurerie, source de l'armement d'Oto, est vraiment sale, depuis le temps où personne n'est allé la laver. Une tâche ingrate vous sera donc demandé.


Elle la choisit puis parti aussi vite en direction de l'Armurerie du village. C'était un endroit très surveillé, y entrer demandé d'avoir soit un grade conséquent, soit une autorisation en rapport avec une mission quelconque . Et cela dans l'unique but de garder secret les pires armes du village.

S'y rendre était très simple, il suffisait de suivre des ninjas en manque d'arme pour trouver le dit-lieu. Une fois arrivée les formalitées était plus administrative qu'autre chose. L'ordre de mission plus un justificatif d'habitation dans le village et c'était fini. A elle les armes à fouissons, les kunais usagé, les armes mal rangées et les katana abîmé. Après tout cela ne pouvait pas être bien méchant, ils n'étaient pas des sauvages non plus et les armes étaient importantes non ?

C'est donc de bon train que notre héroïne d'un jour ce rendit au lieu de torture ou sa mission allait être exécuté.

Après quelques questions elle trouva le bâtiment en question. Il devait y avoir deux ou trois pièces, une porte centrale et des fenêtres feutrés. Armé d'un kit complet de rangement et de remise en état elle ouvrit la porte paisiblement.

Tous tomba. Impossible, Rikku ne s'était pas autant trompé depuis la salle de soin. Tous était à terre, poussiéreux, graisseux ou rouillés. Les ninjas de Oto était ils aussi sale que cela ? Aucunes consciences ou notions de respects ? Le temps de rangement commença à augmenter dans la tête de Rikku et cela de façon irréversible. De plus en plus grand, de plus en plus long. Il était temps de commencer, pas de temps à perdre si on veut finir vite.

Rikku remis ses affaires en place et commença à réfléchir sur la stratégie de réussite.

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En réalité il y avait quatre pièces. Une centrale qui servait de réception. Une à droite pour les armes légères. Une à gauche pour les armes lourdes ou dangereuse. Et enfin une au fond, fermé par une cadenas rouillé, voir inutile, qui devait garder les armes exceptionnelles de Oto. Comment pouvait elle l'affirmait ? simplement parce qu'elle avait trouvé un vieux plan sur le sol. C'est grâce à cette découverte que Rikku put dressé un planning de rangement. On commence par la salle centrale, puis la droite , la gauche et celle du fond. Et pour finir une finition sur toutes les pièces.


La pièce centrale était sacrement amoché. Jamais une pièce n'avait pu être dans un état si lamentable. Rikku y voyait bien une façon de la nettoyer, mais il lui fallait pour cela un descriptif des armes et leurs catégories. Pour cela elle sortit de la pièce et se rendit auprès d'un ninja qui la renseigna en lui donnant un petit livre . Il était épais et très complet. Tout pile ce qui lui fallait. Elle repartit en courant dans l'armurerie et commença son oeuvre. Elle jetait dans chaque pièces les armes qui correspondaient. Plus la jeune shinobie jetait les armes plus la poussière montait dans l'air. Elle fut bientôt obligée d'aller ouvrir les fenêtres et la porte . Très vite un courant d'aire ce fit et la montée de la poussière fut multipliée. Les fenêtres furent très rapidement fermés.


Le mont de ferraille qui jonchait le sol depuis plusieurs jours voir semaines descendaient enfin pour ne laissait plus que les papiers des registre d'entrée et sorti des armes ainsi que leurs envoie à la réparation. Sans savoir pourquoi Rikku compris qu'elle devrait les ranger et donc y ajouter du temps. A côté il y avait des livres et des produits d'entretien. Vue sous cet angle la jeune femme croyait y voir un magasin à l'abandon. Elle partit cherché un bout de tissus et commença à nettoyer les comptoirs et les étagères. De gris terne ils passèrent à marron claire. Les meubles devenait enfin normaux. Toutefois, le comptoir allait être resali, car Rikku y déposa toute la paperasse d'un côté et les livres de l'autre. Autant commencer par le plus rapide : les livres. Du descriptif de l'arme à comment s'en servir Rikku les nettoyaient complètement, couverture et reliure. Puis alla les ranger par ordre alphabétique. Après quelques dizaines de minutes tous les livres étaient enfin classés. Restait le plus dure à faire : La paperasse. La jeune Yukizora fut contente quand elle trouva trois classeurs. Un pour les rentrés , un pour les sortis et enfin un pour les autres documents.


Les rangeaient du plus récent au plus ancien semblait ce qu'il y avait de plus logique. Mais vu la quantité astronomique de papiers le temps passé serait énorme. C'est donc dans une perte de temps le plus complet que Rikku tira puis plaça les documents. Certain étaient illisibles d'autres encore propre et neuf. Inutile de précisa qu'elle y passa plus d'une heure et qu'une fois finis la joie était énorme.

Elle enchaîna directement avec les produits qu'elle plaça dans les étagères. Il fallait juste les dépoussiérer et pas plus. La jeune blondinette partit à tout hâte chercher de l'eau et s'empressa de commencer le sol. Ce dernier s'éclairci à vue d'oeil et finis par être d'un propre étincelant. Enfin juste très propre. Elle attaqua ensuite les murs en frottant sévèrement. Comme tout le reste, la poussière partit rapidement et fit apparaître les murs gris et bétonnés de l'immeuble.


A ce niveau de la mission le temps c'était déjà bien déroulé. Et les douze coups de midi retentir. Rikku partit donc rechercher du matériel afin de continuer son oeuvre. Comme une tornade blanche la jeune femme repris le chemin du nettoyage armé d'une éponge d'un anti-oxydant et d'un lustrant. Prochaine étape la salle d'arme légère.

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La salle d'arme légère était petite, très petite. Elle faisait un tiers de la salle principale et sa composition était diamétralement différente. Les murs étaient recouverts par des meubles à tiroir. Des dizaines voir des centaines de tiroir. Quand Rikku les ouvrit elle remarqua qu'ils étaient pleins de mousse. Sûrement pour recevoir les armes... en parlant d'armes elle allait les nettoyer à la fin. Pour commencer il fallait nettoyer les meubles et tiroirs. Et pour ce faire l'utilisation d'un simple chiffons et d'une solution nettoyante. A l'inverse de la salle principale les meuble était d'un marron plus foncé. Il n'y avait qu'une fenêtre et quatre lampes.


Rikku fini rapidement les meubles et s'attaqua presque aussi vite aux armes. La jeune femme compris assez vite ce qu'il définissait de légère. Dans ce qu'il fallait trier il y avait :

- Les surikens est une arme traditionnelle japonaise de lancer, qui est utilisée dans le cadre du Shuriken-jutsu. Cet art martial faisait partie intégrante de l'étude des ninja. Contrairement à certaines idées reçues, cette arme est relativement peu efficace et donc peu utilisée, en combat direct. Elle était plutôt utilisée afin de distraire l'adversaire ou dans des embuscades où la rapidité d'attaque est essentielle. Le kanji ken désigne de manière générique une lame (les kanji shuri signifiant paume de la main). Les shurikens peuvent donc avoir plusieurs formes. Il existe plusieurs types de Shurikens :

• Bo Shuriken , qui sont en forme de stylos .
  
• Hira Shuriken (ou shaken ou shaden, ou semba), qui sont en forme d'étoiles.
  
• Senban shuriken qui sont en formes de losange.
  
• des Shuriken en forme de cartes à lancer.
  

- Le makibishi est une arme traditionnelle japonaise autrefois utilisée par les ninjas, au Japon et parfois en Europe, par des assassins. Cette arme servait à empêcher un adversaire de poursuivre celui qui l'avait lancée. Les makibishi sont composés d'un ensemble de quatre clous, chacun écartés d'environ 120°, ce qui fait que, quelle que soit la position dans laquelle il atterrit, il retombe toujours sur trois pointes qui le stabilisent et la quatrième est orientée verticalement. En courant après un adversaire ayant lancé des makibishi, on risque de s'en planter un ou plusieurs dans les pieds. Les makibishi pouvaient, à l'occasion, être enduits de poison, de façon à tuer l'adversaire. Contrairement aux idées reçues, les makibishi n'étaient jamais envoyés seuls, mais toujours par poignées et ils étaient transportés dans des sacoches de toile. Lorsque l'on en avait besoin, on déchirait une extrémité, on le tenait par l'autre et on balançait à la volée tous les makibishi. C'était le même principe pour certains shaken (étoiles), que l'on envoyait par dizaines.


- Le kunaï est une arme blanche utilisée par les ninjas, autrefois et pouvant servir comme arme de lancer, pour parer les coups d'armes blanches, à escalader des arbres, des murs, ou d'outil multi-usage. Un kunaï a normalement une lame en forme de feuille et une poignée avec un anneau sur le pommeau pour attacher une corde. Ceci permet au kunaï d'être attaché à un bâton comme une lance, ou d'être attaché et caché le long du corps, ou de le récupérer lorsqu'il est utilisé en tant qu'ancre ou un piton. La taille de la plupart des kunaï va de 20 centimètres à 60 centimètres, avec une moyenne de 40 centimètres. Le kunaï n'est pas un couteau, mais quelque chose plus apparenté à une barre de destruction.Normalement seule la pointe est effilée. Les sollicitations auxquelles un kunaï est soumis auraient détruit n'importe quel outil ayant subi un traitement thermique et effilé comme un couteau. Et les Kunai à double tranchant.


- Les senbon étaient des sortes d'aiguilles utilisées par les ninja pour tuer. Elles étaient souvent enduites de poison et on les utilisait soit en les lançant, soit en frappant directement comme avec un couteau ou un stylet. Un senbon peut faire entre 10 et 25 cm, il a une pointe de chaque côté, de telle sorte qu'on peut l'utiliser de n'importe quel sens, de n'importe quelle façon.


Mais bien sûr il y avait bien d'autres armes, mais nous me pouvons-nous étendre d'avantage. Il fallait restaurer les armes. La plus part était rouillé et d'autres était graisseux. Rikku fit rapidement le tri puis repartit chercher de l'eau. Deux bacs. Dans l'un, un anti-oxydant et dans l'autre une solution nettoyante. Elle jeta dans le premier les armes rouillé et s'attela à nettoyer les armes sales. Ayant rapidement finis leurs nettoyages la jeune ninja d'Oto commença à ranger les armes dans leurs rangements. Puis elle sortit celle qui restait dans l'eau, les sécha et les rangea à leurs tours.


Il ne lui restait plus que le sol à nettoyait un peu, histoire que la pièce face un minimum propre. Elle finit par sortir assez fière d'elle. Elle se dirigea vers la pièce à gauche. Celle des armes lourdes.


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La disposition de cette nouvelle pièce était différente. Elle était grande et sa composition différée. Des grands comptoirs et portiques, mais aussi des tiroirs. Différence flagrante : aucune fenêtre. Elle recommença à nettoyer les meubles puis ce porta sur les armes. Elle ne comprenait pas trop le terme de lourdes ou dangereuse. En effet certaines armes n'était ni l'un ni l'autre elle était juste difficile à maîtriser. On retrouvait par exemple :


- Les shuriken géant.


- Fuma shuriken (aussi connu comme "le moulin à vent fantôme shuriken" ou "le boomerang japonais" ou "le moulin à vent de mort"). Fuma traduit littéralement pour "aérer (enrouler) le démon". C'est énorme shuriken, que l'utilisateur tient par le trou au centre de l'arme. Il a quatre lames qui peuvent parfois être engainées comme un, créant une sorte de poignard.


-Symbole de la caste des samouraïs, le katana, katana est un sabre (arme blanche courbe à un seul tranchant) de plus de 60 cm. Il est porté glissé dans la ceinture, tranchant dirigé vers le haut (vers le bas si le porteur est un cavalier). Porté avec un wakizashi, ils forment le daisho. Certaines périodes de l'histoire japonaise étant plus calmes, le katana avait plus un rôle d'apparat que d'arme réelle. Le katana est une arme de taille (dont on utilise le tranchant) et d'estoc (dont on utilise la pointe). Par extension, le terme katana sert souvent à désigner l'ensemble des sabres japonais (Tachi, uchigatana etc.) Le katana a une taille supérieure à 60 cm mais peut varier selon les périodes et techniques de guerre. Il se manie généralement à deux mains, mais certaines techniques, ou des techniques impliquant l'utilisation du fourreau, supposent le maniement à une main. Sa poignée (tsuka), suivant le climat politique, variait entre la largeur de deux ou trois mains. La tsuka se termine par une garde (tsuba) qui protège la main. Le poids d'un katana standard varie de 800 grammes à 1300 grammes.

Les autres armes étaient inconnus aux yeux de Rikku. Plus longues les unes des autres, plus tranchantes, plus lourdes. Les armes étaient impressionnante et leurs manimentsdangereux. La jeune Shinobie savait qu'elle risquait de se couper. Elle s'assit donc sur un comptoir et commença à nettoyer les lames une par une. Du noir elle passait au gris. C'est les katana qui lui prirent le plus de temps. En effet il y en avait de toutes sortes. Les gardes étaient plus ou moins complexes et donc plus ou moins dure à nettoyer. Leurs lames elles-même étaient particulières. Des gravures aux textes il y avait de tout. Qui pouvait bien utiliser ces katana si particuliers, voir personnel.


Plus les armes étaient imposante plus leurs entretien étaient difficiles. Et quand certaine était rouillées les tentatives de remise en état semblait périlleuse. Une question vient soudain l'esprit de la shinobie. Comme ce fait il que toutes les armes soient aussi abîmé alors que le sol était sec ? On aurait dit que les armes avaient été plongée dans l'eau.


Après quelques heures de travail Rikku se rendit compte que la lumière baissée. La nuit semblait commencé à tomber. Elle avait presque fini il lui restait à ranger les armes, finir la dernière pièce et nettoyer une dernière fois toutes les pièces. La dernière lame fut placé sur un portique et bientôt Rikku partit vidé l'eau. En sortant elle croisa un ninja qui lui dit :

- Le vieux qui s'occupe d'ici arrive tard le soir, il a été malade une semaine. Quand il reviendra faudra que tous soit nettoyé. Donc il te reste .... Il regarda sa montre .... Il te reste deux heures grands maximum.


Puis il partit. Rikku devait faire vite. Deux heures pour tous faire c'était totalement possible. Elle repartit donc à toute hâte dans le bâtiment et ce dirigea vers l'ultime pièce...




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N'ayant pas voulut perdre de temps en enlevant le cadenas Rikku avait déposé tout ce qu'elle avait lus et estimé comme exceptionnelle. Beaucoup appartenait à Orochimaru et la plupart était encore dans la salle. La jeune Yukizora n'eut qu'à donner un coup de pied pour que le cadenas tombe sur le sol. La salle apparut. Elle était presque intacte . Seul la poussière c'était accumulé. Cinq grandes armoires et deux étagères servaient à ranger les quelques armes qui devaient y aller. La pièce était luxueuse. Rien d'étonnant quand on savait ce qui y était rangé.


C'est donc dans la plus grande prudence que Rikku entama le nettoyage des meubles. Plus robuste et raffiné que les précédant ils avaient fait l'objet d'un réel travaille. Sculpter dans des matériaux nobles. Les meubles était aussi artistique que les armes elle-même.


En parlant d'armes, elles étaient plus impressionnante que tout ce qu'elle avait pu voir jusqu'à présent . Les lames étaient grandes et lourdes. Certaines étaient gravés avec de l'or d'autres de l'argent. Des épées gigantesques, des masses imposantes, des armes imposante. Les nettoyer était long, très long. C'était compréhensible. Il y avait beaucoup de matières, de détail et autres. La jeune shinobie ne savait pas combien de temps cela lui avait pris d'en faire la moitié, mais le temps était passé. Tellement que quelqu'un claqua la porte et dit d'une voix fébrile :


- Vous êtes encore ici jeune fille ?


Rikku sorti de la pièce du fond et d'inclina face à l'homme :

- Oui désolé, mais il y avait du boulot.

- Ah oui avec tous les ninjas du village... Continue moi je vais m'asseoir


Le vieil homme parti derrière le comptoir laissant la jeune femme finir son boulot. Il devait rester quatre ou cinq armes. Elles passèrent rapidement, au point qu'elle eut fini tôt à son goût. Mais pas le temps de rêvasser. Elle partit en quête d'eau afin de repasser un peu d'eau sur le sol. Quand elle eut fini, elle alla voir le vieil homme :

- Voilà j'ai fini

- Bien tu peux rentrer chez toi et évite de raconter ce que t'as vue ici

Rikku comprenais bien que les armes devaient rester confidentiel, surtout celle de la salle du fond. Elle prit la route en direction de chez elle. Elle avait envie d'une douche et d'une bonne nuit de sommeil et cela même si sa nuit avait déjà été entamer. Sa seconde mission avait été mené à bien. Elle espérait qu'elle serait validés...

Citation :

°¤ Evaluation ¤°

> Mission très bien traitée dans son ensemble. Les touches personnelles et les marques d'originalité sont appréciables, cela apporte une touche pimentée à la mission qui est, nous le savons tous, très passionnante xD

> Encore et toujours des fautes, avec le temps - je l'espère - ca devrait s'améliorer. Une bonne relecture avant tout ! ( à penser : accords, conjugaisons, participes et une relecture d'ensemble )
Ex: Rikku comprenais bien que les armes devaient rester confidentiel,
Correction : Rikku comprenait bien que les armes devaient rester confidentielles.
+ attention à la structure un peu lourde >>

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