Tandis que la poulette m'interrogeait et que le bordel sonnait dans la pièce, j'écoutais ses questions avec attention jusqu'à ce que, dans leur agencement, elles éveillèrent ma paranoïa :
"Hum, en gros, vous pensez qu'en cet instant je révèlerais mes plans si précieux ?"
Un frisson négatif à souhait traversait la pièce, assez pour effrayer un peu tout le monde. Le serpent prend la chaise et s'y assoit avec lassitude.
"Oto. Nous sommes simplement les meilleurs. Pourquoi ? Parce qu'on s'embarrasse pas de morale ou de secrets, comme des villages d'hypocrites comme Konoha ! Vous verrez, on verra au grand jour leur sale jeu."
Son poing est serré, son regard déterminé.
"Oto est un village en construction, mais qui prend un essor fulgurant ! Nous sommes sur tous les front, et le Kage du village est sans conteste le meilleur, le plus apte à faire d'un village une superpuissance, comme un Murinho au PSG !
De plus, j'ai axé ma politique sur une suractivité, de l'emploi : travailler plus pour gagner plus ! Mes ninjas peuvent en temps de paix faire des activités parallèle pour faire vivre le village.
Les nouveaux ninjas venus sont prometteurs, mais je n'oserais pas encore me prononcer. Nous verrons les choses en temps venu.
Konoha, par contre, ce n'est rien d'autre qu'une image d'horreur que je veux voir effacée. Je ne détruirais pas Konoha de façon vulgaire, je me saisirais du pays du Feu de façon soudaine et imperceptible. Quant à cette manière, elle restera secrète, mademoiselle.
En parlant de vous, êtes vous libre ce soir ?"
Le serpent attaquait de façon fulgurante, un ninja rapide et vif comme l'éclair pour se saisir du coeur des dames !